Examples of using "Tais" in a sentence and their french translations:
Comme quoi ?
De tels dieux n'ont jamais existé.
- De tels mots me blessent.
- De telles paroles me blessent.
De tels secrets finissent toujours par être révélés.
Je ne veux pas travailler dans de telles conditions.
De tels jouets ont une mauvaise influence sur les enfants.
Il serait très utile de débattre de la manière de faire face à de telles situations.
- Je suis habitué à de telles situations.
- Je suis habituée à de telles situations.
Nous utilisons diverses méthodes telles que la discussion, les menaces et les blessures physiques.
La luciole, l'abeille, le colibri... avec de tels êtres, qu'est-ce que j'ai en commun ?
Il dit ; et dans son sein renfermant sa douleur, / la gaîté sur le front, la tristesse dan l'âme, / d'un espoir qu'il n'a pas le héros les enflamme.
" Je devrais... Mais des flots il faut calmer la rage ; / un autre châtiment suivrait un autre outrage. "
Quand le corps est touché, des récepteurs dans la peau envoient des messages au cerveau causant la libération de produits chimiques tels que l'endorphine.
" O catastrophe horrible ! ô souvenir affreux ! / Hélas ! en écoutant ces récits douloureux, / d'Ulysse, de Pyrrhus, auteurs de nos alarmes, / quel barbare soldat ne répandrait des larmes ? "
En prononçant ces mots, la déesse en furie / vers ces antres, d'Éole orageuse patrie, / précipite son char.
Internet, téléphones portables ou numérisation... Quelles conséquences l'évolution technologique apporte-t-elle aux opinions, comportements et intérêts politiques des gens ?
" Un accueil séducteur le retient chez Didon, / et je crains un asile accordé par Junon. / Sa haine vigilante et sa fureur active / dans de pareils moments ne sera point oisive. "
Nul ne sera l'objet d'immixtions arbitraires dans sa vie privée, sa famille, son domicile ou sa correspondance, ni d'atteintes à son honneur et à sa réputation. Toute personne a droit à la protection de la loi contre de telles immixtions ou de telles atteintes.
Les Japonais ont tendance à vouloir connaître un certain nombre d'informations personnelles sur quelqu'un telles que son âge, sa position sociale, s'il est ou non marié, avant de se sentir en confiance pour parler avec un étranger.
Ainsi dans son refus il demeure obstiné ; / vainement de nos pleurs il est environné ; / vainement mon épouse, et mon fils, et moi-même, / le conjurons, pour lui, pour ses enfants qu'il aime, / de ne pas achever de déchirer nos cœurs, / et de n'aggraver pas le poids de nos malheurs.
" O mon fils, que poursuit l'affreux destin de Troie ! / Cassandre, et mon esprit s'en souvient avec joie, / Cassandre, me dit-il, par des avis certains / m'a cent fois de ma race annoncé les destins, / et les champs d'Italus, et les bords d'Hespérie. "
Ainsi, par les discours de ce monstre perfide, / nous nous laissons séduire ; et ce peuple intrépide, / que ni mille vaisseaux, ni cent mille ennemis, / ni dix ans de combats, n'avaient encor soumis, / qui d'Achille lui-même avait bravé les armes, / est vaincu par la ruse, et domté par les larmes.
" Que les dieux, s'il en est qui vengent l'innocence, / t'accordent, malheureux ! ta juste récompense ; / toi qui d'un sang chéri souilles mes cheveux blancs, / qui sous les yeux d'un père égorges ses enfants. "
Son fils la reconnaît, et, tandis qu'elle fuit, / de ses yeux, de sa voix, longtemps il la poursuit, / et, l'œil baigné de pleurs : " Quoi ! toi-même, ô ma mère ! / tu te plais à tromper un fils qui te révère ! / Ah ! quand pourra ton fils te presser sur son sein, / mes yeux fixer tes yeux, ma main serrer ta main ? / N'abuse plus mes sens ; que le fils le plus tendre / puisse en effet te voir, te parler et t'entendre ! "
La reine cependant par cent et cent discours / de la rapide nuit veut prolonger le cours : / s'enivrant à longs traits d'un poison qu'elle adore, / elle interroge Énée, et l'interroge encore. / Elle trouve du charme à ses moindres récits ; / et, quand Priam, Hector, Andromaque et son fils, / ont fait couler ses pleurs, quand son âme étonnée, / en connaissant Achille, a frémi pour Énée, / des guerriers moins fameux veut connaître le nom, les coursiers de Rhésus, / les troupes de Memnon.
" Mais, vous, puis-je connaître / de quel sang vous sortez, quels lieux vous ont vu naître, / où s'adressent vos pas ? " Elle dit. Le héros, / poussant du fond du cœur de douloureux sanglots : / " O déesse ! dit-il, si du sort qui m'accable / j'essayais de conter l'histoire lamentable, / dans ce triste récit j'épuiserais le jour. "
Ainsi je m'emportais, lorsque dans la nuit sombre / ma mère, dissipant la noire horreur de l'ombre, / jeune, brillante, enfin telle que dans les cieux / des immortels charmés elle éblouit les yeux, / me retient, et me dit de sa bouche de rose :
En prenant l'habitude de mettre et de lire des émoticônes et autres abréviations chargées d'indiquer le ton des messages, les jeunes vident les langues de leur charge émotionnelle, ravalant les mots à une simple information insipide, au point qu'ils sont devenus incapables d'y détecter le moindre humour sans ces symboles. C'est à se demander comment nos ancêtres faisaient pour rire ou pleurer des correspondances qu'ils recevaient. Les langues autrefois si riches de cette dualité sont donc en train d'évoluer en combinaisons de deux systèmes de symboles distincts : l'un pour le contenu, l'autre pour le ton.
Les systèmes dont les règles sont basées sur l'usage, tels que les langues ou les droits coutumiers, sont condamnés à devenir absurdes, pesants et contradictoires, puisque chaque fois que la moindre erreur se glisse dans un de leurs usages, elle s'intègre aux règles, par définition, pour l'éternité. Plus les utilisateurs sont des béotiens, plus les systèmes se dégradent rapidement. L'anglais, mal utilisé par des millions de gens, natifs ou pas, depuis des siècles, est un exemple de dégradation du système au stade terminal, ne présentant plus aucune logique, ni dans la syntaxe, ni dans la grammaire, ni dans le vocabulaire ou la prononciation. De même, le droit coutumier devenant trop lourd et incompréhensible, les états qui s'appuyaient dessus tendent à passer à un droit prescrit.