Translation of "Fureur" in Portuguese

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Examples of using "Fureur" in a sentence and their portuguese translations:

Les cris de la fureur et le bruit du carnage / se mêlent dans les airs aux accents du clairon.

À grita dos guerreiros se mistura / o clangor dos clarins.

" N'avez-vous pas bravé l'antre de Polyphème ? / N'avez-vous pas naguère entendu sans terreur / des rochers de Scylla la bruyante fureur ? "

"Chegastes perto do furor de Cila / e os gritos lhe escutastes, que estremecem / suas cavernas rumorosas sob as águas; / e desafiastes os rochedos dos Ciclopes".

À peine il aperçoit ces soldats inhumains, / une horrible fureur de Corèbe s'empare ; / il s'élance au milieu de la foule barbare.

O espetáculo Corebo / não pôde suportar: enfurecido / e disposto a morrer, arremeteu / contra o fero esquadrão que a circundava.

De ses Grecs irrités redoutant le courroux, / la haine des Troyens, la fureur d'un époux, / cette vile beauté, pour qui la jalousie / arma la Grèce et Troie, et l'Europe et l'Asie, / se cachait ; et, tremblante à l'ombre des autels, / fuyait aux pieds des dieux la fureur des mortels.

Destruidora de Pérgamo, temendo / por isso ser executada pelos teucros, / e receando não menos o castigo / que poderia receber às mãos dos seus / e do traído Menelau, aquela Erínia, / igualmente funesta a Troia e à Grécia, / amaldiçoada, entre os altares se ocultava.

Dès qu'elle voit Priam vainement furieux, / moins couvert qu'accablé d'une armure inutile : / " Quelle aveugle fureur, quel courage stérile ! / lui crie Hécube en pleurs. Où courez-vous ? Hélas ! "

Ao ver Príamo usando armas de moço, / a rainha exclamou: “Mas que delírio cruel, / meu pobre esposo, faz que te revistas / desse aparato bélico? Aonde vais / com tanta pressa?"

Il dit ; et de plus près / les flammes cependant menacent le palais ; / et, d'un cours plus rapide avançant vers leur proie, / en tourbillons fougueux leur fureur se déploie.

Já mais distinto o crepitar das chamas, / que a cidade devoram, faz-se ouvir, / de mais perto chegando as ondas de calor.

" Un accueil séducteur le retient chez Didon, / et je crains un asile accordé par Junon. / Sa haine vigilante et sa fureur active / dans de pareils moments ne sera point oisive. "

"Agora hospeda-o a fenícia Dido, / retendo-o com finezas e blandícias, / e eu não devo confiar nessa hospedagem, / que Juno patrocina; ela não vai / cruzar os braços em tais circunstâncias".

" O fureur ! Quoi ! Pallas, une simple déesse, / a bien pu foudroyer les vaisseaux de la Grèce ; / soldats, chefs, matelots, tout périt sous ses yeux : / Pourquoi ? pour quelques torts d'un jeune furieux. "

"Ora, não pôde Palas incendiar / a frota dos argivos e no mar / afogá-los por causa só do ultraje / e da fúria de Ajax, filho de Oíleu?"

Bientôt, pour ressaisir la fille de nos rois, / accourent en fureur tous les Grecs à la fois, / et le fougueux Ajax, et l'un et l'autre Atride, / et des Thessaliens l'escadron intrépide.

Depois, mordidos do despeito de perder / a jovem, que lhes fora arrebatada, / de toda a parte os dânaos, congregados, / investem contra nós: o fogoso Ájax, / os dois filhos de Atreu e os dólopes em peso.

" Mais Oreste en fureur, qu'incessamment tourmente / le fouet de Némésis, le regret d'une amante, / jette aux pieds de l'autel son rival égorgé, / et ce rapt criminel par un crime est vengé. "

"Mas do rapto da noiva ardendo em ciúme, / sob o império das Fúrias vingadoras, / surpreende Orestes ao rival no lar paterno / e junto dos altares o degola."

Les rames en éclats échappent au rameur ; / le vaisseau tourne au gré des vagues en fureur, / et présente le flanc au flot qui le tourmente. / Soudain, amoncelée en montagne écumante, / l'onde bondit.

Partem-se os remos; logo a proa / desvia-se e do barco o flanco expõe-se / ao impacto das ondas; sobrevém / tremenda mole de água, alcantilado monte.

