Examples of using "Vos" in a sentence and their french translations:
- Assieds-toi !
- Asseyez-vous !
Je vous protègerai !
Jésus vous aime.
Aimez vous les uns les autres, comme je vous ai aimés.
Elle vous a trahis.
- Qu'est-ce qui te cause du souci ?
- Qu'est-ce qui t'inquiète ?
- Qu'est-ce qui te préoccupe ?
- Qu'est-ce qui vous inquiète ?
Je ne vous lis pas des contes.
- Ils vont te trouver.
- Elles vont te trouver.
- Ils vont vous trouver.
- Elles vont vous trouver.
Je ne pourrais plus vous aider.
Je vais vous montrer le mien.
Prenez soin de vous !
Votre père vous aime beaucoup.
Nous vous avons vues.
Demandez et l'on vous donnera; cherchez et vous trouverez; frappez et l'on vous ouvrira.
Il a fait de vous des habitants des villes
et je vous ai accordé sa richesse.
Je vous ai donné ma vie.
Maintenant je vous offre ma mort.
Ne vous mettez pas en colère !
Je te l'enseignerai.
On m'a demandé de vous donner ceci.
Dieu vous bénisse !
Je vous déclare mari et femme.
Jésus vous aime.
- Vous vous souvenez ?
- Vous rappelez-vous ?
Ne bougez pas.
Il nous a été malheureusement impossible de vous prévenir.
On m'a demandé de vous transmettre ce message.
Il faut que vous vous dépêchiez.
Je vous remercie beaucoup.
Joignez-vous à nous.
Dépêchez-vous !
Puis-je vous être utile ?
Et pourtant, je vous dirige toujours, en tant que conquérant.
Je me souviens de vous avoir déjà vus avant.
Et vous connaîtrez la vérité et la vérité vous libérera.
Je ne peux rien vous donner de plus, sauf mon sang.
- Que Dieu te bénisse !
- Dieu vous bénisse !
- Dieu te bénisse !
- Que Dieu vous bénisse !
- Faites le bien à ceux qui vous haïssent.
- Faites du bien à ceux qui vous haïssent.
- Faites du bien à ceux qui vous détestent.
Quand Philippe vous a trouvé, vous étiez des vagabonds sans défense habillés de peaux.
Ce sont les grandes actions que mon père Philip a faites pour vous.
Je ne vous écris pas.
La Syrie sainte, la Palestine, la Mésopotamie, la Babylonie, tout vous appartient !
Ne te fâche pas.
- Je suis désolé de ne pas pouvoir t'aider.
- Je suis désolée de ne pas pouvoir t'aider.
- Je suis désolé, je ne peux pas t'aider.
N'oubliez pas qui vous êtes !
Je vous fais alors venir.
Merci beaucoup d'avance pour votre coopération.
- Vous vous souvenez de moi ?
- Vous rappelez-vous qui je suis ?
Contentez vous mes yeux, vous ne verrez jamais une chose pareille.
Je vous ai laissé un message.
Mais d'abord, je veux que vous compreniez comment vous vous êtes comporté envers moi... et comment je vous ai traité.
- Je vous remercie de tout cœur.
- Merci du fond du cœur.
- Je t'aime !
- Je vous aime.
" Apprenez donc de moi, fils de Laomédon, / ce qu'apprit Jupiter au divin Apollon, / ce qu'Apollon m'apprit, ce que je vous déclare, / moi, la terrible sœur des filles du Tartare. "
Qu'est-ce qui vous amène ici ?
- Le vert te va bien.
- Le vert vous sied bien.
Ainsi, tout ce que vous voulez que les hommes fassent pour vous, faites-le vous-mêmes pour eux.
" Mais vous ne pourrez pas vous fixer sur ses bords, / que, pressés par la faim, dans votre rage extrême / vous n'ayez dévoré jusqu'à vos tables même. "
Le livre « Je vous demande le droit de mourir » raconte l'épisode tragique de la mort de Vincent Humbert.
- Je t'aime !
- Je vous aime.
- Je t'adore.
- Je t'aime.
