Examples of using "Mata" in a sentence and their french translations:
Fumer tue.
En tuant le temps, le temps vous tue.
et tue cette chauve-souris
L'étouffement corona tue les gens
Le sport me tue.
Ta beauté me tue !
Le papier buvard absorbe l'encre.
Ce qui ne vous tue pas vous renforce.
La solitude vivifie; l'isolement tue.
Ce qui ne nous tue pas nous rend plus forts.
ce tremblement de terre ne tue pas la pauvreté
Ce boulot m'ennuie à mourir.
Il y a beaucoup d'animaux sauvages dans cette forêt.
Combattant et il va tuer le fourmilier
Tout ce qui ne me tue pas me rend plus fort.
- Tue-le par le feu !
- Tuez-le par le feu !
Hier nous sommes allés faire du vélo dans les bois.
La solitude vivifie; l'isolement tue.
Comment fait-elle pour les tuer et les manger ?
Cette forêt est la meilleure chose du monde.
Tout ce qui ne me tue pas me rend plus fort.
Elle dit ; et soudain, d'un vol précipité, / de l'épaisse forêt cherche l'obscurité.
Ce boulot me tue.
Le suspense me tue !
Eau courante - eau pure.
Si un homme tue un tigre, on dit que c'est du sport. Si un tigre tue un homme, on dit que c'est de la sauvagerie.
Un minuscule goule presque invisible qui est né pour tuer.
Tout ce qui ne nous tue pas ne fait que nous renforcer.
Le bois était très sombre et elle ne pouvait s'empêcher de trembler de peur.
Un braconnier, c'est quelqu'un qui attrape et tue des animaux illégalement.
Nous avons de nouvelles données sur la production et la vente de tapettes à mouches électriques dans le monde.
Ne tue-t-il pas? Ne fuyons pas les faits. Bon, il y a plus de gens qui meurent de la grippe, après tout.
Ce n'est pas que le suicide soit toujours de la folie. Mais en général, ce n'est pas dans un accès de raison que l'on se tue.
Ce n'est pas que le suicide soit toujours de la folie. Mais en général, ce n'est pas dans un accès de raison que l'on se tue.
Malheur aux faiseurs de traductions littérales, qui en traduisant chaque parole énervent le sens! C'est bien là qu'on peut dire que la lettre tue, et que l'esprit vivifie.
À l'abri des rochers, et sous de noirs ombrages, / il laisse ses vaisseaux ; et, deux traits à la main, / suivi du seul Achate, il se fraie un chemin.
Tels, quand des vents rivaux les fières légions / se disputent de l'air les vastes régions, / le rapide Zéphyr, l'Autan plus prompt encore, / l'Eurus, fier de monter les coursiers de l'Aurore, / ébranlent les forêts, troublent la paix des airs, / et Neptune en courroux bouleverse les mers.
Il s'arrête à leur vue, il saisit à l'instant / et son arc, et ses traits qui sifflent en partant. / Leurs chefs, qu'enorgueillit une ramure altière, / déjà percés de traits roulent sur la poussière ; / puis il poursuit la troupe à travers la forêt ; / sa main lance à chacun l'inévitable trait.