Examples of using "Ameaça" in a sentence and their french translations:
C'est une menace.
- Ils ne constituent pas une menace.
- Elles ne constituent pas une menace.
nous avons reçu une autre menace juridique.
Ce n'était pas une menace.
Il y a une menace d'orage.
Il ne s'agit pas d'une menace.
L'énergie solaire ne menace pas l'environnement.
L'énergie solaire ne menace pas l'environnement.
Nous pensions que sa menace n'était qu'une plaisanterie.
Nous devons agir, nous devons affronter cette menace. »
Et le froid peut être une menace plus grande encore.
La cupidité humaine menace l'existence de nombreuses espèces.
La bombe atomique est une grande menace contre l'humanité.
La bombe atomique est une sérieuse menace pour l'humanité.
Les vampires ne sont pas la seule menace. Les lions de mer vivent également ici.
La principale menace qui pèse sur les rhinocéros est la cupidité humaine et la promesse de gros profits.
Evan Selinger est un professeur de philosophie qui soutient que la reconnaissance faciale est une menace
Selon des modérateurs tatillons, les non-phrases constituent un danger mortel pour Tatoeba.
Regardez, dans les pays pauvres, la plus grande menace sont les maldies qui tue les jeunes,
Mais Dieu apparut la nuit en songe à Laban, l’Araméen, et lui dit : Garde-toi de parler à Jacob ni en bien ni en mal !
" Sur un nuage ardent, au sommet de ces tours, / regarde : c'est Pallas, dont la main homicide / agite dans les airs l'étincelante égide. "
Anchise lève aux cieux ses vénérables mains : " Dieux ! ô dieux ! écartez ces fléaux inhumains ! / Venez à moi, dit-il, déités que j'encense ! / Secourez le malheur, secourez l'innocence ! "
Tu ne m’as pas permis d’embrasser mes fils et mes filles ! C’est en insensé que tu as agi. Ma main est assez forte pour vous faire du mal ; mais le Dieu de votre père m’a dit hier : Garde-toi de parler à Jacob ni en bien ni en mal !
Sur la face des eaux s'étend la nuit profonde ; / le jour fuit, l'éclair brille, et le tonnerre gronde ; / et la terre et le ciel, et la foudre et les flots, / tout présente la mort aux pâles matelots.
Ainsi contre un vieux pin, qui du haut des montagnes / dominait fièrement sur les humbles campagnes, / lorsque des bûcherons réunissant leurs bras / de son tronc ébranlé font voler les éclats, / l'arbre altier, balançant sa tête chancelante, / menace au loin les monts de sa chute pesante, / attaqué, mutilé, déchiré lentement, / enfin, d'un dernier et long gémissement, / il épuise sa vie, il tombe, et les collines / retentissent du poids de se vastes ruines : / ainsi tombe Ilion.
À ce sinistre aspect Anchise s'épouvante, / et s'écrie aussitôt d'une voix gémissante : " O notre unique asile ! ô bords hospitaliers ! / Pourquoi nous offrez-vous ces animaux guerriers ? / Les coursiers des combats sont l'effrayant présage ; / ils sont nés pour la guerre, on les dresse au carnage. / Mais ces mêmes coursiers, domptés par les humains, / traînent d'accord un char, se soumettent aux freins. / J'espère encor la paix. "