Translation of "Pleurs" in Portuguese

0.007 sec.

Examples of using "Pleurs" in a sentence and their portuguese translations:

Émilie est en pleurs.

Emily está chorando.

Elle a répondu en pleurs.

Ela respondeu em pranto.

Système des pleurs droits des femmes

sistema de choro direitos das mulheres

- Elle prit congé de son ami en pleurs.
- Elle prit congé de son ami, en pleurs.

- Ela, em lágrimas, se separou da amiga.
- Ela se separou da amiga, que chorava.
- Ela se despediu da amiga, que chorava.
- Chorando, ela se despediu da amiga.

- Elle raconta son histoire en pleurs.
- Elle a raconté son histoire en larmes.

Ela contou sua história aos prantos.

" Trompés par ses discours, attendris par ses pleurs, / nous lui laissons le jour. "

"Tivemos compaixão do choramingas / e poupamos-lhe a vida."

- Il a arrêté de pleurer.
- Il cessa de pleurer.
- Il mit fin à ses pleurs.

Ele parou de chorar.

Je sens couler des pleurs que je veux retenir ; le passé me tourmente, et je crains l'avenir.

Sinto correr as lágrimas que desejo conter; o passado me atormenta e eu receio o porvir.

Oui, jusque dans ces lieux la gloire a ses honneurs, L’humanité ses droits, et la pitié ses pleurs.

Há lágrimas aqui por nossas desventuras, corações que dos reveses dos mortais se compadecem.

Elle dit ; et soudain / d'un long ruisseau de pleurs elle inonde son sein / et fait entendre au loin sa plainte attendrissante.

Prorrompe em lágrimas, enchendo todo o bosque / de lamento e soluços dolorosos.

Nuit effroyable ! hélas ! de ces scènes affreuses / qui pourrait retracer les tragiques horreurs? / Quels yeux pour ce désastre auraient assez de pleurs?

Alguém será capaz de descrever / por palavras o horror daquela noite? / Quem lágrimas bastantes verterá / por nossos mortos, nossas perdas, nossa ruína?

Son esprit des humains roulait la destinée, / lorsque Vénus, sa fille, et la mère d'Énée, / gémissante, et de pleurs inondant ses beaux yeux :

A ele, absorto dessa forma, Vênus / muito triste, com os olhos reluzentes / de lágrimas banhados, se dirige:

Dès qu'elle voit Priam vainement furieux, / moins couvert qu'accablé d'une armure inutile : / " Quelle aveugle fureur, quel courage stérile ! / lui crie Hécube en pleurs. Où courez-vous ? Hélas ! "

Ao ver Príamo usando armas de moço, / a rainha exclamou: “Mas que delírio cruel, / meu pobre esposo, faz que te revistas / desse aparato bélico? Aonde vais / com tanta pressa?"

Ainsi Créuse en pleurs, exhalant ses alarmes, / remplit l'air de ses cris, me baigne de ses larmes, / lorsqu'un soudain prodige épouvante nos cœurs : / aux yeux et dans les bras de ses parents en pleurs, / sur la tête d'Ascagne une flamme rayonne, / tourne autour de son front en brillante couronne, / et, d'un léger éclair l'effleurant mollement, / autour de ses cheveux se joue innocemment.

Do seu pranto o alarido enchia a casa inteira, / quando incrível prodígio aconteceu, / pois em nossa aflição, ao abraçar Ascânio, / súbito vimos-lhe a cabeça coroar-se / de chama tênue, cuja luz inofensiva / lhe beijava os cabelos cacheados, / sustentando-se em torno às delicadas fontes.

" Voilà Priam, et voilà notre histoire ! / Les murs de Junon même en gardent la mémoire. / Oui, jusque dans ces lieux la gloire a ses honneurs, / l'humanité ses droits, et la pitié ses pleurs. "

"Veja o rei Príamo! A virtude, aqui também, / seu galardão conquista. Há lágrimas aqui / por nossas desventuras, corações / que dos reveses dos mortais se compadecem".

