Examples of using "Pátria" in a sentence and their french translations:
Allons, enfants de la patrie!
En matière de patrie
Ma patrie est le monde.
J'aime ma patrie.
Ma patrie, c'est ma langue.
Mourir pour la patrie est agréable.
Ma patrie, c'est le monde entier.
Le Brésil est ma patrie.
Les grands artistes n'ont pas de patrie.
La France est ma seconde patrie.
Ma patrie, c'est la langue portugaise.
J'aime mon pays.
- Il est doux et noble de mourir pour la patrie.
- Il est doux et honorable de mourir pour la patrie.
Ma patrie, c'est la langue française.
Sa famille a émigré depuis son pays d'origine jusqu'au Brésil il y a quarante ans.
Son odieux aspect réveille ma furie ; / je brûle par sa mort de venger ma patrie.
« Ma patrie, c'est la langue portugaise » est l'une des plus belles phrases de Fernando Pessoa.
" Là du grand Dardanus la race a pris naissance : / où fut votre berceau, sera votre puissance. "
- Quelle est votre langue natale ?
- Quelle est votre langue maternelle ?
- Quelle est ta langue maternelle ?
Que le bonheur et la paix échoient à notre patrie allemande. Le monde entier aspire à la paix. Aux peuples, tendez la main !
Allons, enfants de la Patrie, Le jour de gloire est arrivé, Contre nous de la tyrannie L'étendard sanglant est levé, L'étendard sanglant est levé!
Sa barbe hérissée, et ses habits poudreux, / le sang noir et glacé qui collait ses cheveux, / ses pieds qu'avaient gonflés, par l'excès des tortures, / les liens dont le cuir traversait leurs blessures ; / son sein encor percé des honorables coups / qu'il reçut sous nos murs en combattant pour nous : / tout de ses longs malheurs m'offrait l'image affreuse.
En prononçant ces mots, la déesse en furie / vers ces antres, d'Éole orageuse patrie, / précipite son char.
" Et, pour l'aider à fuir de ce palais perfide, / de son lâche assassin lui livrant le trésor, / lui montra sous la terre un immense amas d'or. "
Quand je songe à tous les maux que j'ai vus et que j'ai soufferts, provenant des haines nationales, je me dis que tout cela repose sur un grossier mensonge : l'amour de la Patrie.
La pourpre que l'aiguille a brodée à grands frais, / l'argent pur étalé sur de riches buffets, / l'or, où, des rois de Tyr retraçant la mémoire, / l'art a de règne en règne imprimé leur histoire ; / tout d'un luxe royal offre la majesté.
" Vous, mon père, prenez nos dieux, nos vases saints ; / je ne puis y toucher avant qu'une onde pure / du sang dont je suis teint m'ait lavé da souillure. "
"Pars, emmène les tiens de ces funestes lieux, / du triomphe des Grecs épargne-leur l'insulte : / Ilion te remet le dépôt de leur culte. / Cherche-leur un asile, et qu'au-delà des mers / leur nouvelle cité commande à l'univers ! "
Sur son char aussitôt la brillante déesse / revole vers Paphos, lieux charmants où sans cesse / l'encens le plus parfait, les plus nouvelles fleurs / embaument cent autels de leurs douces odeurs.
" Je vous atteste ici, qu'infidèle envers moi / mon pays pour toujours a dégagé ma foi ; / que je puis rompre enfin le serment qui m'enchaîne, / révéler ses secrets, et lui vouer ma haine. "
O Troie ! ô ma patrie ! ô vénérable asile ! / Murs peuplés de héros ! murs bâtis par les dieux ! / Quatre fois, près d'entrer, le colosse odieux / s'arrête ; quatre fois on entend un bruit d'armes.
" Malheureux que se suis ! jamais mes tristes yeux / ne reverront ces champs qu'habitaient mes aïeux, / ni mes tendres enfants, ni le meilleur des pères. / Que dis-je ? hélas ! peut-être, ô comble de misères ! / ils expîront ma fuite, hélas ! et de leur sang / teindront ce fer cruel qui dut percer mon flanc. "
Il ne me répond rien. Puis, d'un ton plein d'effroi, / poussant un long soupir : " Fuis, dit-il, sauve-toi ; / sauve-toi, fils des dieux ; contre nous tout conspire : / il fut un Ilion, il fut un grand empire. / Tout espoir est perdu ; fuis : tes vaillantes mains / ont fait assez pour Troie, assez pour nos destins. / Notre règne est fini, notre heure est arrivée. "
" Teucer, je m'en souviens, banni de son pays, / dans Chypre, alors soumise à notre obéissance, / vint de Bélus mon père implorer la puissance. / Rempli d'un grand projet, de son état nouveau / il voulait que Bélus protégeât le berceau. "
" Moi, d'un jeune orgueilleux, trop digne de son père, / souffrant l'amour superbe et la fierté sévère, / j'ai rampé sous un maître, et, par mille revers, / passé de Troie en cendre à l'opprobre des fers. / Bientôt, nouveau Pâris, jusqu'à Lacédémone / mon dédaigneux époux court ravir Hermione ; / et, fuyant des plaisirs par la force obtenus, / il m'abandonne esclave à l'esclave Hélénus. "
" Rebutés par dix ans de batailles, / las de languir sans fruit au pied de nos murailles, / las de voir par le sort leurs assauts repoussés, / les Grecs, courbant des ais avec art enchâssés, / d'un cheval monstrueux en forment l'édifice : / Pallas leur inspira ce fatal artifice. / C'est un vœu, disaient-ils, pour un retour heureux. "
Quoi ! le sang regorgea sur ces bords malheureux ; / Priam meurt sous le fer, Ilion dans les feux ; / et, fière de nos maux, la détestable Hélène, / dans les remparts d'Argos rentrant en souveraine, / ira, foulant des fleurs sous ses pas triomphants, / retrouver son palais, ses aïeux, ses enfants ! / et, d'esclaves Troyens en pompe environnée, / des trésors d'Ilion marchera couronnée !
" Si le Tibre jamais me reçoit dans ses ports, / si ces murs tant promis s'élèvent sur ses bords, / unis par la naissance, unis par l'infortune, / nos maux seront communs, notre gloire commune. / Oui, nos peuples, heureux d'une longue union, / ne feront qu'un seul peuple et qu'un seul Ilion ; / et des fils d'Ausonie et des enfants d'Épire / même sang, même amour réuniront l'empire. / Puisse un esprit semblable animer nos neveux ! "
Après la proposition et l’invocation, début ordinaire des poèmes épiques, le poète commence son récit à la septième année de l’expédition de son héros, c’est-à-dire, au temps où Énée, chef des Troyens, parti de la Sicile, et faisant voile pour l’Italie, est assailli d’une violente tempête, excitée par Éole, à la sollicitation de Junon, qui continue de poursuivre les habitants de Troie, après la ruine de leur patrie, et veut s’opposer à leur établissement en Italie, où les destins ont annoncé qu’ils seront les fondateurs d’un puissant empire.
" Mais bientôt mon courroux, par d'imprudents éclats, / irrita contre moi l'auteur de son trépas ; / je jurai, si le ciel secondait ma furie, / si je rentrais vainqueur au sein de ma patrie, / je jurai de venger mon déplorable ami. / Delà tous mes malheurs : dès lors, souple ennemi, / Ulysse contre moi chercha partout des armes, / répandit les soupçons, éveilla les alarmes, / et, pour se délivrer d'un reproche importun, / crut qu'un premier forfait en voulait encore un, / en un mot, il fit tant, qu'appuyé du grand prêtre... "