Translation of "Wretch" in French

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Examples of using "Wretch" in a sentence and their french translations:

One should never deride the wretch, for who can be sure of always being happy?

Il ne faut jamais se moquer des misérables, car qui peut s'assurer d'être toujours heureux ?

"All praised the sentence, pleased that one alone / should suffer, glad that one poor wretch should bear / the doom that each had dreaded for his own."

" L'arrêt fut applaudi : ce qu'il craignait pour soi, / chacun avec plaisir le vit tomber sur moi. "

"But mad with love's despair, / and stung with Furies for his spouse denied, / at length Orestes caught the wretch unware, / e'en by his father's shrine, and smote him then and there."

" Mais Oreste en fureur, qu'incessamment tourmente / le fouet de Némésis, le regret d'une amante, / jette aux pieds de l'autel son rival égorgé, / et ce rapt criminel par un crime est vengé. "

"As, scared the Phrygian ranks to see, / confused, unarmed, amid the gazing throng, / he stood, 'Alas! what spot on earth or sea / is left,' he cried, 'to shield a wretch like me, / whom Dardans seek in punishment to kill, / and Greeks disown?'"

" Seul, désarmé, d'abord sur cette foule immense / son timide regard se promène en silence ; / tout à coup il s'écrie : " O sort ! ô désespoir ! / Quelles mers, quels pays voudront me recevoir ? / La Grèce me poursuit, et, par ma mort certaine, / les Troyens furieux vont assouvir leur haine ! " "

"Spare, O AEneas, spare a wretch, nor shame / thy guiltless hands, but let the dead repose. / From Troy, no alien to thy race, I came. / O, fly this greedy shore, these cruel foes! / Not from the tree – from Polydorus flows / this blood, for I am Polydorus. Here / an iron crop o'erwhelmed me, and uprose / bristling with pointed javelins."

" Fils d'Anchise, pourquoi, souillant des mains si pures, / viens-tu troubler mon ombre et rouvrir mes blessures ? / Hélas ! respecte au moins l'asile du trépas ; / d'un insensible bois ce sang ne coule pas. / Cette contrée a vu terminer ma misère ; / mais celle où tu naquis ne m'est point étrangère : / épargne donc ma cendre, ô généreux Troyen ! / Ma patrie est la tienne, et ce sang est le mien. / Ah ! fuis ces lieux cruels, fuis cette terre avare : / j'y péris immolé par un tyran barbare. / Polydore est mon nom ; ces arbustes sanglants / furent autant de traits qui percèrent mes flancs. / La terre me reçut ; et, dans mon sein plongée, / leur moisson homicide en arbres s'est changée. "