Translation of "Attaqués" in Portuguese

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Examples of using "Attaqués" in a sentence and their portuguese translations:

Nous étions attaqués par un essaim d'abeilles.

Fomos atacados por um enxame.

L'ennemi nous a attaqués dans la nuit.

Os inimigos nos atacaram de noite.

- Ils ont été attaqués.
- Elles ont été attaquées.

Eles foram atacados.

- Nous sommes attaqués !
- Nous sommes sous le coup d'une attaque !
- Nous sommes attaquées !
- Nous subissons une attaque !

Estamos sob ataque!

Il remporte d'abord plusiers avantages sur l'ennemi ; mais ses compagnons, ayant pris les armes des Grecs qu'ils avaient tués, furent attaqués sous ce déguisement par les Troyens, et en même temps par les Grecs, qui reconnurent leur feinte.

De início, ele leva alguma vantagem sobre o inimigo; mas seus companheiros, vestindo as armaduras dos gregos que haviam matado, foram atacados sob esse disfarce pelos troianos e, ao mesmo tempo, pelos gregos, que descobriram o artifício.

Bien entendu, le peuple ne veut pas de guerre. Pourquoi est-ce qu'un pauvre gueux dans une ferme voudrait risquer sa vie dans une guerre dont il ne peut espérer au mieux qu'il en reviendra entier ? Naturellement, le commun de la population ne veut pas de guerre ; ni en Russie, ni en Angleterre, ni en Amérique, ni, en ce qui nous concerne, en Allemagne. C'est bien entendu. Mais, après tout, ce sont les dirigeants d'un pays qui en déterminent les lignes d'action, et ce n'est jamais qu'une question simple que d'entraîner le peuple, que ce soit dans une démocratie, une dictature fasciste, un Parlement, ou une dictature communiste. [...] Le peuple peut toujours être converti à la cause des dirigeants. Cela est facile. Tout ce qu'il suffit de faire, c'est de leur dire qu'ils sont attaqués et dénoncer les pacifistes pour leur manque de patriotisme qui expose le pays au danger. Cela marche de la même manière dans tous les pays.

Ora, é claro que o povo não deseja a guerra. Por que um pobre coitado, trabalhando em uma fazenda, haveria de querer arriscar sua vida numa guerra, quando o máximo que ele pode conseguir dela é voltar para casa inteiro? Naturalmente, as pessoas comuns não querem guerra; nem na Rússia, nem na Inglaterra, nem na América, nem mesmo, aliás, na Alemanha. Isso não se discute. Mas, afinal de contas, são os líderes do país que determinam a política e é sempre muito simples manobrar o povo, seja numa democracia ou numa ditadura fascista, num regime parlamentar ou numa ditadura comunista. [...] Com voz ou sem voz, os cidadãos sempre podem ser levados a cumprir as ordens dos líderes. É fácil. Tudo o que é preciso fazer é dizer-lhes que estão sendo atacados e denunciar os pacifistas por falta de patriotismo e por exporem o país ao perigo. É exatamente dessa mesma maneira que a coisa funciona em qualquer país.