Translation of "Vieillard" in Portuguese

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Examples of using "Vieillard" in a sentence and their portuguese translations:

M. Jean est un vieillard complètement idiot.

O Sr. Jean é um velho completamente idiota.

Le vieillard se mit à rire tristement.

O velho riu tristemente.

Le vieillard paraissait faire preuve de sagesse.

O idoso parecia sábio.

Un vieillard qui meurt, c'est comme une bibliothèque qui brûle.

Um ancião que morre é qual uma biblioteca que se queima.

- Tom est vieux.
- Tom est un vieil homme.
- Tom est un vieillard.

- Tom é um velho.
- Tom é um homem idoso.

Par ces mots, du vieillard désarmant le courroux, / la reine enfin l'entraîne et le place auprès d'elle.

Ao pé de si atrai o venerável / consorte e o acomoda em sagrado setial.

Tous deux avaient eu une nuit agitée, le vieillard par l’insomnie, la jeune fille par des rêves délicieux.

Ambos tiveram uma noite inquieta; o velho devido à insônia, e a garota por causa de sonhos deliciosos.

Un vieillard est un grand arbre qui n'a plus ni fruits ni feuilles, mais qui tient encore à la terre.

Um ancião é uma grande árvore que, já não tendo nem frutos nem folhas, ainda está presa à terra.

Pyrrhus le suit ; déjà, tout bouillant de furie, / il le presse, il le touche, il l'atteint de son dard : / enfin au saint autel, asile du vieillard, / son fils court éperdu, tend les bras à son pére, / hélas ! et dans son sang tombe aux pieds de sa mère.

Perseguindo-o vem Pirro, a fúria na alma, / o golpe pronto para desfechar: / está quase a alcançá-lo, agora o atinge / com a lança letal, quando ante os pais / ia chegando a vítima, que tomba, / a vida a derramar em golfadas de sangue.

Le vieillard, à ces mots, / de son cœur oppressé poussant de longs sanglots : / " Il est, il est venu ce jour épouvantable, / ce jour de nos grandeurs le terme inévitable : / Ilion, les Troyens, tout est anéanti. / De Jupiter sur nous le bras appesanti / livre aux enfants d'Argos leur malheureuse proie. "

Mal lhe faço as perguntas, me responde / em soluços: “Dardânia viu chegar / seu derradeiro dia, o inelutável fim. / Ílio acabou, troianos já não somos; / da teucra estirpe ora se esfuma a excelsa glória. / Júpiter inclemente a mais completa / vitória concedeu aos filhos de Argos, / que sobre Troia em chamas senhoreiam."

Voyant les Grecs vainqueurs au sein de ses remparts, / son antique palais forcé de toutes parts, / l'ennemi sous ses yeux, d'une armure impuissante / ce vieillard charge en vain son épaule tremblante, / prend un glaive à son bras dès longtemps étranger, / et s'apprête à mourir plutôt qu'à se venger.

Vendo a cidade capturada, as portas / do palácio arrombadas e seu lar / pelo inimigo profanado, o pobre ancião / põe sobre os ombros trêmulos o fardo / inútil da armadura aposentada / havia tanto tempo e, em vão cingindo a espada, / caminha para o meio da caterva / celerada, caminha para a morte.

Soudain jusques au fond l'œil étonné découvre / ces longs appartements, ces lambris somptueux, / de nos antiques rois séjour majestueux. / On approche, on regarde, et, debout sur la porte, / paraît, le fer en main, une fière cohorte, / qui d'un roi malheureux, d'un malheureux vieillard, / dans son dernier asile est le dernier rempart : / sa garde sur le seuil demeure inébranlable.

Expõe-se do palácio a intimidade: / os longos átrios, os privados aposentos / de Príamo e de priscos reis troianos; / e logo à entrada, à frente, estão postados / (isto também se pode ver) homens armados.

Docile au sage avis du divin interprète, / Anchise ordonne alors que la flotte s'apprête, / qu'on rattache la voile, et qu'aux vents fortunés / ses plis prêts à s'ouvrir flottent abandonnés. / Hélénus en ces mots honore sa vieillesse : / " Mortel chéri des dieux, époux d'une déesse, / qui deux fois échappas aux malheurs d'Ilion, / cette Ausonie, objet de ton ambition, / d'ici ton œil la voit, ton espoir la possède ; / mais, pour atteindre au lieu que le destin te cède, / il faut raser ses bords, et par de longs chemins, / voyageur patient, gagner ces champs lointains. / Adieu, vieillard heureux, encor plus heureux père ! / Adieu : déjà l'autan, de son souffle prospère, / sur une mer propice appelle vos vaisseaux. / Adieu : mes souvenirs vous suivront sur les eaux. "

Aprestar os navios manda Anquises, / para largar enquanto o vento é favorável. / Respeitoso, dirige-lhe a palavra / o intérprete de Apolo: “Anquises, tu que foste / considerado digno da sublime / união com Vênus, ó mortal aos deuses caro, / que foste salvo de ambos os excídios / de Pérgamo, eis da Ausônia a terra é teu solar; / solta as velas e vai a ela aportar. / Mas é preciso que navegues para além / da costa próxima, porque da Ausônia a parte / que te franqueia Apolo, fica do outro lado. / Parte, ó pai venturoso, que contigo / levas o amor e a devoção do nobre filho. / E é só, não devo retardar-te com discursos, / quando os austros começam a soprar.”