Translation of "Firent" in Spanish

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Examples of using "Firent" in a sentence and their spanish translations:

- Les allégations qu'ils firent étaient infondées.
- Les allégations qu'elles firent étaient infondées.

Las acusaciones que hicieron no tenían fundamento.

Ils firent le bon choix.

Ellos tomaron la decisión correcta.

Ses blagues nous firent rire.

Sus bromas nos hicieron reír.

- Ils firent l'amour.
- Elles firent l'amour.
- Ils ont fait l'amour.
- Elles ont fait l'amour.

Hicimos el amor.

- Ils l'ont tous fait.
- Elles l'ont toutes fait.
- Ils le firent tous.
- Elles le firent toutes.

Lo hicieron todos.

Ils firent finalement la paix avec l'ennemi.

Al final hicieron las paces con el enemigo.

Elles firent ce qu'on leur avait dit.

Hicieron lo que les dijeron.

Ils firent ce qu'on leur avait dit.

Hicieron lo que les dijeron.

Ils le firent travailler du matin au soir.

Ellos lo hicieron trabajar desde la mañana hasta la noche.

Les mineurs firent la grève le plus longtemps.

Los mineros fueron quienes estuvieron por más tiempo en huelga.

- Ils firent du bon boulot.
- Ils ont fait du bon boulot.
- Elles ont fait du bon boulot.
- Elles firent du bon boulot.

Hicieron un buen trabajo.

- Elles firent ce qu'il fallait.
- Elles ont fait ce qu'il fallait.
- Ils firent ce qu'il fallait.
- Ils ont fait ce qu'il fallait.

Hicieron lo correcto.

- Ils firent le bon choix.
- Ils ont fait le bon choix.
- Elles ont fait le bon choix.
- Elles firent le bon choix.

Ellos tomaron la decisión correcta.

- Ils firent une étrange découverte.
- Ils ont fait une étrange découverte.
- Ils firent une découverte étrange.
- Ils ont fait une découverte étrange.

Ellos hicieron un extraño descubrimiento.

Pendant plusieurs mois après le cambriolage, les voleurs firent profil bas.

- Durante varios meses después del robo los ladrones trataron de pasar desapercibidos.
- Durante varios meses después del robo los ladrones trataron de no llamar la atención.

- Ils firent ce qu'on leur avait dit.
- Elles firent ce qu'on leur avait dit.
- Ils ont fait ce qu'on leur avait dit.
- Elles ont fait ce qu'on leur avait dit.

Hicieron lo que les dijeron.

- Les nazis firent disparaître son nom des livres d'histoire.
- Les nazis on fait disparaître son nom des livres d'histoire.

Los nazis tacharon su nombre de los libros de historia.

- Ils le firent devant le personnel.
- Elles le firent devant le personnel.
- Ils l'ont fait devant le personnel.
- Elles l'ont fait devant le personnel.
- Ils l'ont fait au vu et au su du personnel.
- Elles l'ont fait au vu et au su du personnel.

Lo hicieron en frente del personal.

En entrant, les hommes de Vlad firent taire les sentinelles et ouvrirent grandes les portes pour que le reste de la

Al entrar, los hombres de Vlad silencian a los centinelas y abren las puertas a lo ancho para que el resto de su

Ceux qui avaient l'intention de rester adoptèrent rapidement l'accent de l'île, tandis que ceux qui ne l'avaient pas ne le firent pas.

Los que tenían intención de quedarse adoptaron rápidamente la forma de hablar de la isla, mientras que los que no, no.

- Ils m'ont fait aller là.
- Ils m'y ont fait aller.
- Ils me forcèrent à y aller.
- Ils m'ont forcé à y aller.
- Ils m'y firent aller.

Me hicieron ir allí.

- La bonne nouvelle lui tira des larmes des yeux.
- La bonne nouvelle lui fit monter les larmes aux yeux.
- Les bonnes nouvelles lui firent monter les larmes aux yeux.

Las buenas noticias le hicieron llorar.

Les Espagnols, avec leurs chevaux, leurs épées et leurs lances, commencèrent à se livrer à d'étranges atrocités ; ils entrèrent dans les villages, les bourgs et les villages n'épargnant ni les enfants, ni les aînés, ni les femmes enceintes et parturientes ; ils leur ouvrirent les entrailles, les taillèrent en morceaux tels des agneaux emprisonnés dans leurs enclos. Ils firent des paris sur qui, d'un seul coup d'épée, trancherait et ouvrirait un homme en deux, ou qui, d'un seul coup, lui couperait la tête, ou même sur qui, d'un seul coup, ouvrirait mieux les entrailles d'un homme.

Los españoles, con sus caballos, sus espadas y lanzas, empezaron a practicar raras crueldades; entraban en las villas, burgos y aldeas, sin perdonarles la vida ni a los niños ni a los ancianos, ni a las mujeres embarazadas y parturientas y les abrían el vientre y las cortaban en pedazos como si estuvieran golpeando corderos encerrados en su corral. Hacían apuestas sobre quién, con un solo golpe de espada, cortaría y abriría a un hombre por la mitad, o quién, más hábilmente y más diestramente, con un solo golpe le cortaría la cabeza, o aún sobre quién abriría mejor las entrañas de un hombre con un solo golpe.