Examples of using "Alma" in a sentence and their french translations:
Mon âme chante.
- Vous vendez votre âme.
- Vous êtes en train de vendre votre âme.
- Tu vends ton âme.
L'âme est immortelle.
L’âme est éternelle.
- Je suis dépourvu d'âme.
- Je suis dépourvue d'âme.
Ton âme a besoin d'être sauvée.
Ton âme m'appartient.
Je n'ai pas vu une âme.
Merci du fond du cœur !
Il n'y avait pas une seule personne dans la rue.
Le visage est le miroir de l'âme.
alors que l'âme monte vers le ciel
Cet homme a vendu son âme au diable.
Il vendrait son âme au diable.
Les yeux sont le miroir de l'âme.
Le visage est le miroir de l'âme.
L'âme est la prison du corps.
Ton âme est condamnée à l'enfer.
Les yeux sont le miroir de l'âme.
Le chant ouvre la porte à l'âme.
La musique est l'âme de la géométrie.
Pensez-vous que les animaux ont une âme ?
La plume est la langue de l'âme.
Les larmes sont le sang de l'âme.
La liberté individuelle est l'âme de la démocratie.
Aimer, c'est se donner corps et âme.
C'est là que réside le cœur de l'affaire.
Il est mort et son âme est allée en enfer.
- Ouvre un livre, et ça ouvre ton âme.
- Ouvre un livre et ton âme s'ouvrira.
La mort n'a que douceur pour une âme chrétienne.
L'âme d'un peuple vit dans sa langue.
Selon le chamanisme, l'âme du corps mort
Une pièce sans livres est comme un corps sans âme.
Un livre sans préface, c'est comme un corps sans âme.
Celui qui nourrit un animal affamé, nourrit son âme.
La beauté plaît aux yeux, la douceur charme l'âme.
Une âme seine ne se trouve que dans un corps sain.
Dans ce cas, nous pouvons dire que seule l'âme sort du voyage dans le temps, c'est-à-dire que le corps reste et que l'âme s'en va.
l'âme est comme le même corps, elle a donc besoin d'un traitement
Le corps meurt, mais l'âme est immortelle.
Sur ma couche, la nuit, j'ai cherché celui que mon cœur aime.
Est-ce que les animaux ont une âme, et vont-ils au ciel ?
Son âme semblait faite de bonne humeur et de bonne volonté.
Il y a des joies qui sont une source intarissable de force pour l'âme.
Cela ne me dérange pas comment un homme avec une âme malade a été élu président
Quand l’âme est triste, les spectacles mélancoliques lui plaisent.
La musique est un élan de l'âme.
Son odieux aspect réveille ma furie ; / je brûle par sa mort de venger ma patrie.
L'instinct, c'est l'âme à quatre pattes ; la pensée, c'est l'esprit debout.
La parole, sublime et divin phénomène, mystère où dans un son s'incarne l'âme humaine.
Je vous le demande en votre âme et conscience : sans la peine de mort, est-ce la peine de vivre ?
" Brave Énée, êtes-vous, pardonnez ma franchise, / êtes-vous ce héros que du beau sang d'Anchise / Cythérée a fait naître aux bords du Simoïs ? "
Il lui envoya un regard où il avait tâché de mettre toute son âme ; comme s’il n’eût rien fait, elle demeura immobile.
Quand j'admire la merveille d'un coucher de soleil ou la beauté de la lune, mon âme se dilate dans un profond respect pour le Créateur.
" Apprend-il à marcher sur les pas de son père ? / Vers ses hautes vertus prend-il déjà l'essor ? / Promet-il d'être un jour digne neveu d'Hector ? "
Pythagore disait qu'il avait reçu en cadeau de Mercure la transmigration perpétuelle de son âme, de sorte qu'elle transmigrait et passait constamment dans toutes de sortes de plantes ou d'animaux.
Énée est lui-même trompé. Didon l’embrasse, le caresse comme le fils du prince Troyen; et peu à peu la passion de l’amour se glisse dans son âme.
" Apprenez donc de moi, fils de Laomédon, / ce qu'apprit Jupiter au divin Apollon, / ce qu'Apollon m'apprit, ce que je vous déclare, / moi, la terrible sœur des filles du Tartare. "
Qu’est-ce que la mort fait avec notre âme ? quelle nature lui laisse-t-elle ? qu’a-t-elle à lui prendre ou à lui donner ? où la met-elle ? lui prête-t-elle quelquefois des yeux de chair pour regarder sur la terre, et pleurer ?
Pyrrhus le suit ; déjà, tout bouillant de furie, / il le presse, il le touche, il l'atteint de son dard : / enfin au saint autel, asile du vieillard, / son fils court éperdu, tend les bras à son pére, / hélas ! et dans son sang tombe aux pieds de sa mère.
Ce grand prince, au milieu de ses fils moissonnés, / terminant sous le fer ses jours infortunés, / d'un père, comme lui, déjà glacé par l'âge / tout à coup réveilla l'attendrissante image : / de mon épouse en pleurs, de mon malheureux fils, / mon amour consterné croit entendre les cris.