Translation of "Périt" in Portuguese

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Examples of using "Périt" in a sentence and their portuguese translations:

Ce qui périt en premier à la guerre, c'est la vérité.

A primeira a morrer na guerra é a verdade.

Reine ! peut-être aussi désirez-vous connaître / comment de cet état périt l'auguste maître.

Mas, Príamo, dirás, que sorte teve?

Le bonheur ne se soumet pas à la loi, il naît subitement, il périt subitement.

Felicidade não obedece a lei, subitamente nasce, subitamente perece.

Ainsi périt Priam ; ainsi la destinée / marqua par cent malheurs sa mort infortunée, / il périt, en voyant de ses derniers regards / brûler son Ilion et tomber ses remparts. / Ce potentat, jadis si grand, si vénérable, / n'est plus qu'un tronc sanglant, qu'un débris déplorable, / dans la foule des morts tristement confondu, / hélas ! et sans honneur sur le sable étendu.

Assim se consumou de Príamo o destino; / este foi o final – morrer, vendo arder Troia / e reduzir-se Pérgamo a destroços – / que a sorte reservou a quem se destacava / até há pouco dentre tantos soberanos / de toda Ásia. Seu corpo numa praia / foi sem honra nenhuma abandonado: / um tronco informe e uma cabeça decepada.

" O fureur ! Quoi ! Pallas, une simple déesse, / a bien pu foudroyer les vaisseaux de la Grèce ; / soldats, chefs, matelots, tout périt sous ses yeux : / Pourquoi ? pour quelques torts d'un jeune furieux. "

"Ora, não pôde Palas incendiar / a frota dos argivos e no mar / afogá-los por causa só do ultraje / e da fúria de Ajax, filho de Oíleu?"

" Palamède... A ce nom ma douleur se réveille, / et quelquefois, sans doute, il frappa votre oreille ; / cent fois la renommée a redit ses exploits... / seul contre cette guerre il éleva la voix ; / faussement accusé d'une trame secrète, / il périt, et la Grèce aujourd'hui le regrette. "

"Talvez a fama / tenha feito chegar aos teus ouvidos / o nome ilustre de um rebento da família / de Belo: Palamedes, que os pelasgos, / sob o pretexto de traição – fundado em prova / forjada de má fé –, porque ele à guerra / se opunha, à morte sentenciaram; hoje choram / arrependidos o inocente à luz roubado."

De sa postérité les rejetons naissants, / dont la foule chérie entourait ses vieux ans, / de ses cinquante fils les couches nuptiales, / ces dépouilles des rois, ces pompes triomphales, / trésors, enfants, grandeurs, tout périt sous ses yeux, / et le glaive détruit ce qu'épargnent les feux...

Aquelas câmaras cinquenta onde morava / a esperança de muitos, muitos netos, / os soberbos portais, ricos lavores / de ouro estrangeiro, espólios conquistados, / tudo são ruínas: onde falha o fogo, / faz-se presente o vandalismo aqueu.

" Ô des Grecs le plus brave et le plus formidable, / fils de Tydée, hélas ! sous ton bras redoutable, / dans les champs d'Ilion, les armes à la main, / que n'ais-je pu finir mon malheureux destin ; / dans ces champs où d'Achille Hector devint la proie, / où le grand Sarpédon périt aux yeux de Troie, / où le Xanthe effrayé roule encor dans ses flots / les casques et les dards, et les corps des héros ! "

"Ó filho de Tideu, / ó tu, que és o mais bravo dentre os Gregos! / Pensar agora que morrer não pude / nos pátrios campos de batalha, sob os golpes / de teu potente ataque; onde o valente Heitor / jaz abatido por certeiro dardo / do neto de Éaco; lá, onde tombou / o gigante Sarpédon, e onde o Símois, / pela corrente arrebatados, rola ainda / tantos escudos, capacetes, corpos / de robustos guerreiros imolados!”