Examples of using "Manda" in a sentence and their french translations:
- Fiche le camp.
- Fichez le camp.
- Déguerpissez.
- Cassez-vous.
- Bouge !
- Décampez !
- Décampe !
Mon frère vous envoie ses amitiés.
- C'est la patronne.
- C'est elle, le patron.
Qui est maître du temps ?
C'est elle qui commande.
- Qui porte la culotte dans votre famille ?
- Qui porte la culotte, chez toi ?
- Casse-toi !
- Va te faire foutre !
- Fous le camp !
- Dégage !
- Casse-toi.
- Pars !
- Foutez le camp !
- Fous le camp !
- Pars d'ici.
- Va t'en !
- Disparais !
- Fiche le camp.
- Tire-toi de là.
- Casse-toi de là.
- Oust !
- Dégage.
- Fiche le camp d'ici.
- Déguerpissez.
- Bouge !
- Décampe !
- Casse-toi !
- Fous le camp !
- Dégage !
- Casse-toi.
- Pars !
- Dégage !
- Fous le camp !
- Pars d'ici.
- Va t'en !
- Écarte-toi !
- Disparais !
- Allez-vous en !
- Va te faire voir ailleurs !
- Fiche le camp.
- Tire-toi de là.
- Va-t'en !
- Criss ton camp d'icit !
- Fichez le camp.
- Déguerpissez.
- Cassez-vous.
- Barrez-vous.
- Barre-toi.
- Bouge !
- Décampez !
- Décampe !
- Montre-lui qui est le chef !
- Montrez-lui qui est le chef !
J’aime quand elle m’envoie des cartes postales.
Salue ton père de ma part.
- Casse-toi !
- Va voir ailleurs si j'y suis !
- Dégage !
- Va au diable !
- Déguerpissez.
- Cassez-vous.
- Bouge !
- Décampez !
- Décampe !
il envoie des signaux plus positifs à YouTube,
À la maison, c'est ma mère qui commande.
Passe le bonjour à ta maman de ma part.
Monsieur demande comme s'il décrétait.
Tom garde chaque lettre que lui envoie sa mère.
L'argent est roi.
Tom garde chaque lettre que lui envoie sa mère.
Qui porte la culotte dans votre famille ?
Énée fait promptement lever l'ancre, et il est vainement poursuivi par Polyphème.
- S'il vous plaît envoyez-moi une photo de vous.
- Veuillez m'envoyer une photo de vous.
- Envoie-moi une photo de toi, s'il te plait.
- Va te faire foutre !
- Fous le camp !
- Pars !
- Dégage !
- Fous le camp !
- Pars d'ici.
- Va t'en !
- Disparais !
- Déguerpissez.
- Cassez-vous.
- Bouge !
- Décampez !
- Décampe !
Un éléphant en colère pousse la barrière de son enclos et éjecte le gardien.
Elle lui dit de lui donner tout son salaire et il le fait.
Quels enfants ! On les envoie acheter des gourmandises et ils reviennent avec un chien !
- L'amour ne se commande pas.
- Vous ne pouvez pas forcer quelqu'un à vous apprécier.
- Tu ne peux pas forcer quelqu'un à t'aimer.
" Le roi lui-même ordonne / qu'on détache ses fers : " Captif, on te pardonne, / sois libre, lui dit-il d'un ton plein de douceur. "
Ainsi parle Apollon. On tressaille, on s'écrie : / " Quels sont ces bords ? quelle est cette antique patrie / où le sort nous appelle, où le ciel pour toujours / de nos longues erreurs doit terminer le cours ? "
" Épargne-toi le soin de repasser les flots ; / Apollon nous envoie ; et, ce qu'eût fait entendre / l'oracle de Délos, nous pouvons te l'apprendre. "
Énée envoie chercher Ascagne qui était resté sur la flotte; mais Vénus, qui redoute l’inconstance de la reine et la perfidie carthaginoise, pour s’assurer de son cœur prend le parti d’enlever le jeune Ascagne.
Neptune, offensé de ce qu’on a pu exciter sans ses ordres une tempête dans ses états, vient l’apaiser, et renvoie les vents dans leurs prisons.
En même temps il fait partir Mercure pour Carthage, avec ordre de disposer les Tyriens, et Didon leur reine, à bien recevoir les Troyens échoués sur leurs côtes.
Mais pour son fils absent tendrement agité, / le héros veut le voir ; il veut qu'en diligence / Achate, secondant sa tendre impatience, / coure chercher Ascagne, et ramène à ses yeux / de l'espoir des Troyens ce gage précieux.
L'été s'ouvrait à peine ; à l'orageux Neptune / mon père me pressait de livrer ma fortune. / D'un peuple fugitif j'assemble les débris ; / les yeux en pleurs, je pars ; je fuis ces bords chéris, / ces antiques remparts dont Vulcain fit sa proie, / et les toits paternels, et les champs où fut Troie ; / et, sur l'onde exilé, j'emmène en d'autres lieux, / et mon père, et mon fils, et mon peuple, et mes dieux.
Il dit, et fait tirer de son riche trésor / un vaste amas d'airain, d'argent, d'ivoire et d'or ; / des vases de Dodone ; une riche cuirasse / un casque aux crins flottants, armure de Pyrrhus, / qui du sang de Troyens ne se rougira plus.
Docile au sage avis du divin interprète, / Anchise ordonne alors que la flotte s'apprête, / qu'on rattache la voile, et qu'aux vents fortunés / ses plis prêts à s'ouvrir flottent abandonnés. / Hélénus en ces mots honore sa vieillesse : / " Mortel chéri des dieux, époux d'une déesse, / qui deux fois échappas aux malheurs d'Ilion, / cette Ausonie, objet de ton ambition, / d'ici ton œil la voit, ton espoir la possède ; / mais, pour atteindre au lieu que le destin te cède, / il faut raser ses bords, et par de longs chemins, / voyageur patient, gagner ces champs lointains. / Adieu, vieillard heureux, encor plus heureux père ! / Adieu : déjà l'autan, de son souffle prospère, / sur une mer propice appelle vos vaisseaux. / Adieu : mes souvenirs vous suivront sur les eaux. "