On m'a demandé de vous donner ceci.
Je vous remercie du fond du cœur.
- Je te le ferai savoir.
- Je vous le ferai savoir.
Je ne vous photographie pas.
C'est l'esprit qui vivifie, la chair ne sert de rien. Les paroles que je vous ai dites sont esprit et elles sont vie.
Alors, des anciens temps gravés dans sa mémoire / mon père à nos regards développant l'histoire : " O Troyens ! nous dit-il, par des signes certains / connaissez notre espoir, connaissez nos destins. "
Je vous ai déjà dit que je ne sais pas si Tom vous dira la vérité.
" Oui, du vieux Latium vous atteindrez les ports. "
Veuillez faire ce que nous vous avons demandé.
" Je devrais... Mais des flots il faut calmer la rage ; / un autre châtiment suivrait un autre outrage. "
Je vous protègerai !
Je vous approuve en tous points.
- Je suis étonné de vous voir.
- Je suis surpris de te voir.
- Je suis surprise de te voir.
- Je suis étonné de te voir.
- Je suis surpris de vous voir.
- Je suis surprise de vous voir.
- Je suis étonnée de vous voir.
- Je suis étonnée de te voir.
- Qu'est-ce qui t'amène ici ?
- Qu'est-ce qui vous amène ici ?
" Mes amis, bannissons d'inutiles alarmes ; / un jour ces souvenirs auront pour nous des charmes. "
" Mais pourquoi ces récits qui vous lassent peut-être ? / Troyens, si tous les Grecs sont égaux à vos yeux, / que tardez-vous ? versez le sang d'un malheureux : / quel plaisir pour Ulysse et pour les fiers Atrides ! "
Le chat t'attend à la maison.
Tu t'es mouillé ?
- Je ne te dois rien.
- Je ne vous dois rien.
Ne donnez pas aux chiens ce qui est saint et ne jetez pas vos perles devant les pourceaux, de peur qu'ils ne les foulent aux pieds, et, se tournant contre vous, ne vous déchirent.
Je t’emmène dans un endroit sympathique.
- Je vais te raconter une histoire.
- Je vous raconterai une histoire.
- Je te raconterai une histoire.
" Les voilà, dit Anchise ; oui, Troyens, les voilà, / ces gouffres de Carybde, et ces rocs de Scylla ! / Aux rames, mes amis ! fuyons ces bords horribles / qu'annonçaient d'Hélénus les oracles terribles ! "
Je vous salue, ô toutes les âmes fidèles, dont les corps ici et partout reposent dans le sol.
Aussitôt, appelant Eurus et le Zéphyre, / " Eh quoi ! sans mon aveu, quoi ! dans mon propre empire, / d'une race rebelle enfants audacieux, / vents, vous osez troubler et la terre et les cieux ! "
" Soit qu'aux champs de Saturne, aux rivages latins, / appelés par les dieux, vous suiviez vos destins ; / soit qu'aux champs fraternels de l'heureuse Sicile / chez un prince allié vous cherchiez un asile ; / comptez sur mes bienfaits, comptez sur mes secours. "
" Sa masse vous surprend ; mais ils ont craint, dit-on, / si dans les murs de Troie on pouvait l'introduire, / que son appui sacré ne sauvât votre empire, / de Pallas à vos murs ne rendît la faveur. "
Je vous montrerai la ville.
Il faut être toujours ivre. Pour ne pas sentir l'horrible fardeau du temps qui brise vos épaules, il faut s’enivrer sans trêve. De vin, de poésie ou de vertu, à votre guise. Mais enivrez-vous !
Je ne vous supporte pas.
Je ne vous vois pas.
Je ne vous comprends pas.
Tu ne m’as pas permis d’embrasser mes fils et mes filles ! C’est en insensé que tu as agi. Ma main est assez forte pour vous faire du mal ; mais le Dieu de votre père m’a dit hier : Garde-toi de parler à Jacob ni en bien ni en mal !
- Je ne veux pas t'offenser.
- Je ne veux pas t'offusquer.
- Je ne veux pas vous offenser.
- Je ne veux pas vous offusquer.