Translation of "Blessures" in Portuguese

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Examples of using "Blessures" in a sentence and their portuguese translations:

136 blessures

136 lesões

Il saignait de ses blessures.

Suas feridas sangravam.

Qui ne porte pas de blessures.

no qual não há feridas.

On lui a soigné ses blessures.

Suas feridas foram cuidadas.

Ils ont décidé de dépasser les blessures du passé.

- Eles decidiram por de lado velhas desavenças.
- Eles decidiram esquecer antigas mágoas.

La poésie guérit les blessures infligées par la raison.

A poesia cura as feridas causadas pela razão.

Beaucoup de soldats souffrirent de terribles blessures dans la bataille.

- Muitos soldados sofreram terríveis feridas na batalha.
- Muitos combatentes sofreram sérias lesões na luta.

Ils veulent que nous ouvrions plus de blessures dans nos sociétés,

Querem que abramos mais feridas na sociedade,

Ça lui prendra du temps de se remettre de ses blessures.

Vai levar um tempo para ele se recuperar de suas feridas.

Les blessures à la main dues à la découpe d'avocats sont courantes.

Ferimentos na mão de cortar abacates são comuns.

Nous utilisons diverses méthodes telles que la discussion, les menaces et les blessures physiques.

Nós usamos diversos métodos, tais como discussão, ameaças e agressão física.

À partir de la position des blessures sur le corps, la police a pu déclarer que l'attaquant était gaucher.

A partir da posição dos ferimentos no corpo, a polícia podia afirmar que o agressor era canhoto.

De ses 1,5 mètre de haut, ce mammifère de 100 kilos est puissant et parfaitement capable d'infliger des blessures mortelles.

Este poderoso mamífero de metro e meio é imensamente poderoso e mais do que capaz de causar feridas mortais.

Sa barbe hérissée, et ses habits poudreux, / le sang noir et glacé qui collait ses cheveux, / ses pieds qu'avaient gonflés, par l'excès des tortures, / les liens dont le cuir traversait leurs blessures ; / son sein encor percé des honorables coups / qu'il reçut sous nos murs en combattant pour nous : / tout de ses longs malheurs m'offrait l'image affreuse.

A barba esquálida, os cabelos empastados / de sangue ele trazia e, pelo corpo, / os numerosos ferimentos recebidos / em torno aos muros, defendendo a pátria.

" Fils d'Anchise, pourquoi, souillant des mains si pures, / viens-tu troubler mon ombre et rouvrir mes blessures ? / Hélas ! respecte au moins l'asile du trépas ; / d'un insensible bois ce sang ne coule pas. / Cette contrée a vu terminer ma misère ; / mais celle où tu naquis ne m'est point étrangère : / épargne donc ma cendre, ô généreux Troyen ! / Ma patrie est la tienne, et ce sang est le mien. / Ah ! fuis ces lieux cruels, fuis cette terre avare : / j'y péris immolé par un tyran barbare. / Polydore est mon nom ; ces arbustes sanglants / furent autant de traits qui percèrent mes flancs. / La terre me reçut ; et, dans mon sein plongée, / leur moisson homicide en arbres s'est changée. "

“Por que razão, Eneias, dilaceras / este infeliz? Oh, deixa-me sepulto! / Evita conspurcar as mãos piedosas. / Não sou estranho para ti – gerou-me Troia – / nem da planta este humor está manando. / Oh! Foge destas plagas desumanas, / foge da terra da cobiça e da avareza. / Sou Polidoro: neste sítio me prostraram / sob uma chuva de assassinas flechas, / hoje em pontudas hastes convertidas.”