Examples of using "держал" in a sentence and their french translations:
Il garda l'équilibre.
Il tenait un stylo dans la main.
Il garda la fenêtre fermée.
- Tom garda la fenêtre fermée.
- Tom a gardé la fenêtre fermée.
- Il la tint fermement.
- Il l'a fermement tenue.
J'ai toujours tenu parole.
John tenait sa tête hors de l'eau.
- Il parlait.
- Il était en train de parler.
Il a laissé toutes les fenêtres ouvertes.
Je l'ai gardé secret.
Il avait un paquet sous le bras.
Il avait un colis sous le bras.
J'ai toujours tenu parole.
Tom a gardé la chambre propre.
l'homme qui tenait ses cheveux.
Tom a gardé sa maladie secrète.
J'ai tenu le couteau dans ma main gauche.
- Je me suis simplement tue.
- Je me suis simplement tu.
- Tom a tenu Mary dans ses bras.
- Tom tint Mary dans ses bras.
Tom garda son opinion pour lui.
- J'ai tenu ma langue.
- Je tins ma langue.
- Je n'ai pas dit mot.
- Je ne dis pas mot.
- Pourquoi l'avez-vous gardé secret ?
- Pourquoi l'avez-vous gardé secrète ?
- Pourquoi l'as-tu gardé secret ?
- Pourquoi l'as-tu gardé secrète ?
Raspoutine tenait toute la cour de Russie sous son charme.
Je l'ai vu te tenir la main.
Tom prit les mains de Marie et les tenait fermement.
Tom tenait la clé de sa voiture dans sa main gauche.
Exactement pourquoi Napoléon a gardé son meilleur maréchal à Hambourg
- Son doigt était sur la détente.
- Son doigt était sur la gâchette.
Il l'a gardé secret.
Je prenais Tom pour un idiot.
Tu prenais Tom pour un idiot.
Il prenait Tom pour un idiot.
Ken prenait Tom pour un idiot.
Le garçon prétendait savoir lire, mais il tenait son livre à l'envers.
Il avait un livre dans la main.
- Tu es la plus belle femme que j'ai jamais tenue dans mes bras.
- Vous êtes la plus belle femme que j'ai jamais tenue dans mes bras.
Tom avait un paquet sous le bras.
Tom tenait la clé de sa voiture dans sa main gauche.
Cependant, les chances de gloire de Bessières sont limitées, car Napoléon retient toujours la
Pourquoi l'as-tu gardé secret ?
- Son doigt était sur la détente.
- Son doigt était sur la gâchette.
Il tenait une grande boîte dans ses bras.
Pourquoi étais-tu en train de lui tenir la main ?
- Je veux que tu gardes les yeux ouverts.
- Je veux que vous gardiez les yeux ouverts.
Il aurait dû la fermer.
J'aurais dû la fermer.
Tom tenait quelque chose dans sa main gauche.
Je ne sais pas pour le moment où je l'ai laissé, mais je suis certain de l'avoir eu en mains aujourd'hui encore.
Je ne sais pas pour le moment où je l'ai laissée, mais je suis certain de l'avoir eue en mains aujourd'hui encore.
- Pourquoi lui tenais-tu la main ?
- Pourquoi lui teniez-vous la main ?
- Pourquoi étais-tu en train de lui tenir la main ?
- Pourquoi étiez-vous en train de lui tenir la main ?
Il n'y a pas, à ce stade de l'histoire mondiale aux États-Unis d'Amérique, de chose telle qu'une presse indépendante. Vous le savez et je le sais. Il n'y a pas un de vous qui ose écrire ses franches opinions, et si vous le faisiez, vous savez d'avance qu'elles ne seraient jamais publiées. Je suis hebdomadairement payé pour tenir mes franches opinions à distance du journal auquel je suis lié. D'autres d'entre vous reçoivent de mêmes émoluments pour des choses similaires, et n'importe lequel d'entre vous qui serait assez bête pour écrire de franches opinions serait à la rue à chercher un autre emploi. Si je laissais mes franches opinions être publiées dans l'une des parutions de mes journaux, mon emploi s'évaporerait avant vingt-quatre heures. Le boulot du journaliste est de détruire la vérité, de mentir effrontément, de pervertir, de diaboliser, de lécher les pieds de Mammon et de vendre son pays et sa race pour gagner son pain quotidien. Vous le savez et je le sais, et quelle folie est cette célébration d'une presse indépendante ? Nous sommes des pantins, ils tirent les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos possibilités et nos vies sont tous la propriété d'autres hommes. Nous sommes des prostitués intellectuels.