Examples of using "Anda" in a sentence and their french translations:
Je le vois. Allez. Allez, viens par là.
Il arrive. Allez. Allez.
Il marche lentement.
Sa grand-mère ne peut pas marcher, n'est-ce pas ?
- Elle marche.
- Il fait une promenade.
Il marche.
- Il marche vite.
- Il marche rapidement.
- Tom marche vite.
- Tom marche rapidement.
Il marche lentement.
Tu t’évanouissais.
Qu'est-ce que tu marches vite !
Tom marche lentement.
Elle marche.
Si tu veux aller vite, marche seul ; mais si tu veux aller loin, marchons ensemble.
Marche le plus vite possible.
Salut, Meg, comment ça va ?
Vous n'êtes pas tirés d'affaire.
Le Père Noël monte sur un traîneau.
Mon horloge ne fonctionne pas correctement.
- Tantôt il court, tantôt il marche.
- Parfois il court, parfois il marche.
- Pourquoi es-tu si occupée ?
- Pourquoi es-tu si occupé ?
- Pourquoi êtes-vous si occupée ?
- Pourquoi êtes-vous si occupées ?
- Pourquoi êtes-vous si occupés ?
- Pourquoi êtes-vous si occupé ?
Marie est toujours à la nouvelle mode.
Les cordonniers sont les plus mal chaussés.
Maman, depêche-toi! Tout le monde attend.
D'habitude ma sœur va à l'école à pied.
Tom marche lentement.
Qu'est-ce qui a des pieds, mais qui ne marche pas ?
Salut, Meg, comment ça va ?
Aux échecs, le cheval se déplace en forme de "L".
J'ai l'impression que quelque chose cloche.
Je suis sûr que le train va vite.
et ce genre va avec s'assurer
Si vous voulez être populaire quand vous marchez dans la rue
Il marche vers l'école.
- Comment va ton boulot ?
- Comment va votre travail ?
Elle marche.
S'est-elle jamais confiée à vous au sujet des problèmes qu'elle endurait ?
Personne ne savait où elle était.
Comment va ta sœur ?
Les cordonniers sont les plus mal chaussés.
Le sujet est généralement celui qui agit (va, bois, donne, pense, décide, etc...).
Abraham étant âgé de quatre-vingt-dix-neuf ans, le Seigneur lui apparut et lui dit : Je suis le Dieu tout-puissant ; conduis-toi à mon gré, sois irréprochable.
" Tu vois ton frère Énée assailli de revers, / victime de Junon, et le jouet des mers ; / tu le vois, et, pour lui partageant ma tendresse, / cent fois j'ai vu ton cœur ressentir ma tristesse. "
" Hélas ! et plût au ciel que le même naufrage / eût conduit votre chef sur le même rivage ! / Je vais, jusqu'aux confins de mes vastes états, / partout faire chercher la trace de ses pas : / peut-être nous saurons quel désert, quelle ville / à ses destins errants ont offert un asile. "