Examples of using "Portas" in a sentence and their french translations:
- Ouvre les portes !
- Ouvrez les portes !
- Verrouille les portes !
- Verrouillez les portes !
Ferme la porte.
Les portes sont ouvertes.
- Les portes étaient fermées.
- Les portes étaient closes.
Les portes sont fermées.
Avez-vous fermé les portes à clé ?
Presque toutes les portes étaient fermées.
Nous fermons nos portes à clé la nuit.
- Tom a verrouillé toutes les portes.
- Tom a fermé toutes les portes à clé.
Fermez toutes les portes et fenêtres.
L'espagnol lui a ouvert de nombreuses portes.
L'argent ouvre toutes les portes.
Presque toutes les portes étaient fermées.
- Chaque porte dans la maison est verrouillée.
- Toutes les portes de la maison sont fermées.
Toutes les portes de la maison étaient fermées.
Le bonheur n'entre pas par des portes closes.
Je fermerais mes portes à clef si j'étais toi.
Une clef d'or ouvre tout.
Reste ici et garde les portes verrouillées.
Les trois garçons ouvrèrent les portes du bâtiment.
Personne ne sait ce qu'il se passe derrière ces portes.
Elle ouvre ses frontières et laisse entrer les gens.
Trouvez la paix et transformez vos murs en portes.
Le principe s'applique à bien plus que des portes.
Après avoir verrouillé toutes les portes, je suis allé me coucher.
l'océan fracassait les portes et noyait le bas de la maison.
L’automne est déjà sur le point d’arriver.
Mais ce n'est pas que le gouvernement colombien qui ouvre ses portes.
Et pour comprendre pourquoi ces personnes ouvrent leurs portes aux Vénézuéliens,
Les portes de l'avion étaient déjà fermées quand Tom arriva à l'embarquement.
Assure-toi que le chat soit dehors et que toutes les portes soient fermées lorsque tu t'en vas !
Auprès de la déesse, au milieu de son temple, / où, sous un riche dais, son peuple la contemple, / elle s'assied.
Le héros, étonné, voit cet immense ouvrage ; / il admire ces tours, ces ports et ces remparts, / le bruit tumultueux des travaux et des arts ; / des chaumes ont fait place à ce séjour superbe, / la colonne s'élève aux lieux où croissait l'herbe.
Plus bas, le fer en main, d'intrépides cohortes / se pressent en dedans, et protègent les portes. / Ma fureur se réveille en ces moments d'effroi ; / je vole à leur secours, au secours de mon roi.
" Sinon vainqueur insulte aux désastres de Troie. / Triomphant au milieu de nos murs enflammés, / un monstre affreux vomit des bataillons armés : / et, tandis que ses flancs enfantent leurs cohortes, / des milliers d'ennemis, se pressant sous nos portes, / fondent sur nos remparts à flots plus débordés / qu'ils n'ont jamais paru dans nos champs inondés. "
" Sa masse vous surprend ; mais ils ont craint, dit-on, / si dans les murs de Troie on pouvait l'introduire, / que son appui sacré ne sauvât votre empire, / de Pallas à vos murs ne rendît la faveur. "
J'avance, et j'aperçois dans ce séjour nouveau / de la fière Pergame un modeste tableau. / Voilà ses ports, ses murs renaissent de leur cendre ; / ce coteau, c'est l'Ida ; ce ruisseau, le Scamandre. / Je vois la porte Scée et les tours d'Ilion, / et de Troie, en pleurant, j'adore encor le nom.
Didon, au centre obscur du bois majestueux, / pour Junon bâtissait un temple somptueux : / plein des plus riches dons, et plein de la déesse, / des colonnes d'airain annonçaient sa richesse ; / l'airain couvrait le seuil de son parvis divin, / et les gonds gémissaient sous des portes d'airain.
Déjà l'Ida s'éclaire, et de l'astre du jour / l'étoile du matin annonce le retour ; / les Grecs de toutes parts ont investi les portes. / " C'en est fait, m'écriai-je : ô Destin ! tu l'emportes. " / Je pars, reprends mon père, et, guidé par les dieux, / transporte sur l'Ida ce fardeau précieux.
Mais au fond du palais quel tableau lamentable ! / Partout l'effroi, le trouble et les gémissements : / les femmes, perçant l'air d'horribles hurlements, / dans l'enceinte royale errent désespérées ; / l'une embrasse à genoux ses colonnes sacrées, / l'autre y colle sa bouche, et ses mains, et ses yeux, / et par mille baisers leur fait de longs adieux.
Voyant les Grecs vainqueurs au sein de ses remparts, / son antique palais forcé de toutes parts, / l'ennemi sous ses yeux, d'une armure impuissante / ce vieillard charge en vain son épaule tremblante, / prend un glaive à son bras dès longtemps étranger, / et s'apprête à mourir plutôt qu'à se venger.
S'agitant de fureur dans leurs prisons tremblantes, / ils luttent en grondant, ils s'indignent du frein. / Au haut de son rocher, assis le sceptre en main, / Éole leur commande ; il maîtrise, il tempère / du peuple impétueux l'indocile colère : / s'ils n'étaient retenus, soudain cieux, terre, mers, / devant eux rouleraient emportés dans les airs.
" Mais, vous, puis-je connaître / de quel sang vous sortez, quels lieux vous ont vu naître, / où s'adressent vos pas ? " Elle dit. Le héros, / poussant du fond du cœur de douloureux sanglots : / " O déesse ! dit-il, si du sort qui m'accable / j'essayais de conter l'histoire lamentable, / dans ce triste récit j'épuiserais le jour. "