Examples of using "Tale" in a sentence and their french translations:
C'est une vieille histoire.
- C'est un conte moral.
- Il s'agit d'un conte moral.
Ce conte nous est familier.
- C'est une bien triste histoire.
- C'est une histoire très triste.
Cela semble être un conte de fées.
Ton histoire est écrite.
Passons à la tomate numéro deux.
Cette histoire est un voyage à travers l'espace infini.
As-tu écrit ce conte tout seul ?
et, contre l'adversité, a survécu et l'a raconté,
Comme un château de chevalier tiré d'un livre de contes de fées,
Cela dit, c'est enveloppé dans un conte de conspiration.
- C'est une vieille histoire.
- C'est de l'histoire ancienne.
Si vous le voulez, ce ne sera pas qu'une légende.
Ne vous attendez pas à ce que je croie une telle histoire.
Un conte sans amour est comme du boudin sans moutarde.
Ce n'est pas l'aspect le plus important du conte.
L'histoire de cette scission est longue, personnelle et politique.
dans la forêt de contes de fées avec les géants de la jungle,
Elle raconte ses malheurs à toutes les personnes qu'elle rencontre.
La petite fille était plongée dans la lecture d'un conte de fées.
L'auteur traduisit le conte dans notre langue maternelle.
Ce sont des histoires de vieille femme.
Sami vivait un conte de fées avec Layla.
Notre petite fille ne peut pas s'endormir sans qu'on lui raconte un conte de fée.
Personne n'a jamais été là et a vécu pour raconter l'histoire.
Peu de Turcs réussirent à traverser vivants le Danube et à raconter leur déroute.
De plus, l'histoire commençant avec "l'histoire de Genji" était aussi très appréciée.
- C'est une bien triste histoire.
- C'est une histoire très triste.
- C'est une fort triste histoire.
Sami a entendu cette histoire d'infidélité domestique des dizaines de fois.
Quelle étrange histoire !
« Les confessions » de Saint-Augustin nous content une histoire intemporelle de quête intellectuelle se concluant par l'orthodoxie.
Pour illustrer ce propos, permettez-moi de vous relater l'histoire de deux tomates,
Ce conte de fées est facile à lire pour un enfant de sept ans.
Y a-t-il un lien entre ces événements historiques et la saga de la mort de Ragnar?
Bödvar Bjarki, il ressemble à un conte de fées, mais tout de même, les salles géantes de Ledreborg,
- Quelle étrange histoire !
- Quelle drôle d'histoire !
Eh bien, j'ai dit que les sagas ont souvent un élément de conte de fées, et c'est le cas de
" Mes amis, bannissons d'inutiles alarmes ; / un jour ces souvenirs auront pour nous des charmes. "
En fait, une grande partie est de la fiction, et une partie de ce conte de fées, et vous pouvez le choisir
" Mais vous, si je vous sers, ô généreux Troyens ! / si je sauve vos jours, qu'on épargne les miens ! "
Un désir curieux de mon âme s'empare ; / je brûle d'admirer un destin si bizarre, / de voir, d'entretenir le successeur d'Hector.
De nombreuses fois, mes potes étaient si avides de longues histoires, qu'ils m'ont fait m'endormir au milieu d'un récit, à mi-chemin d'une phrase, entre des syllabes.
" La reine de ces lieux est la belle Didon : / elle reçut le jour dans la riche Sidon ; / mais, d'un frère cruel fuyant la barbarie, / son courage en ces lieux s'est fait une patrie. / L'histoire de ses maux voudrait un long discours ; / je vais en peu de mots vous en tracer le cours. "
" Te dise tes dangers et tes guerres futures, / et tout ce long tissu d'illustres aventures, / ce qu'il faut craindre encor, ce qu'il faut surmonter, / et quels peuples enfin te restent à dompter. "
" Quand le perfide Ulysse eut à sa lâche envie, / vous ne l'ignorez pas, immolé ce héros, / en silence d'abord pleurant ses noirs complots, / pleurant de mon ami la triste destinée, / je traînais dans le deuil ma vie infortunée. "
" – Eh bien, cours aux enfers conter ce que tu vois ; / dis au fils de Thétis que son sang dégénère. "
" Mais bientôt d'un époux privé de sépulture / le spectre, s'élevant du sein de l'ombre obscure, / triste, pâle et sanglant, apparut à ses yeux, / dévoila de sa mort le mystère odieux, / et cette cour barbare, et l'autel homicide. "
Quand deux affreux serpents, sortis de Ténédos, / ( j'en tremble encor d'horreur ! ) s'allongent sur les flots ; / par un calme profond, fendant l'onde écumante.
La vie n'est qu'une ombre qui marche, un pauvre acteur qui s'agite et parade une heure sur la scène, puis qu'on n'entend plus. C'est un récit raconté par un idiot, plein de bruit et de fureur, qui n'a aucun sens.
" Reine ! de ce grand jour faut-il troubler les charmes, / et rouvrir à vos yeux la source de nos larmes ; / vous raconter la nuit, l'épouvantable nuit / qui vit Pergame en cendre, et son règne détruit ; / ces derniers coups du sort, ce triomphe du crime, / dont je fus le témoin, hélas ! et la victime ?... "
" Rebutés par dix ans de batailles, / las de languir sans fruit au pied de nos murailles, / las de voir par le sort leurs assauts repoussés, / les Grecs, courbant des ais avec art enchâssés, / d'un cheval monstrueux en forment l'édifice : / Pallas leur inspira ce fatal artifice. / C'est un vœu, disaient-ils, pour un retour heureux. "
Achate au chef troyen tient alors ce langage : / " Fils des dieux ! vous voyez, vos vaisseaux sont sauvés, / vos guerriers réunis, vos amis retrouvés : / un seul manque à nos vœux, malheureuse victime, / que la mer à nos yeux engloutit dan l'abîme. / Au discours de Vénus jusqu'ici tout répond. "
" Mais, vous, puis-je connaître / de quel sang vous sortez, quels lieux vous ont vu naître, / où s'adressent vos pas ? " Elle dit. Le héros, / poussant du fond du cœur de douloureux sanglots : / " O déesse ! dit-il, si du sort qui m'accable / j'essayais de conter l'histoire lamentable, / dans ce triste récit j'épuiserais le jour. "
Ainsi parlaient mes dieux : ce n'était point d'un songe / l'illusion nocturne et le grossier mensonge ; / c'étaient leurs saints bandeaux, leurs regards, leurs accents, / et tous mes sens émus me les montraient présents. / Tremblant, je me relève ; et, d'une ardeur pieuse, / je lève au ciel ma voix, ma main religieuse ; / aux dieux hospitaliers je rends un juste honneur, / et je cours à mon père annoncer mon bonheur.
" La nuit tombe ; et déjà les célestes flambeaux, / penchant vers leur déclin, invitent au repos. / Mais, si de nos malheurs vous exigez l'histoire, / s'il faut en rappeler l'affligeante mémoire, / quoiqu'au seul souvenir de ces scènes d'horreur / mon cœur épouvanté recule de terreur, / j'obéis. "