Translation of "Homicide" in Portuguese

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Examples of using "Homicide" in a sentence and their portuguese translations:

" Sur un nuage ardent, au sommet de ces tours, / regarde : c'est Pallas, dont la main homicide / agite dans les airs l'étincelante égide. "

"E ali atrás, observa, já se posta / no alto do alcácer a tritônia Palas, / lampejando em seu nimbo e exibindo no escudo / a terrível ameaça de Medusa."

" L'horrible Céléno, s'opposant à leurs vœux, / seule ose m'annoncer la colère des cieux, / et menace mes jours de la faim homicide. / Parle : que de mon sort ta sagesse décide. "

"Só a Harpia Celeno, por funestos / ressentimentos, prenuncia-me prodígio / inaudito e nefando, vinculado / à mais sinistra e negra fome. Que perigos / em princípio evitar, que é possível fazer / para vencer as duras provas que me aguardam?”

" Mais bientôt d'un époux privé de sépulture / le spectre, s'élevant du sein de l'ombre obscure, / triste, pâle et sanglant, apparut à ses yeux, / dévoila de sa mort le mystère odieux, / et cette cour barbare, et l'autel homicide. "

"Mas em sonho aparece a Dido a imagem / do marido insepulto; erguendo um rosto / estranhamente pálido, ele fala / do ensanguentado altar e expõe o peito / apunhalado, revelando com detalhes / aquele crime, que sua casa desconhece".

Des lieux les plus obscurs nous traversons l'horreur ; / et moi, qui tant de fois avais vu sans terreur / et les bataillons grecs et le glaive homicide, / une ombre m'épouvante, un souffle m'intimide ; / je n'ose respirer, je tremble au moindre bruit, / et pour ce que je porte, et pour ce qui me suit.

Pelos caminhos mais escuros avançamos; / e eu, que há pouco enfrentava destemido / chuvas de dardos e o ataque das cerradas / colunas gregas, fico agora apavorado / a cada sopro da mais leve brisa: / cada ruído me assusta e faz temer, / ao mesmo tempo, por quem trago às costas / e por aquele que conduzo pela mão.

" Fils d'Anchise, pourquoi, souillant des mains si pures, / viens-tu troubler mon ombre et rouvrir mes blessures ? / Hélas ! respecte au moins l'asile du trépas ; / d'un insensible bois ce sang ne coule pas. / Cette contrée a vu terminer ma misère ; / mais celle où tu naquis ne m'est point étrangère : / épargne donc ma cendre, ô généreux Troyen ! / Ma patrie est la tienne, et ce sang est le mien. / Ah ! fuis ces lieux cruels, fuis cette terre avare : / j'y péris immolé par un tyran barbare. / Polydore est mon nom ; ces arbustes sanglants / furent autant de traits qui percèrent mes flancs. / La terre me reçut ; et, dans mon sein plongée, / leur moisson homicide en arbres s'est changée. "

“Por que razão, Eneias, dilaceras / este infeliz? Oh, deixa-me sepulto! / Evita conspurcar as mãos piedosas. / Não sou estranho para ti – gerou-me Troia – / nem da planta este humor está manando. / Oh! Foge destas plagas desumanas, / foge da terra da cobiça e da avareza. / Sou Polidoro: neste sítio me prostraram / sob uma chuva de assassinas flechas, / hoje em pontudas hastes convertidas.”