Translation of "Adieux" in Portuguese

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Examples of using "Adieux" in a sentence and their portuguese translations:

Les adieux sont toujours tristes.

Despedidas são sempre tristes.

Elle me fit ses adieux.

Ela me disse adeus.

- Elle disait au revoir.
- Elle faisait ses adieux.

Ela disse adeus.

- Elle se rendit à la gare pour lui faire ses adieux.
- Elle s'est rendue à la gare pour lui faire ses adieux.

Ela foi à estação de trem para vê-lo partir.

- Nous dîmes nos adieux.
- Nous nous sommes dit au revoir.

Nós nos despedimos.

Elle se rendit à l'aéroport pour lui faire ses adieux.

Ela foi ao aeroporto para vê-lo partir.

J'ai été à la gare faire mes adieux à un ami.

Fui à estação para despedir-me de um amigo.

- J'ai juste laissé tomber de dire au revoir.
- Je suis venu simplement pour faire mes adieux.

Eu só parei para falar tchau.

Mais au fond du palais quel tableau lamentable ! / Partout l'effroi, le trouble et les gémissements : / les femmes, perçant l'air d'horribles hurlements, / dans l'enceinte royale errent désespérées ; / l'une embrasse à genoux ses colonnes sacrées, / l'autre y colle sa bouche, et ses mains, et ses yeux, / et par mille baisers leur fait de longs adieux.

Reinam, porém, lá dentro a dor e o desespero; / pelas abóbadas ecoam feminis / gritos agudos e o clamor atinge os astros, / que indiferentes ao horror fulguram. / Tomadas de terror alucinante, / pelos vastos salões a esmo correm / senhoras, abraçando-se aos umbrais / das portas e de beijos os cobrindo.

Cependant, à son tour, Andromaque pensive / prépare ses adieux ; sa tendresse attentive / aux présents d'Hélénus veut ajouter le sien. / Ascagne reçoit d'elle un manteau phrygien, / de superbes tissus où la navete agile / a glissé des fils d'or dans sa trame fragile, / des travaux de ses mains plus précieux encor. / " Tenez, prenez ce don de l'épouse d'Hector, / cher enfant : qu'il vous prouve à jamais ma tendresse. / C'est le dernier présent d'une triste princesse ; / de vos parents, hélas ! c'est le dernier bienfait. / Prenez, ô de mon fils doux et vivant portrait ! / Voilà son air, son port, son maintien, son langage ; / ce sont les mêmes traits, il aurait le même âge ... "

Também triste no instante derradeiro / daquele adeus, Andrômaca, não menos / generosa que Heleno, a Ascânio presenteia / com finos trajes adornados de ouro, / uma clâmide frígia e farto suprimento / de preciosos tecidos, e assim fala: / “Filho, aceita estas prendas, meus lavores, / como lembrança e testemunho do carinho imperecível da viúva do teu tio / Heitor; recebe os derradeiros mimos / de teus parentes, tu que és viva imagem / do meu caro Astianaz: esse rosto, esses olhos, / essas mãos ele tinha, e hoje estaria / com tua idade, a entrar na adolescência.”