Translation of "Ora" in French

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Examples of using "Ora" in a sentence and their french translations:

Ora ele corre, ora ele anda.

- Tantôt il court, tantôt il marche.
- Parfois il court, parfois il marche.

- Ora esta!
- Olhe!
- Ora aí está!

- Tiens !
- Voilà pour vous.

Ora bolas.

Mince alors !

Ora esta!

Ah, ça alors !

Basta por ora.

- Pour le moment, cela suffit.
- Cela suffit à l'heure actuelle.
- C'en est assez pour le moment.

Por ora, isto basta.

Cela devrait suffire pour le moment.

Isso será suficiente por ora.

Cela suffira pour l'instant.

Ora, não me diga isso!

Bof ! Ne me dis pas ça !

- Ora penso, ora existo.
- Às vezes eu penso e às vezes eu sou.

Parfois je pense, et parfois je suis.

- Ora essa!
- Era só o que faltava!

Peau de balle !

Eu vou ficar no hotel por ora.

Je vais rester à l'hôtel pour l'instant.

Isso é tudo o que eu posso dizer por ora.

- C'est tout ce que je peux dire pour le moment.
- C'est tout ce que je peux dire dans le moment.

Mais sofre o bom Eneias, que ora chora / do ardente Orontes o destino, ora o de Amico, / e pensa com tristeza nos maus fados / do pobre Lico, do valente Gias / e daquele Cloanto destemido.

Surtout le tendre Énée est touché de leur sort : / au fidèle Gyas, aux valeureux Cloanthe / prodigue ses regrets et sa douleur touchante ; / tantôt il s'attendrit sur le sort de Lycus, / et tantôt de ses pleurs honore Caïcus.

"Ali serás feliz: conquistarás um reino / e casarás com uma princesa. Enxuga o pranto / que por tua Creúsa ora derramas."

" Là, satisfait, époux de la fille des rois, / un empire puissant fleurira sous tes lois. / Cesse de t'alarmer pour celle que tu pleures. "

"Ora, não pôde Palas incendiar / a frota dos argivos e no mar / afogá-los por causa só do ultraje / e da fúria de Ajax, filho de Oíleu?"

" O fureur ! Quoi ! Pallas, une simple déesse, / a bien pu foudroyer les vaisseaux de la Grèce ; / soldats, chefs, matelots, tout périt sous ses yeux : / Pourquoi ? pour quelques torts d'un jeune furieux. "

Ao abrigo dos ventos, amplo e calmo / é o porto, porém perto com terríveis / erupções o Etna atroa: ora expelindo / para o alto borbotões de fumegantes nuvens / de negro piche e cinza incandescente, / ou flâmeos globos que às estrelas sobem, / ora as pétreas entranhas da montanha, / com violência arrancadas, disparando, / e vomitando a lava estuante que no peito / do vulcão geme e à boca surge em rubras ondas.

Le port creusé dans ces rivages / garde un calme profond ; mais par d'autres orages / l'épouvantable Etna trouble, en grondant, ces lieux ; / bientôt déploie en l'air des colonnes de feux ; / tantôt, des profondeurs de son horrible gouffre, / de flamme et de fumée, et de cendre et de soufre, / dans le ciel obscurci lance d'affreux torrents ; / tantôt, des rocs noircis par ses feux dévorants / arrachant les éclats, de ses voûtes tremblantes / vomit, en bouillonnant, ses entrailles brûlantes.

Mal lhe faço as perguntas, me responde / em soluços: “Dardânia viu chegar / seu derradeiro dia, o inelutável fim. / Ílio acabou, troianos já não somos; / da teucra estirpe ora se esfuma a excelsa glória. / Júpiter inclemente a mais completa / vitória concedeu aos filhos de Argos, / que sobre Troia em chamas senhoreiam."

Le vieillard, à ces mots, / de son cœur oppressé poussant de longs sanglots : / " Il est, il est venu ce jour épouvantable, / ce jour de nos grandeurs le terme inévitable : / Ilion, les Troyens, tout est anéanti. / De Jupiter sur nous le bras appesanti / livre aux enfants d'Argos leur malheureuse proie. "

Ora, é claro que o povo não deseja a guerra. Por que um pobre coitado, trabalhando em uma fazenda, haveria de querer arriscar sua vida numa guerra, quando o máximo que ele pode conseguir dela é voltar para casa inteiro? Naturalmente, as pessoas comuns não querem guerra; nem na Rússia, nem na Inglaterra, nem na América, nem mesmo, aliás, na Alemanha. Isso não se discute. Mas, afinal de contas, são os líderes do país que determinam a política e é sempre muito simples manobrar o povo, seja numa democracia ou numa ditadura fascista, num regime parlamentar ou numa ditadura comunista. [...] Com voz ou sem voz, os cidadãos sempre podem ser levados a cumprir as ordens dos líderes. É fácil. Tudo o que é preciso fazer é dizer-lhes que estão sendo atacados e denunciar os pacifistas por falta de patriotismo e por exporem o país ao perigo. É exatamente dessa mesma maneira que a coisa funciona em qualquer país.

Bien entendu, le peuple ne veut pas de guerre. Pourquoi est-ce qu'un pauvre gueux dans une ferme voudrait risquer sa vie dans une guerre dont il ne peut espérer au mieux qu'il en reviendra entier ? Naturellement, le commun de la population ne veut pas de guerre ; ni en Russie, ni en Angleterre, ni en Amérique, ni, en ce qui nous concerne, en Allemagne. C'est bien entendu. Mais, après tout, ce sont les dirigeants d'un pays qui en déterminent les lignes d'action, et ce n'est jamais qu'une question simple que d'entraîner le peuple, que ce soit dans une démocratie, une dictature fasciste, un Parlement, ou une dictature communiste. [...] Le peuple peut toujours être converti à la cause des dirigeants. Cela est facile. Tout ce qu'il suffit de faire, c'est de leur dire qu'ils sont attaqués et dénoncer les pacifistes pour leur manque de patriotisme qui expose le pays au danger. Cela marche de la même manière dans tous les pays.