Examples of using "Terrível" in a sentence and their french translations:
- C'est terrible !
- C'est atroce.
- C'est terrible.
- C'est affreux.
- C'est effrayant.
- C'est horrible.
- C'est terrible !
- C'est terrible.
- C'est affreux.
- C'est horrible.
C'est horrible, simplement horrible.
Quel événement terrible !
- C'est terrible !
- C'est horrible.
C'est terrible.
- C'est atroce.
- C'est choquant.
Je me sens super mal.
C'est une faute horrible.
C'est un climat terrible.
- Ce fut une semaine atroce.
- Ça a été une semaine atroce.
L'histoire est terrible.
C'est un climat terrible.
Ce fut un jour terrible.
J’ai fait un rêve horrible.
- Ça a l'air terrible.
- Cela semble terrible.
Mon français est terrible.
J'ai contracté un mauvais rhume.
Tom ne sait pas cuisiner.
nous avons un résultat terrible
La guerre est une chose horrible.
J'ai une affreuse douleur.
Quelque chose de terrible va arriver bientôt.
- Vous êtes un horrible individu.
- Tu es un horrible individu.
- Vous êtes une personne exécrable.
- Tu es une personne exécrable.
Tom a vécu une enfance terrible.
J'ai une sacrée gueule de bois.
- J'étais nul en anglais.
- Je ne me débrouillais pas en anglais.
- J'étais nulle en anglais.
Il est vachement jaloux.
- Il contracta un terrible rhume.
- Il a contracté un terrible rhume.
C'était un terrible mal de tête.
Que va-t-il arriver de si terrible ?
- C'est affreux !
- C'est horrible !
J'avais un terrible mal d'estomac.
Ken semble avoir attrapé un terrible rhume.
Elle s'est mise à pleurer quand elle a entendu la terrible nouvelle.
- Une bombe atomique est une arme terrible.
- La bombe atomique est une arme terrible.
J'ai un terrible mal de crâne.
L'attentat a été considéré comme tragique et terrible.
J'avais un terrible mal d'estomac.
- J'ai un terrible mal de crâne.
- J'ai un terrible mal de tête.
- Rien n'est plus terrifiant qu'un séisme.
- Rien n'est plus terrible qu'un tremblement de terre.
- Il n'y a rien de plus terrifiant qu'un séisme.
- Il n'y a rien de plus terrifiant qu'un tremblement de terre.
La douleur était atroce.
J'avais un terrible mal d'estomac.
Mon anglais est épouvantable.
C'est tellement horrible que je ne veux pas y penser.
L'effroyable monstre me regarda de ses yeux de feu.
Il souffrait de maux de tête.
On peut attraper la salmonellose, et ça, c'est horrible !
La mort semble bien moins terrible, quand on est fatigué.
Il y a une chose plus terrible que la calomnie, c'est la vérité.
Je me sens super mal.
cette bataille nous a coûté cher en termes de souffrance humaine.
Mais elles ont un moyen sinistre de compléter leur alimentation. Elles sont carnivores.
Et en même temps, elle éprouvait une haine terrible contre le plus jeune.
Mais Harald, qui est un terrible snob poétique, y réfléchit un peu et dit: "Non,
Il a été fait prisonnier par son roi chrétien, Ella, qui a décidé d'infliger une mort terrible
Un froid mortel saisit mon cœur épouvanté ; / je tressaille d'horreur.
Dans ce même moment, pour mieux nous aveugler, / un prodige effrayant vient encor nous troubler.
J'ai un terrible mal de tête depuis la nuit passée, je me sens très mal, c'est une sensation horrible.
« Je suis terriblement pressé... pour des raisons que je ne peux pas nommer », répondit Dima à la femme. « S'il vous plait, laissez-moi revêtir ce costume. »
Elle est affreusement mauvaise en cuisine.
" Sur un nuage ardent, au sommet de ces tours, / regarde : c'est Pallas, dont la main homicide / agite dans les airs l'étincelante égide. "
Les Strophades ( la Grèce ainsi nomma ces îles ) / aux nochers rassurés présentent leurs asiles ; / et, de loin dominant les flots ioniens, / sur leurs tranquilles bords appellent les Troyens. / Vain espoir ! Céléno, la reine des Harpies, / infecta ces beaux lieux de ses troupes impies, / depuis que Calaïs à leur brutale faim / du malheureux Phinée arracha le festin.
Plus loin, des flots de sang coulaient à gros bouillons. / Il reconnaît Rhésus, et ses blancs pavillons ; / il dormait sous sa tente : amené par un traître, / Diomède l'égorge, et, sous leur nouveau maître, / loin de lui sont menés ses superbes chevaux, / avant que du Scamandre ils aient goûté les eaux.
" Car, si quelqu'un de vous, d'un bras profanateur, / attentait sur ce don offert à la déesse, / bientôt, assouvissant sa fureur vengeresse, / ( Dieux puissants, sur les Grecs détournez son courroux ! ) / d'épouvantables maux éclateraient sur vous. / Mais, si vos murs s'ouvraient à ce don tutélaire, / sur nous-mêmes dès lors renvoyant sa colère, / vous dompteriez la Grèce, et votre empire heureux / s'étendrait à jamais sur nos derniers neveux. "