Translation of "Mérité" in Portuguese

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Examples of using "Mérité" in a sentence and their portuguese translations:

Elle l'a mérité.

Ela mereceu.

Tu l'as mérité.

Você mereceu.

Travail terminé — repos mérité.

Trabalho concluído, descanso merecido.

Ils ont mérité de gagner.

Eles venceram com mérito.

- Il le méritait.
- Il l'a mérité.

Ele mereceu.

Mais en quoi j'ai mérité cela?

Mas o que foi que eu fiz para merecer isso?

O vous, cendres de Troie ! et vous, flammes funestes ! / qui de mon Ilion dévorâtes les restes ! / Je vous atteste ici qu'affrontant les combats, / malgré moi le destin me sauva du trépas ; / et, si le sort cruel n'eût conservé ma vie, / que j'avais mérité qu'elle me fût ravie.

Cinzas de Troia, ó chamas exiciais / do meu povo! Por vós eu juro que naquela / noite fatal não recusei um só instante / arrostar o perigo e os dardos dos aqueus; / pudestes ver que o meu destino ali não era / morrer, pois fez por merecê-lo a minha espada.

Didon les fait d'abord admettre en sa présence. / À peine au bruit confus succède le silence, / celui dont l'âge mûr a mérité leur choix, / Ilionée, ainsi fait entendre sa voix : / " Grande reine ! dit-il d'un ton plein de noblesse, / vous dont ces murs naissants attestent la sagesse, / et qui, donnant des mœurs à ce peuple indompté, / avez au frein des lois asservi sa fierté, / d'un peuple généreux, que le malheur accable, / vous voyez devant vous le reste déplorable ; / il vient vous implorer. À peine nos vaisseaux / échappaient aux fureurs et des vents et des eaux, / une troupe ennemie, au sortir du naufrage, / a menacé des feux ce qu'épargna l'orage. / O reine ! ouvrez l'oreille à nos cris douloureux ; / sachez ce qu'on nous doit, en sachant qui nous sommes. "

Lá chegando, / e tendo sido autorizados a falar / à soberana, Ilioneu, que era o mais velho, / proferiu calmamente estas palavras: / “Ó rainha, a quem Júpiter concede / erguer nova cidade e impor das leis o freio / ao orgulho de indômitas nações, / atende aos rogos dos troianos infelizes, / que os mares cruzam à mercê dos ventos: / livra do incêndio criminoso nossas naves, / poupa este povo ordeiro e de bom coração, / e com carinho estuda nossa causa".