Surtout le tendre Énée est touché de leur sort : / au fidèle Gyas, aux valeureux Cloanthe / prodigue ses regrets et sa douleur touchante ; / tantôt il s'attendrit sur le sort de Lycus, / et tantôt de ses pleurs honore Caïcus.

Mais sofre o bom Eneias, que ora chora / do ardente Orontes o destino, ora o de Amico, / e pensa com tristeza nos maus fados / do pobre Lico, do valente Gias / e daquele Cloanto destemido.

Lorsque levant ses yeux par l'espoir animés, / tendant au ciel ses mains : " Jupiter ! dit mon père, / si les pleurs quelquefois désarment ta colère, / lis dans nos cœurs, hélas ! et, s'ils sont vertueux, / confirme, par pitié, ces présages heureux ! "

Mas, contente, / meu pai Anquises ergue os olhos para o céu / e, as mãos e a voz aos astros elevando, / “Onipotente Júpiter, suplica, / se de algum modo humanas preces te comovem, / ao menos lança sobre nós o teu olhar; / e, se nossa piedade algo merece, / confirma-nos, ó Pai, esse presságio.”

Ce grand prince, au milieu de ses fils moissonnés, / terminant sous le fer ses jours infortunés, / d'un père, comme lui, déjà glacé par l'âge / tout à coup réveilla l'attendrissante image : / de mon épouse en pleurs, de mon malheureux fils, / mon amour consterné croit entendre les cris.

Ao ver, petrificado, se exalar, / pela brutal ferida, a alma do velho rei, / vem-me de outro ancião, daquela mesma idade, / ao pensamento a imagem tão querida. / Penso em meu pai, no desamparo de Creúsa, / em nossa casa saqueada, em nosso Ascânio, / exposto, o pequenino, a tamanhos perigos.

Ainsi dans son refus il demeure obstiné ; / vainement de nos pleurs il est environné ; / vainement mon épouse, et mon fils, et moi-même, / le conjurons, pour lui, pour ses enfants qu'il aime, / de ne pas achever de déchirer nos cœurs, / et de n'aggraver pas le poids de nos malheurs.

Impassível, Anquises tais palavras / dizia e repetia, enquanto nós em pranto – minha esposa Creúsa, Ascânio, toda a casa – / implorávamos que ele, o patriarca, / não quisesse deitar tudo a perder, / dando mais peso aos duros golpes do destino.

Le Troyen cependant ne meurt pas sans vengeance, / la fureur quelquefois ranime sa vaillance ; / tour à tour on éprouve, ou répand la terreur ; / on fuit, et l'on poursuit ; on tombe, on est vainqueur ; / partout des pleurs, du sang, des hurlements terribles, / et la mort qui renaît sous cent formes horribles.

Mas o sangrento sacrifício não atinge / apenas os vencidos; a bravura / dos troianos às vezes prevalece / e os gregos vencedores também caem. / O que se vê por toda a parte é de cortar / os corações: o pânico, a agonia / e a exposição da morte em várias formas.

À ces mots, je saisis, sans espoir de défense, / d'un bras mon bouclier, et de l'autre ma lance. / Je sortais en fureur de ce séjour de deuil, / quand mon épouse en pleurs m'arrête sur le seuil, / embrasse mes genoux, éperdue et tremblante, / me présente mon fils, et, d'une voix touchante:

Cinjo de novo a espada e, ao braço esquerdo / afivelando a alça do escudo, vou saindo, / quando Creúsa no limiar me atalha / e, ajoelhando-se, em pranto, aponta-me meu filho, / o pequenino Iulo, e grita:

Mais Polydore attend les suprêmes honneurs : / on relève sa tombe, on l'arrose de pleurs ; / les autels sont parés de festons funéraires ; / le cyprès joint son deuil au deuil de ces mystères ; / des femmes d'Ilion les cheveux sont épars ; / le lait, le sang sacré coulent de toutes parts ; / nous renfermons son âme en son asile sombre, / et d'un dernier adieu nous saluons son ombre.

