Translation of "Pitié" in German

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Examples of using "Pitié" in a sentence and their german translations:

- Aies pitié.
- Ayez pitié.

Gnade!

Soyez sans pitié !

Habt kein Erbarmen!

Ayez pitié de moi !

Habt Mitleid mit mir!

Aucune pitié n'a été montrée.

Es gab keine Gnade.

- Soyez impitoyables !
- Soyez sans pitié !

Habt kein Erbarmen!

Je ne vous fais pas pitié.

- Ich tue Ihnen nicht leid.
- Ich tue euch nicht leid.

La pitié prime sur le droit.

Gnade geht vor Recht.

Elle ne faisait preuve d'aucune pitié.

Sie empfand keinerlei Mitleid.

Ce pauvre chien m'a fait pitié.

Dieser arme Hund tat mir leid.

Le pauvre chien me faisait pitié.

- Der arme Hund tat mir leid.
- Mir tat der bedauernswerte Hund leid.

- Aie pitié !
- Ayez pitié !
- Aie pitié !

- Hab Erbarmen!
- Habt Erbarmen!
- Haben Sie Erbarmen!

Elle a eu pitié de lui.

Sie bekam Mitleid mit ihm.

Je n'ai pas besoin de ta pitié.

Ich brauche dein Mitleid nicht.

Ne confonds jamais la pitié avec l'amour.

Verwechsle nie Mitleid mit Liebe.

Je ne veux ni pitié, ni compassion.

Ich will weder Leid noch Mitleid.

- Elle est sans pitié.
- Elle est impitoyable.

Sie ist skrupellos.

- Tom est sans pitié.
- Tom est impitoyable.

- Tom ist unbarmherzig.
- Tom ist gnadenlos.

Tom n'a révélé ni pitié ni compassion.

Tom verriet weder Mitleid noch Mitgefühl.

Jusqu'à présent, Marie avait pitié de moi.

Bis jetzt hatte Marie Mitleid mit mir.

L'évêque eut pitié des étrangers dans le désespoir.

Der Bischof erbarmte sich der verzweifelten Immigranten.

La pitié voit la misère, pas la cause.

Mitleid sieht die Not, nicht die Ursache.

Prenez pitié d'un pauvre aveugle, s'il vous plaît !

Bitte habt Erbarmen mit einem armen Blinden!

Je ne veux pas qu'on ait pitié de moi.

Ich möchte nicht bemitleidet werden.

Maltraité par son maître, ce chien fait pitié à voir.

Von seinem Besitzer misshandelt, war dieser Hund ein trauriger Anblick.

Je ne veux pas être châtié, ni provoquer de la pitié.

Ich will weder Leid noch Mitleid.

Les gens avec des handicaps physiques détestent qu'on les prenne en pitié.

Behinderte können es nicht ausstehen, wenn man sie bemitleidet.

Ayez pitié, monsieur le directeur ! Demandez-moi n'importe quoi, mais pas ça.

Nein danke, Herr Direktor. Verlangen Sie alles, was Ihnen beliebt, nur nicht das.

Les conditions de vie de Tom et de Marie inspiraient de la pitié à leurs voisins.

Die Lebensumstände von Tom und Maria erregten das Mitleid ihrer Nachbarn.

Il suffit d’être sorti des rêves de la jeunesse, de tenir compte de l’expérience, de la sienne et de celle des autres, d’avoir appris à se mieux connaître, par la vie, par l’histoire du temps passé et du présent, par la lecture des grands poètes, et de n’avoir pas le jugement paralysé par des préjugés trop endurcis, pour se résumer les choses ainsi : le monde humain est le royaume du hasard et de l’erreur, qui y gouvernent tout sans pitié, les grandes choses et les petites ; à côté d’eux, le fouet en main, marchent la sottise et la malice : aussi voit-on que toute bonne chose a peine à se faire jour, que rien de noble ni de sage n’arrive que bien rarement à se manifester, à se réaliser ou à se faire connaître ; qu’au contraire l’inepte et l’absurde en fait de pensée, le plat, le sans-goût en fait d’art, le mal et la perfidie en matière de conduite, dominent, sans être dépossédés, sauf par instants. En tout genre, l’excellent est réduit à l’état d’exception, de cas isolé, perdu dans des millions d’autres ; et si parfois il arrive à se révéler dans quelque œuvre de durée, plus tard, quand cette œuvre a survécu aux rancunes des contemporains, elle reste solitaire, pareille à une pierre du ciel, que l’on conserve à part, comme un fragment détaché d’un monde soumis à un ordre différent du nôtre.

Jeder, welcher aus den ersten Jugendträumen erwacht ist, eigene und fremde Erfahrung beachtet, sich im Leben, in der Geschichte der Vergangenheit und des eigenen Zeitalters, endlich in den Werken der großen Dichter umgesehen hat, wird, wenn nicht irgendein unauslöschlich eingeprägtes Vorurteil seine Urteilskraft lähmt, wohl das Resultat erkennen, dass diese Menschenwelt das Reich des Zufalls und des Irrtums ist, die unbarmherzig darin schalten, im Großen wie im Kleinen, neben welchen aber noch Torheit und Bosheit die Geißel schwingen: daher es kommt, dass jedes Bessere nur mühsam sich durchdrängt, das Edle und Weise sehr selten zur Erscheinung gelangt und Wirksamkeit oder Gehör findet, aber das Absurde und Verkehrte im Reiche des Denkens, das Platte und Abgeschmackte im Reiche der Kunst, das Böse und Hinterlistige im Reiche der Taten, nur durch kurze Unterbrechungen gestört, eigentlich die Herrschaft behaupten; hingegen das Treffliche jeder Art immer nur eine Ausnahme, ein Fall aus Millionen ist, daher auch, wenn es sich in einem dauernden Werke kund gegeben, dieses nachher, nachdem es den Groll seiner Zeitgenossen überlebt hat, isoliert dasteht, aufbewahrt wird, gleich einem Meteorstein, aus einer andern Ordnung der Dinge, als die hier herrschende ist, entsprungen.