Examples of using "Comrades" in a sentence and their french translations:
Chers camarades !
- Silence, camarades !
- Taisez-vous, camarades !
Chers camarades !
J'ai appris des choses avec les camarades.
doit trouver ses camarades ici aujourd'hui.
Et bien, ce fut les propres camarades de son parti.
- Mes camarades m'encouragèrent à réaliser mes ambitions.
- Mes camarades m'encouragèrent à concrétiser mes ambitions.
Les espérantophones sont nos amis.
Il était énervé par le meurtre de ses camarades.
Aimez vos camarades ! Aimez vos parents ! Aimez votre pays !
En septembre, Bernadotte bat les anciens camarades maréchaux Oudinot et Ney à Dennewitz.
grâces, pour leur discours honnête et direct et pour toujours aider les vieux camarades.
Napoléon a été choqué par cette trahison par l'un de ses plus vieux camarades.
" C'en est trop : écartons cette horde funeste, / m'écriai-je aussitôt. Aux armes, compagnons ! / Courons ! délivrons-nous de ces monstres gloutons ! "
Énergique et charismatique, il fut aussitôt élu officier par ses camarades.
Les hommes d'Oudinot ont été choqués en voyant leurs anciens camarades de la colonne principale:
Il a mené une enquête sur d'anciens camarades qui avaient soutenu Napoléon pendant les Cent Jours,
A présent, comme beaucoup de camarades, il devait être proche de l'épuisement physique et psychologique.
Khalid écouta ses camarades, puis se leva en disant : "Les quatre derniers jours ont testé notre détermination."
Tout comme ses camarades Nord Coréens, Ceausescu était un maître dans l'art de la répression politique.
Ainsi parla Didon : attentifs à ces mots, / bouillants d'impatience, Achate et le héros / brûlent de se montrer, de briser le nuage.
Aussitôt, de mon fils, d'Anchise, de mes dieux, / je laisse à mes amis le dépôt précieux.
- « Mes amis, compagnons de route de vieilles mésaventures, vous qui avez subi les épreuves les plus sévères, vous verrez que le ciel mettra fin aussi à celles-ci. »
- " Compagnons, leur dit-il, relevez vos courages ; / l'âme se fortifie au milieu des orages. / Ce n'est pas d'aujourd'hui que commencent vos maux ; / vous avez éprouvé de plus rudes assauts : / ceux-ci, n'en doutez point, s'apaiseront de même. "
" Les voilà, dit Anchise ; oui, Troyens, les voilà, / ces gouffres de Carybde, et ces rocs de Scylla ! / Aux rames, mes amis ! fuyons ces bords horribles / qu'annonçaient d'Hélénus les oracles terribles ! "
Je cherche autour de moi si quelque ami me reste : / tous ont péri... Poussés d'un désespoir funeste, / tous de nos toits brûlants se sont précipités.
De leurs amis trompés malheureuses victimes, / Hypanis et Dymas tombent aux noirs abîmes. / Et toi, Panthée ! et toi, ton vêtement divin / et tes propres vertus te protègent en vain !
" Évite ce malheur. En vain de ton départ / les tiens impatients accusent le retard ; / en vain le vent t'appelle, en vain le temps te presse ; / toi-même va trouver, consulter la prêtresse ; / qu'elle-même te parle, et de ses rocs profonds / laisse échapper pour toi ses prophétiques sons, "
Le signal est donné ; nous quittons ces rivages.
Je restais seul... Des feux les lugubres clartés / guidaient mes pas tremblants et ma vue incertaine, / lorsqu'aux pieds de Vesta je vois l'affreuse Hélène.
Mais nos concitoyens, / sous les armes des Grecs ignorant les Troyens, / du temple de Pallas lancent sur notre tête / d'une grêle de traits l'effroyable tempête.
Ils s'emparent de Troie ; et les vapeurs du vin / et la paix du sommeil secondant leur dessein, / ils massacrent la garde, ouvrent toutes les portes, / et la mort dans nos murs entre avec leurs cohortes.
J'y fonde une cité ; je l'appelle Ilion : / l'heureuse colonie applaudit à son nom. / Je l'invite à chérir sa demeure nouvelle, / à bâtir de ses mains sa haute citadelle.
" Souffrez qu'en vos forêts notre triste naufrage / retrouve les secours que nous ravit l'orage. / Si le pieux Énée à nos vœux est rendu, / si dans les champs latins son peuple est attendu, / vers ces bords désirés nous suivrons notre course. "
" Déjà pour vous le ciel m'annonce un sort plus doux ; / et si, par mes parents instruite dès l'enfance, / des augures sacrés j'ai quelque connaissance, / votre flotte est sauvée, et vos amis perdus / a vos embrassements seront bientôt rendus. "
O vous, cendres de Troie ! et vous, flammes funestes ! / qui de mon Ilion dévorâtes les restes ! / Je vous atteste ici qu'affrontant les combats, / malgré moi le destin me sauva du trépas ; / et, si le sort cruel n'eût conservé ma vie, / que j'avais mérité qu'elle me fût ravie.
Dans l'ombre de la nuit, un célèbre guerrier, / Androgée, à nos coups vient s'offrir le premier. / Un corps nombreux le suit, il s'avance à leur tête, / et, nous croyant des Grecs : " Amis, qui vous arrête ? / Déjà nos compagnons, au pillage animés, / emportent d'Ilion les débris enflammés, / et vous, de vos vaisseaux vous descendez à peine ! "
Alors tout notre sang se glace dans nos veines, / alors nous abjurons nos espérances vaines. / Pour apaiser ce peuple, aux glaives impuissants / nous faisons succéder les prières, l'encens ; / soit qu'on adore en lui les déités des ondes, / soit qu'il n'offre à nos yeux que des oiseaux immondes.
Achate au chef troyen tient alors ce langage : / " Fils des dieux ! vous voyez, vos vaisseaux sont sauvés, / vos guerriers réunis, vos amis retrouvés : / un seul manque à nos vœux, malheureuse victime, / que la mer à nos yeux engloutit dan l'abîme. / Au discours de Vénus jusqu'ici tout répond. "
La mer rend les vaisseaux à ces tranquilles bords ; / l'hymen promet ses fruits, la terre ses trésors. / Je donne à tous des lois, des champs, des domiciles. / Mais notre sort nous suit dans ces nouveaux asiles : / un air contagieux, exhalant son poison, / charge de ses vapeurs la brûlante saison : / l'eau tarit, l'herbe meurt, et la stérile année / voit sur son front noirci sa guirlande fanée.
L'été s'ouvrait à peine ; à l'orageux Neptune / mon père me pressait de livrer ma fortune. / D'un peuple fugitif j'assemble les débris ; / les yeux en pleurs, je pars ; je fuis ces bords chéris, / ces antiques remparts dont Vulcain fit sa proie, / et les toits paternels, et les champs où fut Troie ; / et, sur l'onde exilé, j'emmène en d'autres lieux, / et mon père, et mon fils, et mon peuple, et mes dieux.