Examples of using "Ora" in a sentence and their french translations:
- Tantôt il court, tantôt il marche.
- Parfois il court, parfois il marche.
- Tiens !
- Voilà pour vous.
Mince alors !
Ah, ça alors !
- Pour le moment, cela suffit.
- Cela suffit à l'heure actuelle.
- C'en est assez pour le moment.
Cela devrait suffire pour le moment.
Cela suffira pour l'instant.
Bof ! Ne me dis pas ça !
Parfois je pense, et parfois je suis.
Peau de balle !
Je vais rester à l'hôtel pour l'instant.
- C'est tout ce que je peux dire pour le moment.
- C'est tout ce que je peux dire dans le moment.
Surtout le tendre Énée est touché de leur sort : / au fidèle Gyas, aux valeureux Cloanthe / prodigue ses regrets et sa douleur touchante ; / tantôt il s'attendrit sur le sort de Lycus, / et tantôt de ses pleurs honore Caïcus.
" Là, satisfait, époux de la fille des rois, / un empire puissant fleurira sous tes lois. / Cesse de t'alarmer pour celle que tu pleures. "
" O fureur ! Quoi ! Pallas, une simple déesse, / a bien pu foudroyer les vaisseaux de la Grèce ; / soldats, chefs, matelots, tout périt sous ses yeux : / Pourquoi ? pour quelques torts d'un jeune furieux. "
Le port creusé dans ces rivages / garde un calme profond ; mais par d'autres orages / l'épouvantable Etna trouble, en grondant, ces lieux ; / bientôt déploie en l'air des colonnes de feux ; / tantôt, des profondeurs de son horrible gouffre, / de flamme et de fumée, et de cendre et de soufre, / dans le ciel obscurci lance d'affreux torrents ; / tantôt, des rocs noircis par ses feux dévorants / arrachant les éclats, de ses voûtes tremblantes / vomit, en bouillonnant, ses entrailles brûlantes.
Le vieillard, à ces mots, / de son cœur oppressé poussant de longs sanglots : / " Il est, il est venu ce jour épouvantable, / ce jour de nos grandeurs le terme inévitable : / Ilion, les Troyens, tout est anéanti. / De Jupiter sur nous le bras appesanti / livre aux enfants d'Argos leur malheureuse proie. "
Bien entendu, le peuple ne veut pas de guerre. Pourquoi est-ce qu'un pauvre gueux dans une ferme voudrait risquer sa vie dans une guerre dont il ne peut espérer au mieux qu'il en reviendra entier ? Naturellement, le commun de la population ne veut pas de guerre ; ni en Russie, ni en Angleterre, ni en Amérique, ni, en ce qui nous concerne, en Allemagne. C'est bien entendu. Mais, après tout, ce sont les dirigeants d'un pays qui en déterminent les lignes d'action, et ce n'est jamais qu'une question simple que d'entraîner le peuple, que ce soit dans une démocratie, une dictature fasciste, un Parlement, ou une dictature communiste. [...] Le peuple peut toujours être converti à la cause des dirigeants. Cela est facile. Tout ce qu'il suffit de faire, c'est de leur dire qu'ils sont attaqués et dénoncer les pacifistes pour leur manque de patriotisme qui expose le pays au danger. Cela marche de la même manière dans tous les pays.