Examples of using "Deixando" in a sentence and their french translations:
Ça me rend nerveux.
- Ça me rend fou.
- Ça me rend dingue.
- Ça me rend folle.
- Il quittera Chicago demain.
- Il va quitter Chicago demain.
- Vous laissez-vous pousser la barbe ?
- Te laisses-tu pousser la barbe ?
Ça me rend nerveux.
Tom me rend dingue.
laissant des commentaires qui sont approfondis,
Quelque chose ralentit mon ordinateur.
Vous vous faites pousser la barbe?
Il se laisse pousser la moustache.
Arrête ! Tu la mets mal à l'aise !
- Tom me rend fou.
- Tom me rend folle.
- Ton chat me rend dingue.
- Ton chat me rend chèvre.
Vous vous faites pousser la barbe?
- Tom me rend fou.
- Tom me rend folle.
- T'es en train de me laisser tomber ?
- Tu me laisses en plan ?
- Êtes-vous en train de me laisser en plan ?
Je me fais à nouveau pousser la barbe.
- C'est ce qui me rend fou.
- C'est ce qui me rend folle.
Je quitte cette ville.
Tom se laisse pousser la barbe, non ?
le laissant sous la protection des étrangers que vous aviez conquis.
- Tu me rends dingue.
- Vous me rendez fou.
C'est une pagaille totale, et ça me tape sur les nerfs.
Elle ouvre ses frontières et laisse entrer les gens.
et faire votre vidéo terrain vraiment déroutant.
C'est dommage que le professeur quitte notre école.
mais ils ont fini par me laisser de retour dans deux ou trois fois.
laissant des liens juste pour le spam et essayez d'obtenir du trafic.
qu'en dehors de l'appareil reproducteur et même en l'ignorant pour l'instant,
Tom laisse pousser sa moustache.
Laissant de côté la question de la réalité ou de la fiction, ils expriment tous, je pense, une attitude
Ce dieu nous rend la joie, et nos forces renaissent ; / de son humble cité les ports nous sont ouverts ; / l'ancre se précipite et plonge au fond des mers ; / de nos vaisseaux oisifs la course est suspendue.
Ainsi parla Didon : attentifs à ces mots, / bouillants d'impatience, Achate et le héros / brûlent de se montrer, de briser le nuage.
Elle dit, et soudain s'évanouit dans l'air ; / elle fuit, et, malgré mes soupirs et mes larmes, / d'un entretien si doux elle interrompt les charmes.
Le village entier partit le lendemain dans une trentaine de pirogues, nous laissant seuls avec les femmes et les enfants dans les maisons abandonnées.
Un désir curieux de mon âme s'empare ; / je brûle d'admirer un destin si bizarre, / de voir, d'entretenir le successeur d'Hector.
Ces devoirs accomplis, le signal est donné ; / et les voiles, des vents appelant les haleines, / tournent sur les longs bras de leurs longues antennes. / Nous partons, nous fuyons d'un cours précipité / ce rivage suspect, par les Grecs habité.
Trois autres, par l'Eurus, ô spectacle effroyable ! / sont jetés, enfoncés, enchaînés dans le sable.
Pareil est son habit, pareil est son carquois ; / sa flèche semble attendre un habitant des bois ; / un souple brodequin compose sa chaussure ; / au-dessus du genou, les nœuds de sa ceinture / de ses légers habits serrent les plis mouvants / et ses cheveux épars flottent au gré des vents.
" Avec un feint effroi, qui colorait son piège, / le perfide poursuit : " Les Grecs, las d'un long siège, / souvent ont voulu fuir ces remparts ennemis. " "
Il dit : on applaudit, on dépose au rivage / tous ceux que retenait ou leur sexe ou leur âge. / Le vent gonfle la voile ; et, sur les vastes eaux, / nous cherchons des périls et des climats nouveaux.
" Berceau de nos aïeux, ces lieux nous redemandent : / la déesse ma mère et les dieux le commandent. "
J'arrive enfin, j'arrive au palais paternel ; / je vole vers mon père : ô désespoir cruel ! / Mon père, qu'avant tout doit sauver ma tendresse, / quand je veux au danger dérober sa vieillesse, / refuse de survivre à nos communs malheurs, / et d'aller dans l'exil prolonger ses douleurs.
" Ô ma mère ! ô Vénus ! quoi ! ton cruel secours / de la flamme et du fer n'a donc sauvé mes jours / que pour voir, ô douleur ! ô désespoir extrême ! / dans son dernier abri périr tout ce que j'aime, / et mon fils, et ma femme, et mon père, grands dieux ! / dans le sang l'un de l'autre immolés à mes yeux ! "
L'été s'ouvrait à peine ; à l'orageux Neptune / mon père me pressait de livrer ma fortune. / D'un peuple fugitif j'assemble les débris ; / les yeux en pleurs, je pars ; je fuis ces bords chéris, / ces antiques remparts dont Vulcain fit sa proie, / et les toits paternels, et les champs où fut Troie ; / et, sur l'onde exilé, j'emmène en d'autres lieux, / et mon père, et mon fils, et mon peuple, et mes dieux.
Un chien géant posa son énorme patte avant sur moi, et je ne savais pas, par peur, ce que je devais faire.
Ce peu de mots à peine a redoublé leur rage ; / soudain, tels que dans l'ombre, avides de ravage, / court de loups dévorants un affreux bataillon, / qu'irrite de la faim le pressant aiguillon, / et que les fruits affreux de leur amour sauvage / attendent dans la nuit, altérés de carnage ; / au centre de la ville, au plus fort des combats, / nous volons à la gloire, ou plutôt au trépas. / Sur nous la nuit étend ses ailes ténébreuses.
Il dit, et fait tirer de son riche trésor / un vaste amas d'airain, d'argent, d'ivoire et d'or ; / des vases de Dodone ; une riche cuirasse / un casque aux crins flottants, armure de Pyrrhus, / qui du sang de Troyens ne se rougira plus.