Examples of using "плане»" in a sentence and their french translations:
- Parle-moi de ton plan.
- Parlez-moi de votre plan.
À l'arrière, vous voyez l'excavateur.
Je réfléchissais au projet.
Parle-moi de ton plan.
Je n'étais pas au courant de son plan.
C'est quelque chose qu'on peut améliorer.
Tout le monde n'est pas au courant de mon projet.
- Ne parle à personne de notre plan.
- Ne parle de notre plan à personne.
- Pas un mot sur notre plan à qui que ce soit.
Je ne connaissais pas son plan.
J'ignorais ton plan.
- Ne parle à personne de notre plan.
- Ne parle de notre plan à personne.
Ce n'est pas super pour les droits de l'Homme.
On voit un château à l'arrière-plan du tableau.
- Je ne sais rien de leur plan.
- Je ne connais rien de leur plan.
ont connu un développement économique si spectaculaire,
- Je pouvais les entendre rire dans notre dos.
- Je pouvais les entendre rire dans mon dos.
- Je pouvais les entendre rire en bruit de fond.
Je leur ai dit ce que je pensais de leur plan.
Les enfants dépendent de leurs parents pour la nourriture et leur habillement.
- Que penses-tu de ce plan ?
- Que pensez-vous de ce plan ?
D'un point de vue pratique, son plan présente de nombreuses lacunes.
Dites-moi tout ce qu'il y a à savoir sur votre plan, s'il vous plaît.
- Montrez-moi, je vous prie, cela sur le plan.
- Montrez-moi ceci, je vous prie, sur le plan.
Stéphane ne dévoilerait à qui que ce soit ses manigances destinées à le venger de ses amis pour lui avoir fait une farce.
Que pense ta femme de ce projet ?
prenons cet homme dans le fond. Laissez-moi l'enregistrer.. Ok, voici le résultat. Cet
- Je suppose que c'est différent quand tu y penses à long terme.
- Je suppose que c'est différent quand vous y pensez à long terme.
Les imprimantes laser sont généralement moins chères à entretenir que les imprimantes à jet d'encre.
- Que penses-tu de ce projet ?
- Que penses-tu de ce plan ?
- Que pensez-vous de ce projet ?
- Que pensez-vous de ce plan ?
Les systèmes dont les règles sont basées sur l'usage, tels que les langues ou les droits coutumiers, sont condamnés à devenir absurdes, pesants et contradictoires, puisque chaque fois que la moindre erreur se glisse dans un de leurs usages, elle s'intègre aux règles, par définition, pour l'éternité. Plus les utilisateurs sont des béotiens, plus les systèmes se dégradent rapidement. L'anglais, mal utilisé par des millions de gens, natifs ou pas, depuis des siècles, est un exemple de dégradation du système au stade terminal, ne présentant plus aucune logique, ni dans la syntaxe, ni dans la grammaire, ni dans le vocabulaire ou la prononciation. De même, le droit coutumier devenant trop lourd et incompréhensible, les états qui s'appuyaient dessus tendent à passer à un droit prescrit.
Il suffit d’être sorti des rêves de la jeunesse, de tenir compte de l’expérience, de la sienne et de celle des autres, d’avoir appris à se mieux connaître, par la vie, par l’histoire du temps passé et du présent, par la lecture des grands poètes, et de n’avoir pas le jugement paralysé par des préjugés trop endurcis, pour se résumer les choses ainsi : le monde humain est le royaume du hasard et de l’erreur, qui y gouvernent tout sans pitié, les grandes choses et les petites ; à côté d’eux, le fouet en main, marchent la sottise et la malice : aussi voit-on que toute bonne chose a peine à se faire jour, que rien de noble ni de sage n’arrive que bien rarement à se manifester, à se réaliser ou à se faire connaître ; qu’au contraire l’inepte et l’absurde en fait de pensée, le plat, le sans-goût en fait d’art, le mal et la perfidie en matière de conduite, dominent, sans être dépossédés, sauf par instants. En tout genre, l’excellent est réduit à l’état d’exception, de cas isolé, perdu dans des millions d’autres ; et si parfois il arrive à se révéler dans quelque œuvre de durée, plus tard, quand cette œuvre a survécu aux rancunes des contemporains, elle reste solitaire, pareille à une pierre du ciel, que l’on conserve à part, comme un fragment détaché d’un monde soumis à un ordre différent du nôtre.