Translation of "Barbare" in Portuguese

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Examples of using "Barbare" in a sentence and their portuguese translations:

Le massacre des prisonniers était un acte barbare.

O massacre dos prisioneiros era ato um bárbaro.

"Mais son barbare frère, exemple de tyrans, / Pygmalion, obtint la grandeur souveraine. "

"Mas em Tiro reinava / Pigmalião, irmão dela, dos malvados / sem dúvida o maior".

À peine il aperçoit ces soldats inhumains, / une horrible fureur de Corèbe s'empare ; / il s'élance au milieu de la foule barbare.

O espetáculo Corebo / não pôde suportar: enfurecido / e disposto a morrer, arremeteu / contra o fero esquadrão que a circundava.

" O catastrophe horrible ! ô souvenir affreux ! / Hélas ! en écoutant ces récits douloureux, / d'Ulysse, de Pyrrhus, auteurs de nos alarmes, / quel barbare soldat ne répandrait des larmes ? "

"Qual guerreiro tais fatos ao narrar, / por mais duro que fosse – um Mirmidão, / um Dólope, um do bando impiedoso de Ulisses – / conseguiria as lágrimas conter?"

" Mais bientôt d'un époux privé de sépulture / le spectre, s'élevant du sein de l'ombre obscure, / triste, pâle et sanglant, apparut à ses yeux, / dévoila de sa mort le mystère odieux, / et cette cour barbare, et l'autel homicide. "

"Mas em sonho aparece a Dido a imagem / do marido insepulto; erguendo um rosto / estranhamente pálido, ele fala / do ensanguentado altar e expõe o peito / apunhalado, revelando com detalhes / aquele crime, que sua casa desconhece".

" Mais quel peuple cruel habite ces climats ? / Sur la rive en tremblant nous hasardions nos pas, / sur nous se précipite une foule barbare ; / d'un coin de terre inculte on est pour nous avare, / et, le fer à la main, on vient nous arracher / l'asile du naufrage et l'abri d'un rocher. "

"Mas, que casta de gente será esta, / ou que país tão primitivo há que tolere / semelhante conduta? A hospitalidade / da praia nos negando, nos perseguem, / hostis e belicosos, impedindo / que possam náufragos pisar em terra firme".

" Didon, pleine d'effroi, hâte soudain sa fuite : / ceux qu'une même horreur, ou que la crainte excite, / attroupés en secret, veulent suivre son sort. / Des vaisseaux étaient prêts à s'éloigner du bord, / leur troupe s'en saisit ; de leur asile avare / on tire les trésors de ce monstre barbare. / Maîtres de sa richesse, et bravant son courroux, / ils voguent. Une femme a conduit ces grands coups. "

"Dido, aterrorizada, logo cuida / de arranjar companheiros para a fuga, / juntando ao seu redor os que tinham mais medo / ou mais ódio do déspota insensível. / De barcos prestes a zarpar se apossam / e, carregando-os de ouro, mar afora / vão levando as riquezas cobiçadas / de Pigmalião: da empresa à frente está a mulher!"

Au milieu des horreurs de ce jour sanguinaire, / trop digne d'achever l'ouvrage de son père, / du meurtrier d'Hector le barbare héritier, / Pyrrhus vient, et déploie Achille tout entier : / il menace, il attaque ; à sa fureur extrême, / les barrières, les murs, et la garde elle-même, / tout cède. Le bélier tonne à coups redoublés. / Arrachée à grand bruit de ses gonds ébranlés, / enfin, la porte tombe.

Pirro arremete, tão violento quanto o pai: / nem barreiras nem guardas o detêm; / de seu aríete já aos golpes repetidos / a porta vai cedendo e, por fim arrancados / da couceira, os batentes vêm abaixo.

" Fils d'Anchise, pourquoi, souillant des mains si pures, / viens-tu troubler mon ombre et rouvrir mes blessures ? / Hélas ! respecte au moins l'asile du trépas ; / d'un insensible bois ce sang ne coule pas. / Cette contrée a vu terminer ma misère ; / mais celle où tu naquis ne m'est point étrangère : / épargne donc ma cendre, ô généreux Troyen ! / Ma patrie est la tienne, et ce sang est le mien. / Ah ! fuis ces lieux cruels, fuis cette terre avare : / j'y péris immolé par un tyran barbare. / Polydore est mon nom ; ces arbustes sanglants / furent autant de traits qui percèrent mes flancs. / La terre me reçut ; et, dans mon sein plongée, / leur moisson homicide en arbres s'est changée. "

“Por que razão, Eneias, dilaceras / este infeliz? Oh, deixa-me sepulto! / Evita conspurcar as mãos piedosas. / Não sou estranho para ti – gerou-me Troia – / nem da planta este humor está manando. / Oh! Foge destas plagas desumanas, / foge da terra da cobiça e da avareza. / Sou Polidoro: neste sítio me prostraram / sob uma chuva de assassinas flechas, / hoje em pontudas hastes convertidas.”