Examples of using "Gaben" in a sentence and their french translations:
- Ils ont abandonné.
- Elles ont abandonné.
- Ils abandonnèrent.
- Elles abandonnèrent.
- Ils n'ont jamais abandonné.
- Elles n'ont jamais abandonné.
- Ils n'abandonnèrent jamais.
- Elles n'abandonnèrent jamais.
Ils dépensaient de l'argent.
- Les mexicains abandonnèrent.
- Les mexicains ont abandonné.
mais ils nous avaient donné des pièces d'argent.
- Ses paroles m'ont donné de l'espoir.
- Ses paroles me donnèrent de l'espoir.
Nous nous sommes serrés la main.
Nous avons cédé à leurs exigences.
Nous l'avons donné au monsieur.
Jouis purement de grâces si inattendues.
Nous avons donné la pomme à Tom.
Nous avons donné un nom à notre découverte :
Nous avons poussé la voiture.
- Nous leur donnâmes de l'argent et des vêtements.
- Nous leur avons donné de l'argent et des vêtements.
Ils donnèrent un bout de gâteau à Tom.
- Beaucoup d'Américains ont accusé l'Espagne.
- Beaucoup d'Américains accusèrent l'Espagne.
Ils n'abandonnèrent pas l'espoir.
Ils ont admis qu'ils avaient menti.
créant des cartes distribuées aux banques,
Les deux hommes se serrèrent les mains.
Ils annoncèrent les fiançailles de leur fille.
Les branches fléchirent mais ne rompirent pas.
Tom et Marie se serrèrent la main.
Les Beatles ont donné cinq concerts à Tokyo en 1996.
Ils ont tenu Georg responsable de l'échec.
Ils se contentaient d'affirmer des platitudes après coup :
ils ont abandonné leurs anciens emplois et sont devenus agriculteurs.
Ils me l'ont donné.
- Nous avons donné notre parole.
- Nous donnâmes notre parole.
Nous avons donné des comptes gratuits à les gens à TechCrunch, Mashable.
on a dansé, et dansé, en s'abandonnant dans la joie. »
Nous envisagions de nous y rendre mais nous décidâmes finalement de ne pas le faire.
Ils se serrèrent la main lorsqu'ils se rencontrèrent à l'aéroport.
Les drakkars vikings, et une maîtrise du matelotage et de la navigation, leur ont donné la capacité de frapper
On a dépensé un paquet d'argent sur des choses dont on ne se sert pas vraiment.
Ils ont fait un gros effort pour résoudre le problème.
Les fillettes avaient coutume de se rendre chaque jour au village, à la recherche d'un travail, après quoi elles donnaient à leur mère l'argent reçu.
Chaque vendredi soir ils allaient se bourrer la gueule.
Parée des dons innombrables qu'il a mis en son sein, la nature le glorifie, et tout ce qui respire veut encore plus faire corps avec lui, alors que les langues s'animent et que les ailes battent pour célébrer sa gloire.