Examples of using "настоящего" in a sentence and their french translations:
- Où pouvez-vous trouver un véritable ami ?
- Où peut-on trouver un véritable ami ?
« il ne faut pas remettre au lendemain ce qu’on peut faire le jour même. »
Voilà le secret du véritable bonheur.
Il n'y a pas eu de problèmes jusqu'à présent.
Tu n'as jamais vu un véritable diamant.
Personne ne connaît son vrai nom.
Est-ce que cette bague est en or véritable ?
Il ne m'a pas donné son vrai nom.
- Je ne connais même pas votre vrai nom.
- Je ne connais même pas ton vrai nom.
vous aurez effectué le voyage d'un vrai héros.
Je ne connais pas son vrai nom.
Je ne connais pas son vrai nom.
Personne ne connaît son vrai nom.
Je ne connais pas votre vrai nom.
J'ai trouvé en elle une amie sincère.
Il n'y a pas eu de problème jusqu'à maintenant.
Elle a fait de lui un homme.
Je n'ai jamais su son vrai nom.
c'était apprendre comment se faire de vrais amis et les garder.
Ça fait longtemps que je n'ai eu de vraies vacances.
Il ne m'a pas donné son vrai nom.
Je ne connais même pas votre vrai nom.
- Je ne vous ai pas vu jusqu'à présent.
- Je ne vous ai pas vue jusqu'à présent.
- Je ne vous ai pas vus jusqu'à présent.
- Je ne vous ai pas vues jusqu'à présent.
- Je ne t'ai pas vu jusqu'à présent.
- Je ne t'ai pas vue jusqu'à présent.
Je ne connais même pas ton vrai nom.
Je voulais faire de lui un véritable champion.
Je n'ai jamais su son vrai nom.
le bureau entier lui a obtenu un présent et puis, en plus de cela,
regardez, dans cette image, vous voyez maintenant une momie extraite d'un vrai sarcophage
Ça fait longtemps que je n'ai eu de vraies vacances.
Jusqu'à maintenant, un seul participant a gagné un million de shekels israéliens dans l'émission "Qui veut gagner des millions" en Israël.
Il suffit d’être sorti des rêves de la jeunesse, de tenir compte de l’expérience, de la sienne et de celle des autres, d’avoir appris à se mieux connaître, par la vie, par l’histoire du temps passé et du présent, par la lecture des grands poètes, et de n’avoir pas le jugement paralysé par des préjugés trop endurcis, pour se résumer les choses ainsi : le monde humain est le royaume du hasard et de l’erreur, qui y gouvernent tout sans pitié, les grandes choses et les petites ; à côté d’eux, le fouet en main, marchent la sottise et la malice : aussi voit-on que toute bonne chose a peine à se faire jour, que rien de noble ni de sage n’arrive que bien rarement à se manifester, à se réaliser ou à se faire connaître ; qu’au contraire l’inepte et l’absurde en fait de pensée, le plat, le sans-goût en fait d’art, le mal et la perfidie en matière de conduite, dominent, sans être dépossédés, sauf par instants. En tout genre, l’excellent est réduit à l’état d’exception, de cas isolé, perdu dans des millions d’autres ; et si parfois il arrive à se révéler dans quelque œuvre de durée, plus tard, quand cette œuvre a survécu aux rancunes des contemporains, elle reste solitaire, pareille à une pierre du ciel, que l’on conserve à part, comme un fragment détaché d’un monde soumis à un ordre différent du nôtre.