Examples of using "Ancestrais" in a sentence and their french translations:
car qu'a dit nos ancêtres?
Nos ancêtres savaient lire les étoiles.
Nos ancêtres arrivèrent dans ce pays il y a 150 ans.
maintenant je vais vous parler un peu de nos ancêtres
Il suffit de revenir en arrière et de récupérer un peu de nos ancêtres
Alors, comment va la femme dans nos ancêtres
Nos ancêtres arrivèrent dans ce pays il y a 150 ans.
que nos ancêtres ont utilisés pendant des millénaires.
Voyons voir si c'est entre la vieille Rome et nos ancêtres.
Beaucoup des rites ancestraux de cette tribu ont été perdus avec le temps.
J'ignore qui sont mes ancêtres. Nos papiers se sont perdus lors du Déluge.
Il y a une rumeur dans le village de ma mère selon laquelle il y aurait des ancêtres japonais. Je ne sais pas quoi en penser.
La raison pour laquelle notre fourrure est marron est que cela a permis à nos ancêtres les singes de se cacher parmi les noix de coco.
Égaré, mais soumis à cette voix divine, / à sa double famille, à sa double origine, / il impute l'erreur de l'oracle douteux / qui lui fit méconnaître et confondre ces lieux.
Les Troyens cependant veulent vendre leurs jours ; / d'un dernier désespoir misérable secours ! / De leurs toits démolis, de leurs tours embrasées, / ils combattent des Grecs les troupes écrasées, / roulent ces lambris d'or, ces riches ornements, / de leurs antiques rois augustes monuments.
J'arrive enfin, j'arrive au palais paternel ; / je vole vers mon père : ô désespoir cruel ! / Mon père, qu'avant tout doit sauver ma tendresse, / quand je veux au danger dérober sa vieillesse, / refuse de survivre à nos communs malheurs, / et d'aller dans l'exil prolonger ses douleurs.
" Troyens ! c'est au berceau de vos premiers parents / que je promets un terme à vos destins errants ; / allez, et recherchez la terre paternelle : / là, naîtra de vainqueurs une race éternelle ; / là règneront Énée et ses derniers neveux, / et les fils de ses fils, et ceux qui naîtront d'eux. "
En prenant l'habitude de mettre et de lire des émoticônes et autres abréviations chargées d'indiquer le ton des messages, les jeunes vident les langues de leur charge émotionnelle, ravalant les mots à une simple information insipide, au point qu'ils sont devenus incapables d'y détecter le moindre humour sans ces symboles. C'est à se demander comment nos ancêtres faisaient pour rire ou pleurer des correspondances qu'ils recevaient. Les langues autrefois si riches de cette dualité sont donc en train d'évoluer en combinaisons de deux systèmes de symboles distincts : l'un pour le contenu, l'autre pour le ton.