Examples of using "Peito" in a sentence and their french translations:
J'ai une douleur à la poitrine.
J'ai une douleur aiguë dans la poitrine.
Le médecin plaça un stéthoscope sur la poitrine du patient.
Son cœur battait fort dans sa poitrine.
Le cœur battant, elle ouvrit la porte.
" Avec un feint effroi, qui colorait son piège, / le perfide poursuit : " Les Grecs, las d'un long siège, / souvent ont voulu fuir ces remparts ennemis. " "
En ces lieux révérés, / Hécube et ses enfants ensemble retirés, / ainsi qu'aux sifflements des tempêtes rapides / s'attroupe un faible essaim de colombes timides, / se pressaient, embrassaient les images des dieux.
" Mais bientôt d'un époux privé de sépulture / le spectre, s'élevant du sein de l'ombre obscure, / triste, pâle et sanglant, apparut à ses yeux, / dévoila de sa mort le mystère odieux, / et cette cour barbare, et l'autel homicide. "
" Elle-même, tonnant du milieu des nuages, / bouleversa les mers, déchaîna les orages, / dans un noir tourbillon saisit l'infortuné / qui vomissait des feux de son flanc sillonné, / et de son corps lancé sur des roches perçantes / attacha les lambeaux à leurs pointes sanglantes. "
" Quand le perfide Ulysse eut à sa lâche envie, / vous ne l'ignorez pas, immolé ce héros, / en silence d'abord pleurant ses noirs complots, / pleurant de mon ami la triste destinée, / je traînais dans le deuil ma vie infortunée. "
L'imprudente Didon tendrement le caresse, / le tient sur ses genoux, entre ses bras le presse, / s'enivre de sa vue, hélas ! et ne sait pas / quel redoutable dieu se joue entre ses bras.
" Mais avant, meurs ! " Il dit ; et, d'un bras sanguinaire, / du monarque traîné par ses cheveux blanchis, / et nageant dans le sang du dernier de ses fils, / il pousse vers l'autel la vieillesse tremblante ; / de l'autre, saisissant l'épée étincelante, / lève le fer mortel, l'enfonce, et de son flanc / arrache avec la vie un vain reste de sang.
Là, les femmes de Troie, avançant lentement, / à Pallas apportaient un riche vêtement, / se meurtrissant le sein, humblement gémissantes ; / l'habit sacré brillait dans leurs mains suppliantes : / Pallas baissait les yeux, et repoussait leur don.
Un chien géant posa son énorme patte avant sur moi, et je ne savais pas, par peur, ce que je devais faire.
Céléno reste seule, et ses cris menaçants / font du haut d'un rocher entendre ces accents : / " Lâches usurpateurs de notre antique terre ! / Quoi ! pour un vil butin vous nous livrez la guerre ! "
Cependant les Troyens, après de longs efforts, / des champs trinacriens avaient rasé les bords. / Déjà leurs nefs, perdant l'aspect de la Sicile, / voguaient à pleine voile, et de l'onde docile / fendaient d'un cours heureux les bouillons écumants ; / quand la fière Junon, de ses ressentiments / nourrissant dans son cœur la blessure immortelle, / " Quoi ! sur moi les Troyens l'emporteraient, dit-elle ! / Et de ces fugitifs le misérable roi / pourrait dans l'Italie aborder malgré moi ! / Le destin, me dit-on, s'oppose à ma demande : / Junon doit obéir quand le destin commande... "
Le port creusé dans ces rivages / garde un calme profond ; mais par d'autres orages / l'épouvantable Etna trouble, en grondant, ces lieux ; / bientôt déploie en l'air des colonnes de feux ; / tantôt, des profondeurs de son horrible gouffre, / de flamme et de fumée, et de cendre et de soufre, / dans le ciel obscurci lance d'affreux torrents ; / tantôt, des rocs noircis par ses feux dévorants / arrachant les éclats, de ses voûtes tremblantes / vomit, en bouillonnant, ses entrailles brûlantes.