Examples of using "Reconhece" in a sentence and their french translations:
- Reconnais-tu cette fille ?
- Reconnaissez-vous cette fille ?
Est-ce que quelqu'un le reconnaît ?
Est-ce que quelqu'un reconnaît ceci ?
- Ne les reconnais-tu pas ?
- Ne les reconnaissez-vous pas ?
- Vous la reconnaissez, n'est-ce pas ?
- Tu la reconnais, n'est-ce pas ?
- Vous le reconnaissez, n'est-ce pas ?
- Tu le reconnais, n'est-ce pas ?
- Reconnaissez-vous cet homme ?
- Reconnais-tu cet homme ?
- Ne reconnaissez-vous pas ce type ?
- Ne reconnais-tu pas ce type ?
- Ne reconnais-tu pas cet homme ?
- Ne reconnaissez-vous pas cet homme ?
Il reconnaît sa culpabilité.
Est-ce que vous reconnaissez l'homme sur cette photo ?
À l'œuvre, on connaît l'artisan.
Dans ton regard, mon être est reconnu.
Vous reconnaissez encore de nombreux mots de vocabulaire.
L'ordinateur reconnaît deux cents types différents d'erreurs.
On reconnaît l’arbre à ses fruits.
Un homme est bien fort quand il s'avoue sa faiblesse.
Je me demande si elle me reconnaîtra après toutes ces années.
Oui, leur technologie dissèque ce que vous dites
La médiocrité ne connait rien de plus qu'elle-même, mais le talent reconnait instantanément le génie.
Anchise reconnait son erreur, et se rappelle que les Troyens sont en effet originaires d'Italie.
Lui-même il se retrouve au plus fort des combats. / Il voit le noir Memnon de ses ardents climats / traîner ses noirs guerriers.
Vous connaissez toujours de nombreux mots de vocabulaire, mais pour une raison quelconque, vous ne parlez toujours pas anglais dans des situations réelles.
Ma nouvelle cafetière dernier cri est commandée à la voix et reconnaît les différentes sortes de cafés, grâce à son processeur de mots révolutionnaire.
Plus loin, des flots de sang coulaient à gros bouillons. / Il reconnaît Rhésus, et ses blancs pavillons ; / il dormait sous sa tente : amené par un traître, / Diomède l'égorge, et, sous leur nouveau maître, / loin de lui sont menés ses superbes chevaux, / avant que du Scamandre ils aient goûté les eaux.
Son fils la reconnaît, et, tandis qu'elle fuit, / de ses yeux, de sa voix, longtemps il la poursuit, / et, l'œil baigné de pleurs : " Quoi ! toi-même, ô ma mère ! / tu te plais à tromper un fils qui te révère ! / Ah ! quand pourra ton fils te presser sur son sein, / mes yeux fixer tes yeux, ma main serrer ta main ? / N'abuse plus mes sens ; que le fils le plus tendre / puisse en effet te voir, te parler et t'entendre ! "