Translation of "Ocupación" in French

0.005 sec.

Examples of using "Ocupación" in a sentence and their french translations:

¿Cuál es tu ocupación?

Quel est votre emploi ?

Tras años de ocupación soviética,

Après des années d'occupation soviétique,

Luego supervisó la ocupación francesa del sur de España.

Il a ensuite supervisé l'occupation française du sud de l'Espagne.

En 1806, Masséna supervisó la ocupación del Reino de Nápoles, ordenando brutales

En 1806, Masséna supervisa l'occupation du royaume de Naples - ordonnant des

Y que están estancados bajo una ocupación creciente, sin futuro como pueblo.

Cette année-là, Israël se retire de Gaza.

Que lo eligió para una importante misión en 1803: la ocupación de Hannover,

qui le choisit pour une mission importante en 1803: l'occupation de Hanovre,

Pero lo cierto es que una ocupación de Irán no parece nada recomendable.

mais une occupation de l'Iran ne semble en rien recommendable.

Sin embargo, para septiembre, las preparaciones de Sinan para una ocupación permanente no van bien.

Cependant, en septembre, les préparatifs de Sinan pour une occupation permanente ne se passe pas bien.

Buscar la verdad es la más noble ocupación del hombre, su publicación es un deber.

La recherche de la vérité est la plus noble des occupations, et sa publication, un devoir.

Determinada temperatura en el océano para su reproducción y migración, y parece que la ocupación de la

certaine température dans l'océan pour se reproduire et migrer, et il semble que l'occupation des

Mortier llevó a cabo esta tarea con tacto y diplomacia, asegurándose de que la ocupación no tuviera oposición.

Mortier s'acquitta de cette mission avec tact et diplomatie, s'assurant que l'occupation était sans opposition.

Gracias por comprender el drama de mi patria, que es como dijera Pablo Neruda, un Vietnam silencioso; no hay tropas de ocupación, ni poderosos aviones nublan los cielos limpios de mi tierra, pero estamos bloqueados económicamente, pero no tenemos créditos, pero no podemos comprar repuestos, pero no tenemos cómo comprar alimentos y nos faltan medicamentos...

Merci d'avoir compris le drame de ma patrie, qui comme le dirait Pablo Neruda est celui d’un Vietnam silencieux ; il n’y a pas de troupes d’occupation, ni d’avions puissants obscurcissant le ciel pur de ma terre. Mais nous affrontons un blocus économique, mais nous sommes privés de crédits, mais nous ne pouvons acheter de provisions, mais nous n'avons pas de quoi acheter des aliments et les médicaments nous manquent...

No existe tal cosa, en esta etapa de la historia del mundo en los Estados Unidos, algo como prensa independiente. Ustedes lo saben y yo lo sé. No hay uno solo de ustedes que se atreva a escribir sus opiniones honestas y si lo hicieran sabemos de antemano que nunca saldría en la prensa. A mí me pagan cada semana para mantener mis opiniones honestas fuera del periódico con el que tengo relación. A otros de ustedes les pagan salarios similares por cosas similares y cualquiera de ustedes que quisiera ser tan tonto como para escribir opiniones honestas andaría por las calles buscando otro empleo. Si se permitiera que mis opiniones honestas aparecieran en una edición de mis periódicos, antes de veinticuatro horas, mi ocupación ya habría desaparecido. El negocio de los periodistas es destruir la verdad, mentir abiertamente, pervertir, satanizar, haciendo reverencias a los pies de los ricos, y vender a su país y a su raza por su pan de cada día. Ustedes lo saben y yo lo sé, y ¿qué locura es esta de brindar por una prensa independiente? Somos payasos saltarines, ellos mueven los hilos y nosotros bailamos. Nuestros talentos, nuestras posibilidades y nuestras vidas son todas la propiedad de otros hombres. Somos prostitutas intelectuales.

Il n'y a pas, à ce stade de l'histoire mondiale aux États-Unis d'Amérique, de chose telle qu'une presse indépendante. Vous le savez et je le sais. Il n'y a pas un de vous qui ose écrire ses franches opinions, et si vous le faisiez, vous savez d'avance qu'elles ne seraient jamais publiées. Je suis hebdomadairement payé pour tenir mes franches opinions à distance du journal auquel je suis lié. D'autres d'entre vous reçoivent de mêmes émoluments pour des choses similaires, et n'importe lequel d'entre vous qui serait assez bête pour écrire de franches opinions serait à la rue à chercher un autre emploi. Si je laissais mes franches opinions être publiées dans l'une des parutions de mes journaux, mon emploi s'évaporerait avant vingt-quatre heures. Le boulot du journaliste est de détruire la vérité, de mentir effrontément, de pervertir, de diaboliser, de lécher les pieds de Mammon et de vendre son pays et sa race pour gagner son pain quotidien. Vous le savez et je le sais, et quelle folie est cette célébration d'une presse indépendante ? Nous sommes des pantins, ils tirent les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos possibilités et nos vies sont tous la propriété d'autres hommes. Nous sommes des prostitués intellectuels.