Examples of using "Arco" in a sentence and their french translations:
Donne moi ton arc.
Quel bel arc-en-ciel !
J'ai vu un arc dans mon rêve.
Je n'ai jamais vu d'arc-en-ciel.
J'ai vu un arc dans mon rêve.
Un arc est inutile sans flèches.
Un arc-en-ciel est un phénomène naturel.
C'est un arc pour quelqu'un de fort.
Un arc sans flèche ne sert à rien.
un arc-en-ciel, et la mer pour lui ressemblait à du vin.
un portrait de famille standard, quelques chats souriants, des arcs-en-ciel très bien dessinés et
Dans mon monde à moi, il y a que des poneys. Ils mangent des arcs-en-ciel et ils chient des papillons.
Regarde vers le ciel. Tu ne trouveras jamais d'arc-en-ciel si tu regardes toujours en bas.
On y joue avec un archet ou en en pinçant les cordes. On pense que c'est la seule viole de gambe moderne, mais son origine continue à être débattue.
Pareil est son habit, pareil est son carquois ; / sa flèche semble attendre un habitant des bois ; / un souple brodequin compose sa chaussure ; / au-dessus du genou, les nœuds de sa ceinture / de ses légers habits serrent les plis mouvants / et ses cheveux épars flottent au gré des vents.
Il s'arrête à leur vue, il saisit à l'instant / et son arc, et ses traits qui sifflent en partant. / Leurs chefs, qu'enorgueillit une ramure altière, / déjà percés de traits roulent sur la poussière ; / puis il poursuit la troupe à travers la forêt ; / sa main lance à chacun l'inévitable trait.
On abaisse la voile, on s'approche du bord, / et le bec des vaisseaux est tourné vers le port. / Creusée à l'orient son enceinte profonde / contre les vents fougueux et les assauts de l'onde / est recourbée en arc, où le flot mugissant / sans cesse vient briser son courroux impuissant. / À l'abri des rochers son eau calme repose ; / des remparts naturels qu'à la vague il oppose / les fronts montent dans l'air comme une double tour ; / leurs bras d'un double mur en ferment le contour ; et le temple, que l'œil croyait voir sur la plage, / recule à notre approche, et s'enfuit du rivage.
Une île est dans les mers, qu'un golfe étroit sépare / des hauteurs de Mycone et des rocs de Gyare, / délices de Thétis, chère au dieu du trident : / longtemps elle flotta sur l'abîme grondant ; / enfin, du dieu du jour la main reconnaissante / fixa de son berceau la destinée errante ; / et l'heureuse Délos, dans un profond repos, / défia le caprice des vents et des flots.
Mais les heures déjà dans le silence et l'ombre / au milieu de sa course ont guidé la nuit sombre : / Palinure s'éveille et consulte les mers ; / il écoute les vents, interroge les airs ; / des astres de la nuit il observe la course ; / cherche d'un œil savant les Hyades et l'Ourse, / du Bouvier paresseux l'astre resplendissant, / et l'Orion armé d'un or éblouissant.