Translation of "Orages" in Portuguese

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Examples of using "Orages" in a sentence and their portuguese translations:

La vapeur qui s'accumule le jour crée des orages qui se poursuivent la nuit.

O vapor de água que se acumula de dia dá origem a tempestades que se prologam noite fora.

Il dit, et d'un seul mot il calme les orages, / ramène le soleil, dissipe les nuages.

Assim diz e, mais rápido que o dito, / serena o mar alvorotado e, dissolvendo / das nuvens o pesado bloco, traz / de volta a luz do sol.

" Elle-même, tonnant du milieu des nuages, / bouleversa les mers, déchaîna les orages, / dans un noir tourbillon saisit l'infortuné / qui vomissait des feux de son flanc sillonné, / et de son corps lancé sur des roches perçantes / attacha les lambeaux à leurs pointes sanglantes. "

"O raio rápido de Júpiter das nuvens / disparando, os navios dispersou, / os mares agitou com vendavais, / com turbilhão furioso arrebatou / aquele réu, de cujo peito traspassado / jorravam chamas; num rochedo pontiagudo / foi deixá-lo cravado. Isso ela fez!"

- « Mes amis, compagnons de route de vieilles mésaventures, vous qui avez subi les épreuves les plus sévères, vous verrez que le ciel mettra fin aussi à celles-ci. »
- " Compagnons, leur dit-il, relevez vos courages ; / l'âme se fortifie au milieu des orages. / Ce n'est pas d'aujourd'hui que commencent vos maux ; / vous avez éprouvé de plus rudes assauts : / ceux-ci, n'en doutez point, s'apaiseront de même. "

“Meus amigos, / companheiros de antigas desventuras, / vós, que mais graves provações já suportastes, / vereis que o céu acabará também com estas".

Le port creusé dans ces rivages / garde un calme profond ; mais par d'autres orages / l'épouvantable Etna trouble, en grondant, ces lieux ; / bientôt déploie en l'air des colonnes de feux ; / tantôt, des profondeurs de son horrible gouffre, / de flamme et de fumée, et de cendre et de soufre, / dans le ciel obscurci lance d'affreux torrents ; / tantôt, des rocs noircis par ses feux dévorants / arrachant les éclats, de ses voûtes tremblantes / vomit, en bouillonnant, ses entrailles brûlantes.

Ao abrigo dos ventos, amplo e calmo / é o porto, porém perto com terríveis / erupções o Etna atroa: ora expelindo / para o alto borbotões de fumegantes nuvens / de negro piche e cinza incandescente, / ou flâmeos globos que às estrelas sobem, / ora as pétreas entranhas da montanha, / com violência arrancadas, disparando, / e vomitando a lava estuante que no peito / do vulcão geme e à boca surge em rubras ondas.

De la reine des nuits la course vagabonde, / et les feux éclipsés du grand astre du monde, / le pouvoir qui, créant l'homme et les animaux, / leur versa de la vie et les biens et les maux, / les orages, les feux, le char glacé de l'Ourse, / et les astres gémeaux qui conduisent sa course, / l'Hyade et ses torrents ; dit pourquoi des hivers / les jours si promptement se plongent dans les mers ; / d'où vient des nuits d'été la lenteur paresseuse. / Enfin, sur mille tons sa voix mélodieuse / chantait l'ordre des cieux et des astres divers ; / et sa noble harmonie imitait leurs concerts.

Canta as fases da Lua, os eclipses do Sol; / da raça humana a origem, de animais, / dos raios e da chuva; canta Arcturo, / as Híades imbríferas e as duas / Ursas; diz a razão de o sol de inverno / ter pressa de imergir nas águas do oceano, / e a de a noite estival chegar tão tarde.