Examples of using "Nações" in a sentence and their french translations:
Il était ambassadeur aux Nations Unies.
Le Cambodge a demandé de l'aide aux Nations Unies.
Les Nations Unies sont une organisation internationale.
Les livres font les époques et les nations, comme les époques et les nations font les livres.
Nous dépendons des nations étrangères pour nos ressources naturelles.
dans le classement avec six autres nations
Les Nations Unies dépêchèrent des troupes afin d'intervenir dans le conflit.
L'Espagne a été l'une des plus puissantes nations du monde.
Je te ferai fructifier prodigieusement ; je ferai de toi des peuples, et des rois seront tes descendants.
- L'ibérisme est un mouvement en faveur de l'unification des peuples et nations ibériques comme la Catalogne, la Castille, le Portugal, la Galice, Euskadi, l'Andalousie...
- L'ibérisme est un mouvement en faveur de l'unification des peuples et nations ibériques comme la Catalogne, la Castille, le Portugal, la Galice, le Pays basque espagnol, l'Andalousie...
Abram tomba la face contre terre, et Dieu lui parla ainsi : « Moi, voici mon alliance avec toi : tu deviendras père d’une multitude de nations. On ne te nommera plus Abram, mais ton nom sera Abraham, car je te fais père d’une multitude de nations.
Je la bénirai, en te donnant, par elle aussi, un fils ; je la bénirai, en ce qu’elle produira des nations et que des chefs de peuples naîtront d’elle.
En 1493, le Vatican a offert l'Amérique à l'Espagne et l'Afrique noire au Portugal "pour que les nations barbares soient réduites à la foi catholique".
Il est temps déjà que les diverses nations comprennent qu’une langue neutre pourra devenir pour leurs cultures un véritable rempart contre les influences monopolisatrices d'une ou deux langues seulement, comme ceci apparaît maintenant toujours plus évident. Je souhaite sincèrement un progrès plus rapide de l'espéranto au service de toutes les nations du monde.
Que se passerait-il si deux grandes puissances aux langues différentes, telles que les États-Unis d'Amérique et la Chine, s'accordaient pour l'enseignement expérimental de l'espéranto dans les écoles élémentaires ?
Quand je songe à tous les maux que j'ai vus et que j'ai soufferts, provenant des haines nationales, je me dis que tout cela repose sur un grossier mensonge : l'amour de la Patrie.
" Là, lui-même à Padoue, en dépit de Junon, / à son peuple a donné ses armes et son nom, / et, confiant sa cendre à sa nouvelle Troie, / pourra vivre avec gloire, et mourir avec joie. "
C'est là qu'étaient ses armes, / c'est là qu'était son char ; là, son superbe espoir / veut voir la terre entière adorer son pouvoir.
Quand Jupiter, du haut de la voûte éthérée, / contemplant et la terre et la mer azurée, / et les peuples nombreux dans l'univers épars, / sur la Libye enfin arrête ses regards.
" Troyens ! c'est au berceau de vos premiers parents / que je promets un terme à vos destins errants ; / allez, et recherchez la terre paternelle : / là, naîtra de vainqueurs une race éternelle ; / là règneront Énée et ses derniers neveux, / et les fils de ses fils, et ceux qui naîtront d'eux. "
Didon les fait d'abord admettre en sa présence. / À peine au bruit confus succède le silence, / celui dont l'âge mûr a mérité leur choix, / Ilionée, ainsi fait entendre sa voix : / " Grande reine ! dit-il d'un ton plein de noblesse, / vous dont ces murs naissants attestent la sagesse, / et qui, donnant des mœurs à ce peuple indompté, / avez au frein des lois asservi sa fierté, / d'un peuple généreux, que le malheur accable, / vous voyez devant vous le reste déplorable ; / il vient vous implorer. À peine nos vaisseaux / échappaient aux fureurs et des vents et des eaux, / une troupe ennemie, au sortir du naufrage, / a menacé des feux ce qu'épargna l'orage. / O reine ! ouvrez l'oreille à nos cris douloureux ; / sachez ce qu'on nous doit, en sachant qui nous sommes. "
" Si le Tibre jamais me reçoit dans ses ports, / si ces murs tant promis s'élèvent sur ses bords, / unis par la naissance, unis par l'infortune, / nos maux seront communs, notre gloire commune. / Oui, nos peuples, heureux d'une longue union, / ne feront qu'un seul peuple et qu'un seul Ilion ; / et des fils d'Ausonie et des enfants d'Épire / même sang, même amour réuniront l'empire. / Puisse un esprit semblable animer nos neveux ! "
Au nom du président du Brésil, Luiz Inácio Lula da Silva, Cláudio Soares Rocha a exprimé son admiration pour les efforts entrepris par les espérantophones du monde entier, visant à une expansion toujours plus large de l’espéranto. Il a écrit entre autres : « Nous savons que dans l’histoire de l’humanité, des langues se sont imposées par hégémonie politique, par exemple le latin, ou dans une certaine mesure le français et ensuite l’anglais. Nous souhaitons ardemment que l’espéranto soit effectivement reconnu, un jour, par la majorité des nations, comme une langue choisie pour faciliter l’intercommunication sans privilèges linguistiques. »