Examples of using "Werke" in a sentence and their french translations:
J'ai lu une de ses œuvres.
Les ordinateurs peuvent-ils traduire des œuvres littéraires ?
Ses travaux perdureront pendant des siècles.
Ses réalisations sont éloquentes.
As-tu déjà lu les œuvres de Milton ?
J'ai lu des ouvrages de toutes sortes.
Essayons de comparer son œuvre avec les leurs.
As-tu déjà lu les œuvres de Milton ?
Cette collection est riche en tableaux des maîtres hollandais.
Fais attention.
Jusqu'à présent, j'ai lu trois œuvres de Shakespeare.
Il est désormais possible de trouver les œuvres de Trotsky dans n’importe quelle librairie.
il nous a en fait raconté les œuvres de la mafia dans ce film
Le seul moyen de bien faire son travail est d'aimer ce que l'on fait.
Mon nom est Ozymandias, Roi des Rois. Voyez mes œuvres, Puissants, et désespérez !
Certains pensent que les œuvres attribuées à Shakespeare furent écrites par quelqu'un d'autre.
Après avoir lu tous ses récits, Christophe Colomb est devenu un de mes héros préférés.
Précisément pour cette raison, de nombreux travaux ont été traduits de toutes sortes de langue à l'espéranto.
Regardez, ces œuvres ont été vendues à une petite figure drôle comme 8500 $.
Ce que je demande à mon lecteur, c'est qu'il voue sa vie entière à lire mes œuvres.
Quiconque, en effet, commet le mal hait la lumière et ne vient pas à la lumière, de peur que ses œuvres ne soient démontrées coupables.
- Il publia ses ouvrages les plus célèbres dans les années soixante et soixante-dix.
- Elle publia ses ouvrages les plus célèbres dans les années soixante et soixante-dix.
- Il publia ses ouvrages les plus célèbres dans les années soixante et septante.
Au Musée d'Orsay, vous pourrez admirer les œuvres de nombreux peintres : Cézanne, Corot, Klimt, Delacroix, Pissaro, Toulouse-lautrec…
Le caractère obligatoire de la scolarité est rarement analysé dans la multitude d'ouvrages consacrés à l'étude des divers moyens de développer chez les enfants un désir d'apprendre.
Il suffit d’être sorti des rêves de la jeunesse, de tenir compte de l’expérience, de la sienne et de celle des autres, d’avoir appris à se mieux connaître, par la vie, par l’histoire du temps passé et du présent, par la lecture des grands poètes, et de n’avoir pas le jugement paralysé par des préjugés trop endurcis, pour se résumer les choses ainsi : le monde humain est le royaume du hasard et de l’erreur, qui y gouvernent tout sans pitié, les grandes choses et les petites ; à côté d’eux, le fouet en main, marchent la sottise et la malice : aussi voit-on que toute bonne chose a peine à se faire jour, que rien de noble ni de sage n’arrive que bien rarement à se manifester, à se réaliser ou à se faire connaître ; qu’au contraire l’inepte et l’absurde en fait de pensée, le plat, le sans-goût en fait d’art, le mal et la perfidie en matière de conduite, dominent, sans être dépossédés, sauf par instants. En tout genre, l’excellent est réduit à l’état d’exception, de cas isolé, perdu dans des millions d’autres ; et si parfois il arrive à se révéler dans quelque œuvre de durée, plus tard, quand cette œuvre a survécu aux rancunes des contemporains, elle reste solitaire, pareille à une pierre du ciel, que l’on conserve à part, comme un fragment détaché d’un monde soumis à un ordre différent du nôtre.