Translation of "Glacé" in Portuguese

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Examples of using "Glacé" in a sentence and their portuguese translations:

L'histoire m'a glacé le sang.

A história gelou meu sangue.

Une caméra ultrasensible révèle ce monde glacé.

Uma câmara de filmar com pouca luz revela este mundo gelado.

Ce grand prince, au milieu de ses fils moissonnés, / terminant sous le fer ses jours infortunés, / d'un père, comme lui, déjà glacé par l'âge / tout à coup réveilla l'attendrissante image : / de mon épouse en pleurs, de mon malheureux fils, / mon amour consterné croit entendre les cris.

Ao ver, petrificado, se exalar, / pela brutal ferida, a alma do velho rei, / vem-me de outro ancião, daquela mesma idade, / ao pensamento a imagem tão querida. / Penso em meu pai, no desamparo de Creúsa, / em nossa casa saqueada, em nosso Ascânio, / exposto, o pequenino, a tamanhos perigos.

Je marche vers ces lieux ; mais son œil de plus près / à peine eut reconnu mon visage, mes traits, / distingué mes habits et mes armes troyennes, / elle tombe : son sang s'est glacé dans ses veines. / Elle reste longtemps sans force et sans couleur ; / mais enfin, rappelant un reste de chaleur :

Quando me vê chegar acompanhado / de guerreiros troianos, toma um susto / tão grande, que desmaia, o calor lhe fugindo / de todo o corpo; só depois de muito tempo / consegue recobrar-se e me dizer:

Sa barbe hérissée, et ses habits poudreux, / le sang noir et glacé qui collait ses cheveux, / ses pieds qu'avaient gonflés, par l'excès des tortures, / les liens dont le cuir traversait leurs blessures ; / son sein encor percé des honorables coups / qu'il reçut sous nos murs en combattant pour nous : / tout de ses longs malheurs m'offrait l'image affreuse.

A barba esquálida, os cabelos empastados / de sangue ele trazia e, pelo corpo, / os numerosos ferimentos recebidos / em torno aos muros, defendendo a pátria.

De la reine des nuits la course vagabonde, / et les feux éclipsés du grand astre du monde, / le pouvoir qui, créant l'homme et les animaux, / leur versa de la vie et les biens et les maux, / les orages, les feux, le char glacé de l'Ourse, / et les astres gémeaux qui conduisent sa course, / l'Hyade et ses torrents ; dit pourquoi des hivers / les jours si promptement se plongent dans les mers ; / d'où vient des nuits d'été la lenteur paresseuse. / Enfin, sur mille tons sa voix mélodieuse / chantait l'ordre des cieux et des astres divers ; / et sa noble harmonie imitait leurs concerts.

Canta as fases da Lua, os eclipses do Sol; / da raça humana a origem, de animais, / dos raios e da chuva; canta Arcturo, / as Híades imbríferas e as duas / Ursas; diz a razão de o sol de inverno / ter pressa de imergir nas águas do oceano, / e a de a noite estival chegar tão tarde.