Examples of using "Deusa" in a sentence and their french translations:
- Je t'aime, ma déesse !
- Je t'aime, ma déesse !
Minerve est la déesse des sciences.
La déesse de la chance est du côté des braves.
La déesse de la chance est du côté des aventuriers.
Minerve n'est pas une déesse grecque, mais romaine.
" Plusieurs, pressés autour de ce colosse énorme, / admirent sa hauteur, et sa taille, et sa forme. "
Le nombre nous accable, et, le premier, hélas ! / Corèbe tombe mort aux autels de Pallas : / il tombe en défendant le jeune objet qu'il aime.
Je m'éloigne, et Cypris / défend au glaive, au feu, d'attenter à son fils : / le fer respectueux tombe à sa voix puissante ; / devant elle s'enfuit la flamme obéissante.
" Crois-moi : d'un fier vainqueur les superbes demeures / ne verront point servir le sang de Dardanus, / l'épouse d'un héros, et le bru de Vénus. "
En prononçant ces mots, la déesse en furie / vers ces antres, d'Éole orageuse patrie, / précipite son char.
Cet imposteur expose le prétendu motif pour lequel les Grecs ont construit le colosse : c’est, dit-il, une offrande qu’ils font à Pallas, pour apaiser cette déesse.
C'est là qu'étaient ses armes, / c'est là qu'était son char ; là, son superbe espoir / veut voir la terre entière adorer son pouvoir.
Didon, au centre obscur du bois majestueux, / pour Junon bâtissait un temple somptueux : / plein des plus riches dons, et plein de la déesse, / des colonnes d'airain annonçaient sa richesse ; / l'airain couvrait le seuil de son parvis divin, / et les gonds gémissaient sous des portes d'airain.
" Berceau de nos aïeux, ces lieux nous redemandent : / la déesse ma mère et les dieux le commandent. "
Sur son char aussitôt la brillante déesse / revole vers Paphos, lieux charmants où sans cesse / l'encens le plus parfait, les plus nouvelles fleurs / embaument cent autels de leurs douces odeurs.
De l'éclat de ses traits Didon reste frappée ; / de ses malheurs, de lui son âme est occupée. / "O noble sang des dieux, que je plains vos revers ! / dit elle. Quel destin vous jette en ces déserts ? "
" Et vous, qu'un noble zèle attache à votre maître, / écoutez : hors des murs vos yeux verront paraître / un coteau d'où s'élève un temple où les mortels / de Cérès autrefois encensaient les autels ; / non loin est un cyprès respecté par les âges, / et qui de nos aïeux recevait les hommages. "
Après un assez long séjour en Épire, le héros se rembarque et va toucher la côte d'Italie, où, suivant les avis d'Hélénus, il fait d'abord un sacrifice à Junon, pour calmer cette déesse ennemie des Troyens.
Elle dit : à ces mots, / elle quitte son fils ; mais aux yeux du héros / elle offre, en détournant sa tête éblouissante, / d'un cou semé de lis la beauté ravissante : / de ses cheveux divins les parfums précieux / semblent, en s'exhalant, retourner vers les cieux : / sa robe en plis flottants jusqu'à ses pieds s'abaisse ; / elle marche, et son port révèle une déesse. "
Là, les femmes de Troie, avançant lentement, / à Pallas apportaient un riche vêtement, / se meurtrissant le sein, humblement gémissantes ; / l'habit sacré brillait dans leurs mains suppliantes : / Pallas baissait les yeux, et repoussait leur don.
Un bois pompeux s'élève au milieu de Carthage ; / il reçut ses enfants préservés du naufrage. / Là, la bêche en fouillant découvrit à leurs yeux / la tête d'un coursier, symbole belliqueux ; / ce signe fut pour eux le signe de la gloire, / et Junon à ce gage attacha la victoire.
Achate au chef troyen tient alors ce langage : / " Fils des dieux ! vous voyez, vos vaisseaux sont sauvés, / vos guerriers réunis, vos amis retrouvés : / un seul manque à nos vœux, malheureuse victime, / que la mer à nos yeux engloutit dan l'abîme. / Au discours de Vénus jusqu'ici tout répond. "
Énée à la déesse / répond en peu de mots : " La jeune chasseresse / que vous me dépeignez, nous n'avons, dans ces bois, / ni rencontré ses pas, ni reconnu sa voix. / O vous ! mais de quel nom faut-il qu'on vous appelle ? / Cet air ni cette voix ne sont d'une mortelle : / oui, cet accent céleste, et cette majesté , / tout annonce dan vous une divinité, / une nymphe des bois, ou Diane elle-même, / une sœur de Diane. O déité suprème ! "
" Car, si quelqu'un de vous, d'un bras profanateur, / attentait sur ce don offert à la déesse, / bientôt, assouvissant sa fureur vengeresse, / ( Dieux puissants, sur les Grecs détournez son courroux ! ) / d'épouvantables maux éclateraient sur vous. / Mais, si vos murs s'ouvraient à ce don tutélaire, / sur nous-mêmes dès lors renvoyant sa colère, / vous dompteriez la Grèce, et votre empire heureux / s'étendrait à jamais sur nos derniers neveux. "
" C'est de là que nous vient le culte de Cybèle, / par qui le soc apprit à vaincre un sol rebelle ; / de ses honneurs divins le mystère secret, / que jamais ne dévoile un témoin indiscret ; / et de l'airain sacré la bruyante allégresse, / et ces lions soumis qui traînent la déesse. "
" Mais, vous, puis-je connaître / de quel sang vous sortez, quels lieux vous ont vu naître, / où s'adressent vos pas ? " Elle dit. Le héros, / poussant du fond du cœur de douloureux sanglots : / " O déesse ! dit-il, si du sort qui m'accable / j'essayais de conter l'histoire lamentable, / dans ce triste récit j'épuiserais le jour. "
Ainsi je m'emportais, lorsque dans la nuit sombre / ma mère, dissipant la noire horreur de l'ombre, / jeune, brillante, enfin telle que dans les cieux / des immortels charmés elle éblouit les yeux, / me retient, et me dit de sa bouche de rose :
" Mais du moment funeste / qu'Ulysse, de forfaits détestable inventeur, / que le fils de Tydée, affreux profanateur, / osèrent, à travers la garde massacrée, / enlever sur l'autel son image sacrée, / et que leur bras sanglant d'un sacrilège affront / souilla les saints bandeaux qui couronnent son front, / dès lors plus de succès, plus d'espoir ; la déesse / à son triste destin abandonna la Grèce. / Plus d'un signe effrayant signala son courroux. "
" Enfin, dans l'avenir s'il m'est permis de lire, / Hélénus ne peut trop le dire et le redire : / Junon fit tous tes maux et les prolonge tous : / de la reine des dieux désarme le courroux ; / n'épargne point l'encens, les vœux, ni la prière : / ainsi tu fléchiras cette déesse altière ; / et tes heureux vaisseaux des bords siciliens / parviendront sans obstacle aux ports ausoniens. "
" Fils des dieux ! / Oui, le ciel te prépare un destin glorieux ; / et, dans le cours changeant de sa marche éternelle, / le sort accomplira cette loi solennelle. / Mais il faut, avant tout, t'indiquer les chemins / des mers à qui tu dois confier tes destins. / Je ne m'étendrai point sur tout ce qui te touche ; / à de plus grands secrets Junon ferme la bouche ; / et la Parque, à mes yeux soulevant le rideau, / n'écarte qu'à demi leur terrestre bandeau. "