Examples of using "Esel" in a sentence and their french translations:
- Espèce de bourricot !
- Idiote !
Les ânes sont gris.
Les chevaux sont différents des ânes.
Un âne appelle les autres « Grandes oreilles ».
- Thomas est têtu comme une mule.
- Tom est têtu comme un mulet.
- As-tu entendu l'âne braire ?
- Avez-vous entendu l'âne braire ?
- Il est têtu comme un âne.
- Il est aussi têtu qu'un âne.
Ce n'est pas un cheval mais un âne.
Il m'a offensé et m'a traité d'âne.
Jusqu'ici, je n'ai jamais entendu un âne braire.
Je suis peut-être fou, mais je ne suis pas stupide.
Je crois que j'ai même entendu deux ânes braire.
Il vaut mieux un âne vivant qu'un cheval mort.
- Tu sais, Tom, tu es un vrai idiot.
- Vous savez, Tom, vous êtes un vrai idiot.
Tom ne sait pas la différence entre une mule et un âne.
Un chameau, même en mauvais point, porte le fardeau de nombreux ânes.
Déjà fatigué, un âne transpire sous le poids de lourds sacs de grains.
Tom est un idiot, mais je l'aime quand même.
Ni les bœufs ni les ânes ne retiennent la course du socialisme.
Tom ne sait pas la différence entre une mule et un âne.
Pas plus le bœuf que l'âne ne sauraient entraver la marche du socialisme.
Je ne puis hennir comme un cheval : je suis un âne !
La paysan tape sur le sac, bien que ce soit l'âne qui est visé.
- Je crois que j'ai entendu un âne braire sur le terrain d'à côté.
- Je crois avoir entendu un âne braire sur le terrain d'à côté.
Ceci n'est ni cheval ni âne, mais un mulet.
On ne saurait faire boire l'âne s'il n'a soif.
Si un âne te donne un coup de pied, ne lui rends pas.
Chat échaudé craint l'eau froide.
N'importe quel âne peut détruire une étable, mais il faut un charpentier pour en construire une.
On peut bien dissimuler la queue d'un âne mais il donne à voir ses oreilles.
Si tu es prince et moi aussi, qui doit alors conduire l'âne ?
Nous les hommes parvenons à faire taire le carnassier en nous, mais cependant pas l'âne.
N'importe quel imbécile peut détruire une grange, mais il faut un menuisier pour en construire une.
Un homme avait un âne qui, déjà depuis bien des années, portait infatigablement les sacs au moulin, mais dont les forces touchaient à leur fin; en sorte qu'il devenait de plus en plus impropre au travail. Son maître pensait déjà à l'écorcher, mais l'âne, s'apercevant qu'il ne soufflait pas un bout de vent, s'échappa et partit pour Brême, en se disant qu'il pourrait y devenir musicien de la ville.