Il dit : et la fureur enflamme mes esprits ; / je m'élance à travers le feu, le sang, les cris, / partout où la vengeance, où mon aveugle rage / et d'horribles clameurs appellent mon courage.

As palavras de Panto e a vontade dos deuses / de encontro às chamas e aos combates me arremessam: / da Erínia vingadora aos chamados atendo, / no retinir das armas, no alarido / do tumulto que até no céu ressoa.

Mais en vain il veut fuir : sur sa troupe tremblante / les armes à la main nous fondons en fureur ; / l'ignorance des lieux, leur ténébreuse horreur, / la surprise, l'effroi, tout enfin nous les livre.

Lançamo-nos sobre eles, envolvendo-os / de uma férrea barreira; em sítio estranho / e apavorados, não sobrou nenhum: / no primeiro entrevero a sorte nos bafeja.

" Ici, tonne en fureur l'implacable Junon : / debout, le fer en main, la vois-tu sous ces portes / appeler ses soldats ? Vois-tu de ces cohortes / l'Hellespont à grands flots lui vomir les secours ? "

"Além, na entrada da cidade, espada à cinta, / qual duro comandante, ocupa a porta Ceia / Juno, chamando enfurecida, dos navios, / os batalhões de seus aliados gregos."

Plus bas, le fer en main, d'intrépides cohortes / se pressent en dedans, et protègent les portes. / Ma fureur se réveille en ces moments d'effroi ; / je vole à leur secours, au secours de mon roi.

Embaixo, um grupo, em formação compacta, / bloqueia as portas, defendendo-as com as espadas / desembainhadas. Ânimo recobro / para acudir ao paço do monarca, / levar auxílio àqueles bravos, reforçar / a débil resistência dos vencidos.

N'écoutant que ma rage, et sourd à la raison, / " Aux armes, mes amis ! sauvons la citadelle ! " / À ces mots, rassemblant une troupe fidèle, / j'y vole ; la fureur précipite mes pas ; / et je ne cherche plus qu'un glorieux trépas.

Alucinado, / por puro instinto corro às armas – para quê? / O meu primeiro impulso é juntar aguerridos / companheiros e a toda entrar na luta; / arrebatado de furor insano, / penso na glória de morrer de armas na mão.

La vie n'est qu'une ombre qui marche, un pauvre acteur qui s'agite et parade une heure sur la scène, puis qu'on n'entend plus. C'est un récit raconté par un idiot, plein de bruit et de fureur, qui n'a aucun sens.

A vida é apenas uma sombra ambulante, um pobre ator que amargamente consome seu tempo em cima de um palco, nunca mais voltando a ser ouvido. É uma história contada por um idiota, cheia de som e fúria, mas sem nenhum significado.

La fureur me conseille un moyen plus affreux : / Une tour, dont le front s'élevait jusqu'aux cieux, / placée au bord du comble, y semblait suspendue ; / de là de Troie entière on voyait l'étendue, / les pavillons des Grecs, et leurs mille vaisseaux.

No telhado em declive se apoiava / torre altaneira, cujo píncaro buscava / as nuvens alcançar; Troia inteirinha / descortinava-se dali, e o arraial / e a frota dos argivos.

La nuit couvrait le ciel ; tout dormait, quand mes dieux, / ravis dans Troie en cendre à la fureur des feux, / aux rayons de Phébé qui brillait tout entière, / m'apparaissent en songe, éclatants de lumière, / consolent mes chagrins, et m'adressent ces mots :

Caíra a noite e sobre a terra o sono / apoderava-se de toda a humana gente. / As sagradas imagens dos penates / troianos, que, do incêndio da cidade / resgatando, eu comigo transportara, / eis do meu leito, qual num sonho, vejo erguer-se / à minha frente, bem iluminadas / pelo esplendor que a lua cheia difundia / através da janela aberta do meu quarto. / E pareceu-me ouvi-las proferir, / para tranquilizar-me, estas palavras:

Du fond de leurs vaisseaux ils tirent le froment / à demi corrompu par l'humide élément. / De Cérès aussitôt le trésor se déploie ; / le feu sèche leurs grains, et la pierre les broie : / le banquet se prépare ; on partage aux vaisseaux / ces aliments sauvés de la fureur des eaux.

