Examples of using "Próprios" in a sentence and their french translations:
- Je l'ai vu de mes propres yeux.
- Je le vis de mes propres yeux.
Marie a ses propres problèmes.
Chaque pays à ses propres coutumes.
Chaque homme a ses propres points forts.
- Les étudiants effectuèrent le travail par eux-mêmes.
- Les étudiantes effectuèrent le travail par elles-mêmes.
Ils ont leurs propres problèmes.
Tous les pays ont leurs légendes.
- C'est important que tu connaisses tes propres limites.
- C'est important de connaître ses propres limites.
Je l'ai vu de mes propres yeux.
Vous devez être responsable de vos actes.
Je veux voir ça de mes propres yeux.
Chaque homme a ses propres points forts.
Mon grand-père fabriquait ses propres meubles.
On doit apprendre de ses propres fautes.
Au lieu de créer mes propres thèmes
Vous pouvez pimenter, ajoutez vos propres données,
Je veux voir ça de mes propres yeux.
Le résultat dépend entièrement de tes propres efforts.
Ma sœur l'a vu de ses propres yeux.
Parfois, les auteurs traduisent leur propre texte.
et bien sûr vous voulez ajoutez également vos propres données.
- Je veux le voir de mes propres yeux.
- Je veux voir ça de mes propres yeux.
Je veux voir ça de mes propres yeux.
Beaucoup de vos enfants seront parents avec les miens.
L'accident de la circulation s'est passé devant mes propres yeux.
J'ai vu tout l'accident de mes yeux.
Vous devez créer votre propres calendriers de contenu,
Les gens qui parlent tout le temps d'eux m'ennuient.
L'expérience est le nom que tous donnent à leurs erreurs.
Chez nous, la coutume veut que chacun lave sa propre vaisselle.
produits ou services et vous étiez alors celui qui fait la publicité
Il a même appris à faire ses propres télescopes pour étudier le ciel.
On ne choisit pas ses parents.
Si je ne l'avais pas vu de mes propres yeux, je ne l'aurais pas cru.
- Vous devez apprendre de vos erreurs.
- Tu dois apprendre de tes erreurs.
C'est comment nous avons transporté nous-mêmes à un monde coloré de fantasme.
Il me raconta l'accident comme s'il l'avait vu de ses propres yeux.
Les amoureux ne voient qu'eux-mêmes au monde ; ils oublient tout de même que le monde les voit.
À force de voir des émoticônes partout, je perds l'habitude de chercher des traits d'humour dans les textes eux-mêmes.
Il doit évidemment y avoir un rapport entre traduire et écrire soi-même des poèmes, mais lequel, je ne sais pas.
- Vous devez apprendre de vos erreurs.
- Tu dois apprendre de tes erreurs.
J'ai vu le grand prophète de mes propres yeux. Il avait les yeux comme des étoiles étincelantes et une barbe comme de l'eau écumante.
Ils partent : l'aquilon gonfle, en sifflant, leurs voiles ; / au gré du souffle heureux qui frémit dans leurs toiles, / ils fendent de la mer les bruyants tourbillons, / et la proue en fuyant laisse au loin ses sillons.
- Le problème est qu'ils ne pensent qu'à eux.
- Le problème est qu'elles ne pensent qu'à elles.
De leurs amis trompés malheureuses victimes, / Hypanis et Dymas tombent aux noirs abîmes. / Et toi, Panthée ! et toi, ton vêtement divin / et tes propres vertus te protègent en vain !
Cette fin du jeu se résumait à la confrontation entre un bon fou, c'est-à-dire qui avait de bonnes cases sur lesquelles agir, et un mauvais fou, c'est-à-dire qui avait son champ d'action restreint par ses propres pions.
Pourtant, à une condition, ces hommes consentent à demeurer avec nous pour former un même peuple : c’est que tout mâle parmi nous soit circoncis comme ils le sont eux mêmes. Leurs troupeaux, leurs possessions, tout leur bétail, n’est il pas vrai, seront à nous.
Il s'arrête à leur vue, il saisit à l'instant / et son arc, et ses traits qui sifflent en partant. / Leurs chefs, qu'enorgueillit une ramure altière, / déjà percés de traits roulent sur la poussière ; / puis il poursuit la troupe à travers la forêt ; / sa main lance à chacun l'inévitable trait.
Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne, Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends. J'irai par la forêt, j'irai par la montagne. Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps. Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées, Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur.