Translation of "Demeure" in Portuguese

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Examples of using "Demeure" in a sentence and their portuguese translations:

Il demeure inflexible.

Volta a dizer que não, firme no assento, / e em sua decisão mais firme ainda.

- Ma demeure est la vôtre.
- Ma demeure est la tienne.

A minha casa é a sua casa.

Notre demeure, nos règles.

Nossa casa, nossas regras.

- Dites-lui que je désire qu'elle demeure silencieuse.
- Dis-lui que je désire qu'elle demeure silencieuse.

Diga a ela que desejo que ela fique calada.

Elle vit dans une demeure plutôt grande.

Ela mora em uma mansão bem grande.

C'est la plus grande demeure du voisinage.

É a maior casa na vizinhança.

- Il demeure ici.
- C'est ici qu'il habite.

Ele mora aqui.

Je n'aime pas la maison dans laquelle il demeure.

Eu não gosto da casa em que ele mora.

- C'est notre maison.
- C'est notre demeure.
- C'est notre résidence.

Essa é a nossa casa.

La construction de cette demeure a coûté des millions.

A construção desta mansão custou milhões.

- J'habite cette maison seul.
- Je vis seul dans cette demeure.

Eu moro nesta casa sozinho.

Bien que je demeure à proximité, je ne la rencontre que rarement.

Apesar da casa dela ser aqui perto, eu a vejo de vez em quando.

- Reste avec nous.
- Restez avec nous.
- Demeure avec nous.
- Demeurez avec nous.

- Fique conosco.
- Fica com a gente.
- Fiquem conosco.

- Est-ce qu'il habite ici ?
- Demeure-t-il ici ?
- Loge-t-il ici ?

Ele mora aqui?

- Dans quelle rue se trouve votre demeure ?
- Dans quelle rue se trouve ta maison ?

Em que rua fica a sua casa?

" Adieu donc ; dans mon fils demeure-moi fidèle : / si sa mère t'aima, qu'il te soit toujours cher. "

"Agora, adeus, meu bom Eneias; / ama por ti e por mim o nosso filho.”

- La dernière symphonie du compositeur est la moins connue.
- La dernière symphonie du compositeur demeure la moins connue.

A última sinfonia do compositor é a menos conhecida.

- Je sais où il habite.
- Je sais où il demeure.
- Je sais où il réside.
- Je sais où il vit.

Eu sei onde mora.

" Est-ce vous, me dit-elle, ou bien une vaine ombre ? / Ah ! si vous habitez dans la demeure sombre, / où mon Hector est-il ? "

“És tu mesmo quem vejo, de verdade, / filho de Vênus? Estás vivo e deste mundo / vens trazer-me notícias, ou a luz / que anima os seres te deixou e, neste caso, / podes dizer-me como está Heitor?”

- Savez-vous où j'habite ?
- Savez-vous où j'habite ?
- Est-ce que tu sais où j'habite ?
- Sais-tu où je réside ?
- Savez-vous où je demeure ?

Você sabe onde eu moro?

- Je ne sais pas où il habite.
- J'ignore où il habite.
- Je ne sais pas où il réside.
- Je ne sais pas où il demeure.

- Não sei onde ele mora.
- Eu não sei onde ele mora.

J'affirme, en pesant mes termes, que la religion chrétienne, telle qu'elle est établie dans ses églises, fut et demeure le principal ennemi du progrès moral dans le monde.

Eu afirmo, pesando bem minhas palavras, que a religião cristã, tal como se estruturou em suas igrejas, foi e continua a ser a principal inimiga do progresso moral no mundo.

J'y fonde une cité ; je l'appelle Ilion : / l'heureuse colonie applaudit à son nom. / Je l'invite à chérir sa demeure nouvelle, / à bâtir de ses mains sa haute citadelle.

Sem perder tempo, lanço as bases da cidade / com que tanto sonhava e Pérgamo lhe chamo, / pedindo a todos, que se orgulham desse nome, / que cuidem com carinho de assentar / seus novos lares e alto erguer a cidadela.

" Pour moi, si le destin / de ma vie à ce jour n'eût pas marqué la fin, / il eût de mes aïeux conservé la demeure : / la perte d'Ilion ordonne que je meure. "

"Se o céu quisesse prolongar-me a vida, / teria salvo o meu torrão natal."

Cependant Ilion au carnage est livré ; / déjà le bruit affreux (quoique, loin de la ville, / mon père eût sa demeure au fond d'un bois tranquille) / de moment en moment me frappe de plus près.

Enquanto isso, no pranto e na agonia / convulsionava-se a cidade, de um extremo / a outro; e, embora a casa de meu pai / Anquises longe e entre arvoredos protegida / ficasse, cada vez mais distinto se ouvia / o horripilante som do entrechocar das armas.

Celui qui donne un coup de pied à la colonne, qui se trouve sur le pont, qui passe sur la rivière, qui coule dans le village, dans lequel demeure l'homme, qui possède le collier, qui détient des pouvoirs magiques qui réalisent des miracles, va mourir.

Aquele que dá um chute na coluna que segura a ponte, que passa sobre o riacho, que percorre a vila, a qual reside o homem que possui o colar, que lhe concede os poderes mágicos que realizam milagres, vai morrer.

Ainsi dans son refus il demeure obstiné ; / vainement de nos pleurs il est environné ; / vainement mon épouse, et mon fils, et moi-même, / le conjurons, pour lui, pour ses enfants qu'il aime, / de ne pas achever de déchirer nos cœurs, / et de n'aggraver pas le poids de nos malheurs.

Impassível, Anquises tais palavras / dizia e repetia, enquanto nós em pranto – minha esposa Creúsa, Ascânio, toda a casa – / implorávamos que ele, o patriarca, / não quisesse deitar tudo a perder, / dando mais peso aos duros golpes do destino.

Soudain jusques au fond l'œil étonné découvre / ces longs appartements, ces lambris somptueux, / de nos antiques rois séjour majestueux. / On approche, on regarde, et, debout sur la porte, / paraît, le fer en main, une fière cohorte, / qui d'un roi malheureux, d'un malheureux vieillard, / dans son dernier asile est le dernier rempart : / sa garde sur le seuil demeure inébranlable.

Expõe-se do palácio a intimidade: / os longos átrios, os privados aposentos / de Príamo e de priscos reis troianos; / e logo à entrada, à frente, estão postados / (isto também se pode ver) homens armados.

" Là, l'oracle repose et demeure immobile. / Mais si la porte, ouverte aux zéphyrs indiscrets, / de l'arrêt fugitif leur livre les secrets, / ils volent dispersés sous les roches profondes. / Elle, au lieu d'assembler leurs feuilles vagabondes, / de ses oracles vains aux vents abandonnés / laisse errer au hasard les mots désordonnés ; / et qui vient consulter sa réponse inutile, / maudit en s'éloignant l'antre de la sibylle. "

"Normalmente, ali ficam ordenados; / porém, se a porta se abre e uma corrente de ar / ergue e embaralha as tenras folhas, a adivinha / pelo largo aposento as deixa a voejar, / jamais se preocupando em apanhá-las, / para os versos repor na ordem primitiva. / E os consulentes sem resposta se retiram, / a sibilina cova esconjurando."