Examples of using "Obra" in a sentence and their french translations:
Au travail !
Je lis une pièce de théâtre.
Ce film est un chef-d'œuvre.
C'est une œuvre d'art.
- Au travail !
- Au boulot !
C'est un ouvrage traitant de l'Angleterre.
C'est une œuvre d'art remarquable.
Ce film est un chef-d'œuvre.
Son jardin est une œuvre d'art.
parce que c'était un très vieux chef-d'œuvre
les enseignants de la prochaine génération seront votre chef-d'œuvre
Ils transpercent un si grand chef-d'œuvre
Cette statuette était une belle œuvre d'art, quoique petite.
Cet ouvrage est fondamental pour la compréhension de la biologie.
Pour le comprendre, il vous suffit de lire cet ouvrage.
J'ai les œuvres complètes de Shakespeare.
Son jardin est une œuvre d'art.
À l'œuvre, on connaît l'artisan.
bref, c'est une oeuvre d'art complète
Les « Méditations métaphysiques » sont une œuvre de Descartes.
Qui achète ce genre d'œuvre d'art ?
Son jardin est une œuvre d'art.
J'ai lu une de ses œuvres.
Le prix indiqué n'inclut pas la main d'œuvre.
Il s'est consacré à cet ouvrage pendant dix ans.
il était aussi un chef-d'œuvre mais ne pouvait pas survivre
Un ouvrage non publié est comme un présent non offert.
La Joconde est le chef-d'œuvre de Léonard de Vinci.
J'aime cette peinture, non pas parce que c'est un chef-d'œuvre mais parce qu'elle a du charme.
"Les versets sataniques" de Salman Rushdie est un véritable chef-d'œuvre de la littérature moderne.
Une statue est une œuvre d'art en pierre, en métal ou en bois, qui représente des hommes ou des animaux.
On n'explique pas une œuvre d'art comme on démontre un problème de géométrie.
Je chante les combats et ce guerrier pieux / qui, banni par le sort des champs de ses aïeux, / et des bords phrygiens conduit dans l'Ausonie, / aborda le premier aux champs de Lavinie.
Le héros, étonné, voit cet immense ouvrage ; / il admire ces tours, ces ports et ces remparts, / le bruit tumultueux des travaux et des arts ; / des chaumes ont fait place à ce séjour superbe, / la colonne s'élève aux lieux où croissait l'herbe.
Durant les premières années d'existence de l'espéranto, un homme me montra un livre allemand (une traduction de l'œuvre de Dickens) et déclara : « On ne peut sûrement pas traduire ceci en espéranto. »
C'est avec Karl Friedrich Schinkel qu'il fit les esquisses des décors et des costumes pour son opéra « Ondine »; et des objets d'art rappelant cette œuvre ornaient sa chambre à Berlin.
Chaque lecteur est, quand il lit, le propre lecteur de soi-même. L’ouvrage de l’écrivain n’est qu’une espèce d’instrument optique qu’il offre au lecteur afin de lui permettre de discerner ce que, sans ce livre, il n’eût peut-être pas vu en lui-même.
J'ai arrangé le démembrement complet des idées en mots autonomes, de sorte que toute la langue, au lieu de mots sous des formes grammaticales diverses, se compose seulement de mots invariables. Si vous prenez un ouvrage écrit dans ma langue, vous découvrirez que tous les mots s'y trouvent toujours et seulement dans une forme constante unique, à savoir celle qui est imprimée dans le dictionnaire.
Au retour du printemps, tel aux essaims nouveaux / leur nouveau roi partage et prescrit leurs travaux : / sur les eaux, sur les fleurs, tout vole, tout s'empresse, / les unes de l'état élèvent la jeunesse ; / d'autres, d'un vol prudent, interrogent le ciel ; / d'autres forment la cire, et pétrissent le miel ; / d'autres viennent porter les tributs des campagnes ; / celles-ci font la guerre au frelon dévorant : / tout agit, tout s'emplit d'un nectar odorant.
Tandis que dans le temple, empressé de tout voir, / en attendant la reine, il admire en silence / la pompe de ces lieux et leur magnificence, / il voit représentés tous ces fameux revers, / ces combats dont le bruit a rempli l'univers, / ce fier Agamemnon, ce Priam si sensible, / et ce fils de Pélée à tous les deux terrible.
" Mais bientôt mon courroux, par d'imprudents éclats, / irrita contre moi l'auteur de son trépas ; / je jurai, si le ciel secondait ma furie, / si je rentrais vainqueur au sein de ma patrie, / je jurai de venger mon déplorable ami. / Delà tous mes malheurs : dès lors, souple ennemi, / Ulysse contre moi chercha partout des armes, / répandit les soupçons, éveilla les alarmes, / et, pour se délivrer d'un reproche importun, / crut qu'un premier forfait en voulait encore un, / en un mot, il fit tant, qu'appuyé du grand prêtre... "