Examples of using "Fremde" in a sentence and their french translations:
"et des étrangers aux Euro-Américains."
et d'inviter un public de 5 000 inconnus captifs,
Un chien aboiera sur les étrangers.
Elle a voyagé à l'étranger.
Notre chien mord les étrangers.
L'étranger ne se tut pas longtemps.
Ce chien aboie sur les gens qu'il ne connaît pas.
Ne mets pas ton nez dans les affaires des autres !
Mêle-toi de tes propres affaires !
Il devrait engager un étranger.
Tom a éduqué son chien afin qu'il aboie sur les inconnus.
Dans les bois, elle rencontra deux étrangers.
quand on regarde la source étrangère
cette idée extraterrestre nous semble un peu étrange
Il est utile d'étudier les langues étrangères.
L'étranger va à travers la ville.
Ne mets pas ton nez dans les affaires des autres !
- Mêlez-vous de vos affaires.
- Mêle-toi de tes propres affaires !
Apprendre une langue étrangère est difficile.
Je vais tenter de le faire sans l'aide de quelqu'un.
Introduire des plantes étrangères, telles que les palmiers, peut endommager les écosystèmes.
Les Anglais parlent rarement aux étrangers dans le train.
Tom voudrait s'approprier rapidement et facilement les langues étrangères.
Supplier des étrangers ne donnera rien, malgré tous ses efforts.
Qui ne connaît pas de langues étrangères ne connaît pas la sienne.
Les enfants sont souvent très doués pour apprendre des langues étrangères.
- La femme qu'il prenait pour sa tante, était une étrangère.
- La femme qu'il tenait pour sa tante, était une étrangère.
Je trouve les langues étrangères très intéressantes.
- J'ai vu une étrange femme là-bas.
- Je vis là une femme étrange.
C'est presque impossible d'apprendre une langue étrangère en peu de temps.
La chasse à tout ce qui est étranger et supposément ennemi tourne à l'absurde.
Il est difficile de traduire un poème dans une langue étrangère.
Goethe déclara : « Qui ne connaît pas de langues étrangères ne sait rien de la sienne. »
Je pense que dans une œuvre publiée, on doit indiquer par des citations les phrases des autres personnes.
Vivre à l'étranger est le meilleur moyen d'apprendre une langue étrangère.
Ce n'est que lorsqu'on est à l'étranger qu'on sait comme sa patrie est belle.
- Ne fourre pas le nez dans un vase étranger.
- Occupe-toi de ton métier et ne te mêle pas d'un autre.
- Ne mets pas le nez dans un récipient étranger.
- Mêle-toi de ce qui te regarde.
Mêlez-vous de vos affaires.
La patrie n'est jamais plus belle que lorsqu'on en parle de l'étranger.
La force d'une langue ne consiste pas simplement en sa capacité à repousser tout élément étranger, mais au contraire, en sa capacité à l'engloutir et à l'incorporer.
- Mêlez-vous de vos affaires.
- Mêle-toi de tes propres affaires !
- Ne mets pas ton nez dans les affaires des autres !
- Occupe-toi de tes affaires !
- Occupe-toi de tes oignons !
Mais ici, des cousins éloignés et de complets inconnus boivent et se baignent sous les étoiles.
Un passeport t'identifie comme citoyen d'un pays et te permet de voyager dans des pays étrangers.
- Mêlez-vous de vos affaires.
- Occupe-toi de tes propres affaires !
- Mêle-toi de tes propres affaires !
- Ne mets pas ton nez dans les affaires des autres !
Parler une langue étrangère, c'est abattre une frontière. Parler de nombreuses langues, c'est en abattre plusieurs. Parler l'espéranto c'est vouloir les démolir toutes en même temps.
- Mêlez-vous de vos affaires.
- Occupe-toi de tes propres affaires !
- Mêle-toi de tes propres affaires !
- Ne mets pas ton nez dans les affaires des autres !
Apprendre une langue étrangère est difficile.
Bien qu'elle ait signé un pacte secret, l'Italie n'était pas en mesure de faire valoir l'ensemble de ses revendications concernant les territoires d'outre-mer après la Première Guerre mondiale.
Je ne sais pas pourquoi, mais dès la première rencontre, je n'ai pas ressenti qu'il était un étranger.
Mêle-toi de ce qui te regarde.
- Mêlez-vous de vos affaires.
- Mêle-toi de tes propres affaires !
Les personnages que nous rencontrons dans les livres peuvent nous enchanter, soit qu'ils ressemblent à des amis de la vie réelle qui nous sont chers, soit qu'ils soient des inconnus dont nous avons plaisir à faire la connaissance.
Il suffit d’être sorti des rêves de la jeunesse, de tenir compte de l’expérience, de la sienne et de celle des autres, d’avoir appris à se mieux connaître, par la vie, par l’histoire du temps passé et du présent, par la lecture des grands poètes, et de n’avoir pas le jugement paralysé par des préjugés trop endurcis, pour se résumer les choses ainsi : le monde humain est le royaume du hasard et de l’erreur, qui y gouvernent tout sans pitié, les grandes choses et les petites ; à côté d’eux, le fouet en main, marchent la sottise et la malice : aussi voit-on que toute bonne chose a peine à se faire jour, que rien de noble ni de sage n’arrive que bien rarement à se manifester, à se réaliser ou à se faire connaître ; qu’au contraire l’inepte et l’absurde en fait de pensée, le plat, le sans-goût en fait d’art, le mal et la perfidie en matière de conduite, dominent, sans être dépossédés, sauf par instants. En tout genre, l’excellent est réduit à l’état d’exception, de cas isolé, perdu dans des millions d’autres ; et si parfois il arrive à se révéler dans quelque œuvre de durée, plus tard, quand cette œuvre a survécu aux rancunes des contemporains, elle reste solitaire, pareille à une pierre du ciel, que l’on conserve à part, comme un fragment détaché d’un monde soumis à un ordre différent du nôtre.