Translation of "Foge" in French

0.006 sec.

Examples of using "Foge" in a sentence and their french translations:

Foge!

Taille-toi !

Fogo! Foge!

Au feu ! Courez !

- Fogo! Fuja!
- Fogo! Foge!

- Au feu ! Courez !
- Au feu ! Cours !

... larga as restantes conchas e foge.

abandonne ses coquillages et s'en va.

Ela sempre foge de suas responsabilidades.

Elle fuit toujours ses responsabilités.

- Por que foges de mim?
- Por que você foge de mim?

Pourquoi tu me fuis ?

A filosofia busca a verdade, mas a verdade foge à filosofia.

La philosophie cherche la vérité, mais la vérité fuit la philosophie.

Quando a pobreza bate na porta da frente, o amor foge pela porta dos fundos.

Lorsque la pauvreté frappe à la porte de devant, l'amour fuit par celle de derrière.

"Foge depressa, filho, à lida vã põe termo. / A teu lado estarei até deixar-te / em segurança junto ao lar paterno.”

" Fuis ; calme un vain courroux : fuis, c'en est fait. Ta mère / va protéger tes pas, et te rendre à ton père. "

“Por que razão, Eneias, dilaceras / este infeliz? Oh, deixa-me sepulto! / Evita conspurcar as mãos piedosas. / Não sou estranho para ti – gerou-me Troia – / nem da planta este humor está manando. / Oh! Foge destas plagas desumanas, / foge da terra da cobiça e da avareza. / Sou Polidoro: neste sítio me prostraram / sob uma chuva de assassinas flechas, / hoje em pontudas hastes convertidas.”

" Fils d'Anchise, pourquoi, souillant des mains si pures, / viens-tu troubler mon ombre et rouvrir mes blessures ? / Hélas ! respecte au moins l'asile du trépas ; / d'un insensible bois ce sang ne coule pas. / Cette contrée a vu terminer ma misère ; / mais celle où tu naquis ne m'est point étrangère : / épargne donc ma cendre, ô généreux Troyen ! / Ma patrie est la tienne, et ce sang est le mien. / Ah ! fuis ces lieux cruels, fuis cette terre avare : / j'y péris immolé par un tyran barbare. / Polydore est mon nom ; ces arbustes sanglants / furent autant de traits qui percèrent mes flancs. / La terre me reçut ; et, dans mon sein plongée, / leur moisson homicide en arbres s'est changée. "

Não se importa / com minhas vãs perguntas, mas, soltando / longo suspiro, diz, com grande esforço: / “Foge, ó filho de Vênus, que a cidade / em poder do inimigo, em chamas se consome; / de seu fastígio Troia hoje desaba. / Bastante já fizemos pela pátria / e pelo rei."

Il ne me répond rien. Puis, d'un ton plein d'effroi, / poussant un long soupir : " Fuis, dit-il, sauve-toi ; / sauve-toi, fils des dieux ; contre nous tout conspire : / il fut un Ilion, il fut un grand empire. / Tout espoir est perdu ; fuis : tes vaillantes mains / ont fait assez pour Troie, assez pour nos destins. / Notre règne est fini, notre heure est arrivée. "

Detém-se, apanha as armas – o arco e as flechas / velozes – que trazia o fiel Acates. / Em primeiro lugar, os próprios guias, / que orgulhosos entonam as cabeças, / de arbóreos chifres adornadas, ele abate; / depois cuida dos outros, perseguindo / com seus disparos a manada inteira, / que foge em confusão pela frondosa mata.

Il s'arrête à leur vue, il saisit à l'instant / et son arc, et ses traits qui sifflent en partant. / Leurs chefs, qu'enorgueillit une ramure altière, / déjà percés de traits roulent sur la poussière ; / puis il poursuit la troupe à travers la forêt ; / sa main lance à chacun l'inévitable trait.

"E já rápido a noite orvalhada eis que foge / do céu e os astros, que se apagam, nos convidam / ao repouso. Porém, se tanto assim desejas / nossas desgraças conhecer e ouvir o escorço / da agonia de Troia, embora minha mente / recue horrorizada ante a lembrança / de tanto luto e dor, o relato eu começo."

" La nuit tombe ; et déjà les célestes flambeaux, / penchant vers leur déclin, invitent au repos. / Mais, si de nos malheurs vous exigez l'histoire, / s'il faut en rappeler l'affligeante mémoire, / quoiqu'au seul souvenir de ces scènes d'horreur / mon cœur épouvanté recule de terreur, / j'obéis. "