Examples of using "Adeus" in a sentence and their french translations:
Adieu !
- Au revoir !
- Salut !
- Adieu !
Au revoir !
- Dis au revoir.
- Dites au revoir.
- Adieu, Cuba.
- Au revoir, Cuba.
Au revoir, Sayoko !
- Je vous remercie, adieu !
- Je te remercie, adieu !
Adieu, ma fille !
- Elle disait au revoir.
- Elle faisait ses adieux.
Adieu et bonne chance !
Au revoir, Sayoko !
- Veux-tu dire au revoir ?
- Voulez-vous dire au revoir ?
Elle me fit ses adieux.
Au revoir, Sayoko.
Marie est partie sans dire au revoir.
Dites au-revoir à vos amis.
Adieu, Tatoeba ! C'était très amusant.
J'imagine que c'est un au revoir.
Ne pars pas sans dire au revoir.
Comment dit-on "good bye" en allemand ?
Il a dit adieu au monde terrestre.
Il est parti sans dire au revoir.
Dites au-revoir à vos amis.
"Il est temps de vous dire au revoir", dit-il subitement.
« Adieu mes amis », dit-il, puis il partit.
Il lui dit adieu et partit.
Adieu, et merci pour tout le poisson !
Elle lui donna un baiser d'adieu.
- Il quitta la pièce sans même me dire au revoir.
- Il quitta la pièce sans seulement me dire au revoir.
Bien qu'il l'aimât, il lui dit adieu et partit.
Je ne te dis pas « adieu » mais « au revoir ».
Elle a dû dire adieu à sa ville natale.
Êtes-vous sûrs que vous veuillez partir sans dire au revoir ?
Va lui dire au revoir avant qu'il ne s'en aille.
Après le discours d'adieu de Jane, nous devînmes très tristes.
Adieu, pauvre chère fille. Ton géronte t'embrasse.
Au revoir, Sayoko.
- Bonjour !
- Bonne nuit.
- Bonjour.
- Salut.
- Au revoir.
- Bonsoir.
- Ciao.
Dites au-revoir à vos amis.
Je ne veux pas te dire adieu.
" Adieu donc ; dans mon fils demeure-moi fidèle : / si sa mère t'aima, qu'il te soit toujours cher. "
" Vous, à qui votre sort impose d'autres lois, / mes enfants, saluez ces misérables restes. / Je saurai, de ma main, trancher ces jours funestes ; / ou l'ennemi lui-même, une fois plus humain, / daignera par pitié terminer mon destin. / Qu'importe, après ma mort, où l'on jette ma cendre ? "
Mais Polydore attend les suprêmes honneurs : / on relève sa tombe, on l'arrose de pleurs ; / les autels sont parés de festons funéraires ; / le cyprès joint son deuil au deuil de ces mystères ; / des femmes d'Ilion les cheveux sont épars ; / le lait, le sang sacré coulent de toutes parts ; / nous renfermons son âme en son asile sombre, / et d'un dernier adieu nous saluons son ombre.
Cependant, à son tour, Andromaque pensive / prépare ses adieux ; sa tendresse attentive / aux présents d'Hélénus veut ajouter le sien. / Ascagne reçoit d'elle un manteau phrygien, / de superbes tissus où la navete agile / a glissé des fils d'or dans sa trame fragile, / des travaux de ses mains plus précieux encor. / " Tenez, prenez ce don de l'épouse d'Hector, / cher enfant : qu'il vous prouve à jamais ma tendresse. / C'est le dernier présent d'une triste princesse ; / de vos parents, hélas ! c'est le dernier bienfait. / Prenez, ô de mon fils doux et vivant portrait ! / Voilà son air, son port, son maintien, son langage ; / ce sont les mêmes traits, il aurait le même âge ... "