Preparamos, portanto, os funerais / de Polidoro: muita terra amontoamos / sobre seu túmulo; a seus Manes erigimos / altares, que cobrimos de listões / roxos, azuis e fúnebre cipreste, / enquanto em volta, desgrenhadas, como é praxe / das carpideiras, as troianas o pranteiam. / Oferecendo-lhe em navetas espumante / e morno leite e, em páteras, o sacro / sangue das hóstias, encerramos no sepulcro / o errante espírito e em voz alta lhe dizemos, / na tripla saudação, o adeus supremo.

L'été s'ouvrait à peine ; à l'orageux Neptune / mon père me pressait de livrer ma fortune. / D'un peuple fugitif j'assemble les débris ; / les yeux en pleurs, je pars ; je fuis ces bords chéris, / ces antiques remparts dont Vulcain fit sa proie, / et les toits paternels, et les champs où fut Troie ; / et, sur l'onde exilé, j'emmène en d'autres lieux, / et mon père, et mon fils, et mon peuple, et mes dieux.

Logo que chega a primavera, Anquises manda / largar as velas aos caprichos do destino. / Então com lágrimas nos olhos vou deixando / o porto, o pátrio litoral, toda a planície / onde um dia foi Troia. Ao mar me entrego, / qual exilado, com meu filho, os companheiros, / nossos penates, nossos grandes deuses.

Son fils la reconnaît, et, tandis qu'elle fuit, / de ses yeux, de sa voix, longtemps il la poursuit, / et, l'œil baigné de pleurs : " Quoi ! toi-même, ô ma mère ! / tu te plais à tromper un fils qui te révère ! / Ah ! quand pourra ton fils te presser sur son sein, / mes yeux fixer tes yeux, ma main serrer ta main ? / N'abuse plus mes sens ; que le fils le plus tendre / puisse en effet te voir, te parler et t'entendre ! "

Assim que reconhece a mãe, que se afastava, / pressuroso ele a segue e assim lhe fala: / “Ah, como és impiedosa! Por que zombas / tanto, com tais simulações, deste teu filho? / Por que não queres que eu te aperte a mão? / Por que não posso conversar jamais contigo / sinceramente, sem a sombra de um disfarce?”

La reine cependant par cent et cent discours / de la rapide nuit veut prolonger le cours : / s'enivrant à longs traits d'un poison qu'elle adore, / elle interroge Énée, et l'interroge encore. / Elle trouve du charme à ses moindres récits ; / et, quand Priam, Hector, Andromaque et son fils, / ont fait couler ses pleurs, quand son âme étonnée, / en connaissant Achille, a frémi pour Énée, / des guerriers moins fameux veut connaître le nom, les coursiers de Rhésus, / les troupes de Memnon.

E noite adentro Dido se entretinha / em compridas conversas com Eneias, / bebendo sem saber, a desditosa, / gota a gota o veneno da paixão. / A respeito de Príamo e de Heitor / fazia mil perguntas, indagava / com quais armas Memnon, filho da Aurora, / combatera; que tais os corcéis de Diomedes / e qual era de Aquiles a estatura.

Ce jour même, sa veuve, inconsolable encor, / hors des murs, dans un bois qui d'un épais ombrage / d'un nouveau Simoïs ornait le doux rivage, / figurant en gazon un triste et vain cercueil, / offrait à son époux le tribut de son deuil. / Pour charmer ses regrets, loin des regards profanes, / à ce lugubre asile elle invitait ses mânes, / l'appelait auprès d'elle ; et, chers à ses douleurs, / deux autels partageaient le tribut de ses pleurs, / l'un pour Astyanax, et l'autre pour son père: / là pleurait tour à tour et l'épouse et la mère.

Num bosque à entrada da cidade, à margem / de um novo Xanto, Andrômaca ofertava / funéreos dons, solenes iguarias, / às cinzas do finado esposo e lhe evocava / os manes junto ao túmulo vazio, / de verde relva, e aos dois altares consagrados / aos seus pranteados Astianaz e Heitor.