Os Troianos então, mesmo cansados / dos acontecimentos, vão buscar / aos navios o trigo corrompido / pela água e pelo sal, e os utensílios / para a farinação, e se preparam / para torrar nas chamas e quebrar na pedra / o recolhido grão.

S'agitant de fureur dans leurs prisons tremblantes, / ils luttent en grondant, ils s'indignent du frein. / Au haut de son rocher, assis le sceptre en main, / Éole leur commande ; il maîtrise, il tempère / du peuple impétueux l'indocile colère : / s'ils n'étaient retenus, soudain cieux, terre, mers, / devant eux rouleraient emportés dans les airs.

Com tremendo ribombo da montanha, / os ventos rugem irritados, pressionando / as obstruídas portas da prisão. / Éolo, empunhando o cetro, está sentado / em levantado trono, as iras moderando / e os excitados ânimos contendo. / Não fosse ele, por certo os ventos impetuosos / levariam consigo águas, terras e o céu / profundo, dispersando-os pelo espaço.

" Oublie ici les Grecs et leur vaine fureur : / nous t'adoptons. Et toi, réponds sans artifice : / Pourquoi de ce cheval l'étonnant édifice ? / Dis, quel en est le but ? quel en est l'inventeur ? / Est-ce un hommage aux dieux ? est-ce un piège trompeur ? / Qu'en devons-nous penser ? et que devons-nous craindre ? "

"Quem quer que sejas, doravante esquece os gregos, / que deixas para trás, pois serás um dos nossos. / Agora, fala-me a verdade: de quem foi / a ideia de erigir essa montanha / em forma de cavalo? A que o destinam? / É voto aos deuses? Será máquina de guerra?”

Le Troyen cependant ne meurt pas sans vengeance, / la fureur quelquefois ranime sa vaillance ; / tour à tour on éprouve, ou répand la terreur ; / on fuit, et l'on poursuit ; on tombe, on est vainqueur ; / partout des pleurs, du sang, des hurlements terribles, / et la mort qui renaît sous cent formes horribles.

Mas o sangrento sacrifício não atinge / apenas os vencidos; a bravura / dos troianos às vezes prevalece / e os gregos vencedores também caem. / O que se vê por toda a parte é de cortar / os corações: o pânico, a agonia / e a exposição da morte em várias formas.

À ces mots, je saisis, sans espoir de défense, / d'un bras mon bouclier, et de l'autre ma lance. / Je sortais en fureur de ce séjour de deuil, / quand mon épouse en pleurs m'arrête sur le seuil, / embrasse mes genoux, éperdue et tremblante, / me présente mon fils, et, d'une voix touchante:

Cinjo de novo a espada e, ao braço esquerdo / afivelando a alça do escudo, vou saindo, / quando Creúsa no limiar me atalha / e, ajoelhando-se, em pranto, aponta-me meu filho, / o pequenino Iulo, e grita:

" Car, si quelqu'un de vous, d'un bras profanateur, / attentait sur ce don offert à la déesse, / bientôt, assouvissant sa fureur vengeresse, / ( Dieux puissants, sur les Grecs détournez son courroux ! ) / d'épouvantables maux éclateraient sur vous. / Mais, si vos murs s'ouvraient à ce don tutélaire, / sur nous-mêmes dès lors renvoyant sa colère, / vous dompteriez la Grèce, et votre empire heureux / s'étendrait à jamais sur nos derniers neveux. "

"E se por vós for profanada essa oferenda / à deusa destinada, um terrível desastre / (que os céus façam cair sobre o vidente o agouro!) / aguarda Príamo e o troiano império; / mas, se vós mesmos na cidade a introduzirdes, / então com grande exército a Ásia em peso / contra o Peloponeso há de marchar, diz Calcas, / levando a perdição aos nossos descendentes.”

Au milieu des horreurs de ce jour sanguinaire, / trop digne d'achever l'ouvrage de son père, / du meurtrier d'Hector le barbare héritier, / Pyrrhus vient, et déploie Achille tout entier : / il menace, il attaque ; à sa fureur extrême, / les barrières, les murs, et la garde elle-même, / tout cède. Le bélier tonne à coups redoublés. / Arrachée à grand bruit de ses gonds ébranlés, / enfin, la porte tombe.

Pirro arremete, tão violento quanto o pai: / nem barreiras nem guardas o detêm; / de seu aríete já aos golpes repetidos / a porta vai cedendo e, por fim arrancados / da couceira, os batentes vêm abaixo.