Examples of using "Suportar" in a sentence and their french translations:
pourrait résister
Supporter peut être insupportable.
Je ne peux pas supporter ton comportement.
Je ne peux pas supporter son attitude.
Je ne peux supporter son comportement plus longtemps.
Je ne peux pas supporter son regard.
Je ne peux plus supporter ce froid.
Je ne peux pas tolérer une telle insulte.
Je ne peux plus supporter son arrogance.
Je n'arrive plus à supporter cette douleur.
Je ne peux pas supporter d'être dérangé pendant mon travail.
Comment fais-tu pour supporter tout ce bruit ?
Je ne pouvais supporter son attitude arrogante.
supprimé et les gens ne sont pas va te supporter.
Je ne peux plus supporter ce bruit.
Je ne peux pas supporter ce bruit une minute de plus.
un groupe de personnes incapables de supporter de lourdes conditions de travail
Je ne peux pas supporter ce bruit.
- Est-ce que cette échelle est assez solide pour supporter mon poids ?
- Cette échelle est-elle assez solide pour supporter mon poids ?
Chacun de ces ascenseurs est capable de supporter le poids de dix personnes.
Qui veut avoir des œufs doit supporter le caquetage des poules.
- Je ne peux plus supporter cette douleur.
- Je n'arrive plus à supporter cette douleur.
- Si tu veux supporter la vie, organise-toi pour la mort.
- Si tu veux pouvoir supporter la vie, sois prêt à accepter la mort.
Je ne supportais pas de la regarder.
car aucun des mortiers que nous utilisons aujourd'hui n'est suffisamment robuste pour supporter une charge de ce poids
La liberté est comme l'air raréfié des sommets. Les hommes faibles ne peuvent supporter ni l'un ni l'autre.
À peine il aperçoit ces soldats inhumains, / une horrible fureur de Corèbe s'empare ; / il s'élance au milieu de la foule barbare.
Le héros poursuivait ce douloureux discours ; / mais sa mère attendrie en arrête le cours. / " Oh ! qui que vous soyez, le ciel vous est propice : / de la belle Didon la bonté protectrice / accueillera vos dieux, et votre peuple, et vous. "
J'arrive enfin, j'arrive au palais paternel ; / je vole vers mon père : ô désespoir cruel ! / Mon père, qu'avant tout doit sauver ma tendresse, / quand je veux au danger dérober sa vieillesse, / refuse de survivre à nos communs malheurs, / et d'aller dans l'exil prolonger ses douleurs.
Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne, Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends. J'irai par la forêt, j'irai par la montagne. Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps. Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées, Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur.