Examples of using "Barba" in a sentence and their french translations:
Tu as déjà de la barbe ?
Tu as déjà de la barbe ?
Il porte une barbe.
Tom a-t-il une barbe ?
Tu as déjà de la barbe ?
La barbe ne fait pas le philosophe.
Puis-je toucher votre barbe ?
- J'aime ta barbe.
- J'aime votre barbe.
- Vous laissez-vous pousser la barbe ?
- Te laisses-tu pousser la barbe ?
Vous vous faites pousser la barbe?
Il tailla sa barbe pour le mariage.
Une barbe grise recouvrait son visage.
T'es-tu déjà laissé pousser la barbe ?
Je connais cet Allemand avec une longue barbe.
Mon père a une barbe rousse.
La barbe ne fait pas le philosophe.
Il se rase quatre fois par semaine.
Tom s'est rasé.
Je connais cet Allemand avec une longue barbe.
Vous vous faites pousser la barbe?
- Vous êtes-vous jamais rasé la barbe ?
- T'es-tu jamais rasé la barbe ?
Je me fais à nouveau pousser la barbe.
Il faut que je me rase avant de partir.
Tom se laisse pousser la barbe, non ?
Le vieil homme était édenté et imberbe, mais cela ne l’empêchait pas de murmurer entre ses dents et dans sa barbe.
Sa moustache est plus grise que sa barbe.
Il a laissé pousser sa barbe pour avoir l'air plus mûr.
- Je pense que vous devriez vous faire pousser la barbe.
- Je pense que tu devrais te faire pousser la barbe.
Je me rase tous les matins.
- Le père de ma mère a les cheveux blancs et une barbe blanche.
- Les cheveux et la barbe du père de ma mère sont blancs.
Dieu, dans sa divine prévoyance, n'a pas donné de barbe aux femmes, parce qu'elles n'auraient pas su se taire pendant qu'on les eût rasées.
Je me rase tous les matins.
- Je me suis coupé en me rasant.
- Je me suis coupée en me rasant.
- Pourquoi ne t'es-tu pas rasé ?
- Pourquoi ne vous êtes-vous pas rasé ?
Dans un costume de Saint-Nicolas, il y a toujours une fausse barbe touffue.
La sagesse ne mûrit pas toujours avec l'âge.
Mon père est en train de se raser dans la salle de bains.
J'ai vu le grand prophète de mes propres yeux. Il avait les yeux comme des étoiles étincelantes et une barbe comme de l'eau écumante.
Sa barbe hérissée, et ses habits poudreux, / le sang noir et glacé qui collait ses cheveux, / ses pieds qu'avaient gonflés, par l'excès des tortures, / les liens dont le cuir traversait leurs blessures ; / son sein encor percé des honorables coups / qu'il reçut sous nos murs en combattant pour nous : / tout de ses longs malheurs m'offrait l'image affreuse.